Mandrake a le cafard
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Re: Mandrake a le cafard
Pleading the Blues de Junior Wells avec Buddy Guy enregistré en 1979 à Toulouse:
Garb- Messages : 401
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Re: Mandrake a le cafard
Et le classique The London Howlin' Wolf Sessions en pressage italien de 1981;
Dernière édition par Garb le 28.02.15 20:21, édité 1 fois
Garb- Messages : 401
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Re: Mandrake a le cafard
Sympa comme pochette
telegraphroad- Messages : 338
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Re: Mandrake a le cafard
25 cm de 1950 sauvé de l'humidité d'une cave et des rats
Huddie Ledbetter Leadbelly - Take This Hammer Folkways Records FA 2004 made in USA (P)1950 mono
Livret :
Huddie Ledbetter Leadbelly - Take This Hammer Folkways Records FA 2004 made in USA (P)1950 mono
Livret :
Re: Mandrake a le cafard
Southern Prison Blues Tradition Everest TR 2066 made in USA (P)1966 stereo
https://american-music.forum-actif.eu/t2264-dr-harry-oster
https://american-music.forum-actif.eu/t2264-dr-harry-oster
Re: Mandrake a le cafard
Très chouette ce double LP tu l'as en ta possession ? Je ne l'ai jamais entendu je suis curieux
Re: Mandrake a le cafard
Il fait parti de ma collection, je l'ai numérisé et je peux le mettre en ligne, sinon les titres sont à l'écoute ICIjipes a écrit:Très chouette ce double LP tu l'as en ta possession ? Je ne l'ai jamais entendu je suis curieux
Re: Mandrake a le cafard
Super je vais aller les écouter avec intérêt Mercimandrake a écrit:Il fait parti de ma collection, je l'ai numérisé et je peux le mettre en ligne, sinon les titres sont à l'écoute ICIjipes a écrit:Très chouette ce double LP tu l'as en ta possession ? Je ne l'ai jamais entendu je suis curieux
Re: Mandrake a le cafard
pour les gens intéressé me demandé le lien de téléchargement par MP à moins qu'il existe un post pour le partage des ressources ?
Re: Mandrake a le cafard
Luther Allison Live Blue Silver FP-6 C.3331 made in France (P)1979 stereo
LUTHER ALLISON (chanteur et guitariste), né à Mayflower en Arkansas le 17 août 1939 et mort le 12 août 1997 à Madison d'un cancer du poumon.
Luther s'établit avec sa famille à Forrest City dans l’Arkansas où il y passe son enfance, très jeune, il chante au sein de l'ensemble de gospel constitué par sa famille sous le nom des Southern Travellers puis en 1952 se fixe à Chicago et s'initie à la guitare.
Il débute en 1955 dans l'orchestre que dirige son frère ainé Ollie Lee Allison au 708 Club puis en 1957 il forme son propre groupe, les Four Jivers avec notamment Bobby Rush et se produit au Bungalow dans le West Side et au Earl's Argo dans l’Illinois.
En 1959 il travaille quelque temps avec Freddie King dont il reprend l'engagement au Walton's Corner de Chicago à la tête d'une formation qui comprend Big Mojo Elem à la basse et T.J. McNulty à la batterie, Luther demeure dans ce club jusqu'en 1964.
Pendant cette période, il habite à Peoria dans l’Illinois et travaille dans la semaine aux usines Caterpillar fabriquant de machines dans les domaines de la construction, des mines et de la forêt.
De 1965 à 1967, il fait partie de l'orchestre soul The Tornados qui se produit au Birdland de Peoria et au Bloomington dans l’Indiana.
En mars 1967, il enregistre l’album Love Me Mama pour Delmark dont un des employés fondera plus tard Alligator Records et se rend en septembre 1968 en Californie avec Shakey Jake ou il séjourne pendant six mois et se produit au Golden Bear de Los Angeles et enregistre aux côtes de Sunnyland Slim, Shakey Jake et Johnny Shines.
A son retour, Luther est engagé au L&A Lounge et au Shaw's Place de Chicago, en août 1969, il obtient un triomphe au Festival de Ann Arbor dans le Michigan.
En février 1970, il forme un nouvel orchestre et s'établit à Madison dans le Wisconsin, dés lors, il se produit le plus souvent en tournées, notamment dans les universités puis en 1973 au Canada dans le El Mocambo Tavern à Toronto, In Concert en 1974 et au Café Campus à Montréal en 1975.
En outre, il participe à de multiples festivals : Ann Arbor en 1970, 1972, 1973 et 1974, Berkeley en 1970 et Miami en 1974.
Recruté par la firme Gordy du groupe Motown, Luther grave trois albums pour cette compagnie, en 1972 Bad News Is Coming, Luther's Blues en 1974 et Night Life en 1976.
Il réside à Miami en Floride et part ensuite s'installer en Europe ou sans pour autant délaisser le blues il s'oriente petit à petit vers le rock, comme le témoigne l'album Life is a Bitch gravé en 1983.
Il revient à ses premières amours dans les années 1990 avec deux albums de blues Blue Streak et Reckless.
Son fils Bernard Allison également guitariste né en 1965 parraine l'école dédiée à son père la Luther Allison Blues School
Vocaliste impétueux, Luther Allison conjugue habilement la ferveur du gospel et l'agressivité du blues moderne.
De la guitare électrique, il tire des phrases denses tendues et bien articulées, dans l'esprit du grand Freddie King.
(C) Jean Claude Arnaudon & Mandrake
LUTHER ALLISON (chanteur et guitariste), né à Mayflower en Arkansas le 17 août 1939 et mort le 12 août 1997 à Madison d'un cancer du poumon.
Luther s'établit avec sa famille à Forrest City dans l’Arkansas où il y passe son enfance, très jeune, il chante au sein de l'ensemble de gospel constitué par sa famille sous le nom des Southern Travellers puis en 1952 se fixe à Chicago et s'initie à la guitare.
Il débute en 1955 dans l'orchestre que dirige son frère ainé Ollie Lee Allison au 708 Club puis en 1957 il forme son propre groupe, les Four Jivers avec notamment Bobby Rush et se produit au Bungalow dans le West Side et au Earl's Argo dans l’Illinois.
En 1959 il travaille quelque temps avec Freddie King dont il reprend l'engagement au Walton's Corner de Chicago à la tête d'une formation qui comprend Big Mojo Elem à la basse et T.J. McNulty à la batterie, Luther demeure dans ce club jusqu'en 1964.
Pendant cette période, il habite à Peoria dans l’Illinois et travaille dans la semaine aux usines Caterpillar fabriquant de machines dans les domaines de la construction, des mines et de la forêt.
De 1965 à 1967, il fait partie de l'orchestre soul The Tornados qui se produit au Birdland de Peoria et au Bloomington dans l’Indiana.
En mars 1967, il enregistre l’album Love Me Mama pour Delmark dont un des employés fondera plus tard Alligator Records et se rend en septembre 1968 en Californie avec Shakey Jake ou il séjourne pendant six mois et se produit au Golden Bear de Los Angeles et enregistre aux côtes de Sunnyland Slim, Shakey Jake et Johnny Shines.
A son retour, Luther est engagé au L&A Lounge et au Shaw's Place de Chicago, en août 1969, il obtient un triomphe au Festival de Ann Arbor dans le Michigan.
En février 1970, il forme un nouvel orchestre et s'établit à Madison dans le Wisconsin, dés lors, il se produit le plus souvent en tournées, notamment dans les universités puis en 1973 au Canada dans le El Mocambo Tavern à Toronto, In Concert en 1974 et au Café Campus à Montréal en 1975.
En outre, il participe à de multiples festivals : Ann Arbor en 1970, 1972, 1973 et 1974, Berkeley en 1970 et Miami en 1974.
Recruté par la firme Gordy du groupe Motown, Luther grave trois albums pour cette compagnie, en 1972 Bad News Is Coming, Luther's Blues en 1974 et Night Life en 1976.
Il réside à Miami en Floride et part ensuite s'installer en Europe ou sans pour autant délaisser le blues il s'oriente petit à petit vers le rock, comme le témoigne l'album Life is a Bitch gravé en 1983.
Il revient à ses premières amours dans les années 1990 avec deux albums de blues Blue Streak et Reckless.
Son fils Bernard Allison également guitariste né en 1965 parraine l'école dédiée à son père la Luther Allison Blues School
Vocaliste impétueux, Luther Allison conjugue habilement la ferveur du gospel et l'agressivité du blues moderne.
De la guitare électrique, il tire des phrases denses tendues et bien articulées, dans l'esprit du grand Freddie King.
(C) Jean Claude Arnaudon & Mandrake
Dernière édition par mandrake le 16.02.18 13:21, édité 3 fois
Re: Mandrake a le cafard
J'adorais Luther Allison je l'ai vu plusieurs fois en concert et c'était toujours une boule d'énergie condensée vraiment un artiste sincère et talentueux et généreux. J'ai eu la chance de la cotoyer un tout petit peu lors d'un de ces passages à Bâle ou il était venu jouer gratuitement pour un concert de soutien à une clinique ophtalmologique en Afrique: un grand monsieur
Pour le Live à Paris celui que j'ai est différent il a été enregistré au Duc des Lombards si je me rappelle bien et il y figure une super version de "Thrill is Gone", c'est d'ailleurs avec ce disque que j'ai appris ce morceau et décidé de le arjouter dans notre répertoire de l'époque !
Pour le Live à Paris celui que j'ai est différent il a été enregistré au Duc des Lombards si je me rappelle bien et il y figure une super version de "Thrill is Gone", c'est d'ailleurs avec ce disque que j'ai appris ce morceau et décidé de le arjouter dans notre répertoire de l'époque !
Re: Mandrake a le cafard
Big Bill Broonzy - Bluebird No6 RCA FXM1.7275 made in France (P)1979 mono
BIG BILL BROONZY chanteur et guitariste de son vrai nom William Lee Conley Broonzy est né à Scott dans le Mississippi le 26 juin 1898 et mort à Chicago le 14 aout 1958 d'un cancer de la gorge.
Bill passe son enfance dans une plantation proche de Little Rock dans l'Arkansas et s’initie au violon sur un instrument de fortune.
En 1909, il apprend la guitare auprès de son oncle Jerry Belcher et a l'âge de quatorze ans anime des pique-niques.
En 1917 il part à l’armée et dès son retour en 1920, s’établit à Chicago où il trouve un emploi à la compagnie Pullman.
Il commence à fréquenter les musiciens locaux, notamment Papa Charlie Jackson et plusieurs auditions infructueuses, il enregistre ses premiers disques pour Paramount en 1927.
L’année suivante, il fait la connaissance de Tampa Red et de Georgia Tom et travaille pendant la semaine comme livreur d’épicerie.
Big Bill se produit régulièrement le week-end dans le South Side ou il devient très populaire.
De 1930 a 1932. il grave de nombreux disques pour Champion et Banner notamment sous le nom de Big Bill Johnson.
En 1933, il engage le pianiste Black Bob Hudson et fait la connaissance de Lester Melrose, imprésario et producteur de disques auquel Bill reste lié jusqu’en 1949.
De 1935 à 1943, il se produit le plus souvent au Ruby Gatewood’s Tavern, seul ou accompagné au piano par Black Bob jusqu’en 1937, par Joshua Altheimer de 1937 a 1940 et enfin par Memphis Slim de 1941 à 1943.
En 1938 il obtient aussi des engagements avec le guitariste blanc George Barnes à Calumet City et participe aux Blue Monday parties que Memphis Minnie organise à Chicago à la fin des années trente.
Il figure a l’affiche du concert From Spirituals To Swing donné au Carnegie Hall de New York en décembre 1938.
Entre 1940 et 1942, il effectue des tournées dans le Sud avec Lil Green et enregistre de façon prolifique entre 1934 et 1942 pour Bluebird, ARC, Vocalion et Okeh tout en exerçant les fonctions d’agent-recruteur et de conseiller auprès du producteur de blues Lester Melrose.
En 1943, il se produit au 1410 Club puis après la guerre poursuit son activité dans les clubs de Chicago, au Purple Cat de 1945 à 1946, au 708 Club de 1947 à 1948, au Beehive en 1949 et au Sylvio’s de I948 à 1950 avec le bassiste Big Crawford.
Il enregistre pour Columbia et Mercury de 1945 à 1949, en 1950, sa popularité décroit et il prend un emploi de concierge a la Iowa State University, l’année suivante, après un engagement au Du Drop Lounge à Chicago, il effectue une tournée européenne de juillet a octobre.
Il revient sur le Vieux Continent de 1952 à 1957 avec entre autres Blind John Davis et Brother John Sellers, au cours de ses séjours en Europe, Big Bill enregistre pour Vogue, Melodisc, Nixa, Columbia, Philips et Storyville.
Pendant la même période, il grave de nouveaux disques à Chicago pour Mercury, Chess, Folkways et Verve.
Fin juillet 1957 Big Bill subit une opération à la gorge et de nouveau opéré en avril 1958 il meurt quatre mois plus tard.
Ses mémoires, rédigés en collaboration avec Yannick Bruynoghe sont publiés en 1955 sous le titre Big Bill Blues, il apparait dans deux courts métrages, en 1940 dans Big Bill et Big Bill Blues de Jean Delire et Yannick Bruynoghe en 1956.
Big Bill Broonzy conjugue les influences du blues rural et du ragtime, met au point un style de guitare au phrasé aéré et à la pulsation rigoureuse, enjolivé d’une sonorité ronde et pure.
Big Bill possédait une voix sombre et prenante qui donnait à ses textes une grande résonance émotionnelle.
Parolier prolifique, il composa plus de trois cents chansons, empreintes d’une poésie savoureuse par ses images évocatrices.
Au début des années cinquante, il se cantonna hélas dans un répertoire folklorique et stéréotypé, destiné au public blanc.
(C) Jean Claude Arnaudon & Mandrake
BIG BILL BROONZY chanteur et guitariste de son vrai nom William Lee Conley Broonzy est né à Scott dans le Mississippi le 26 juin 1898 et mort à Chicago le 14 aout 1958 d'un cancer de la gorge.
Bill passe son enfance dans une plantation proche de Little Rock dans l'Arkansas et s’initie au violon sur un instrument de fortune.
En 1909, il apprend la guitare auprès de son oncle Jerry Belcher et a l'âge de quatorze ans anime des pique-niques.
En 1917 il part à l’armée et dès son retour en 1920, s’établit à Chicago où il trouve un emploi à la compagnie Pullman.
Il commence à fréquenter les musiciens locaux, notamment Papa Charlie Jackson et plusieurs auditions infructueuses, il enregistre ses premiers disques pour Paramount en 1927.
L’année suivante, il fait la connaissance de Tampa Red et de Georgia Tom et travaille pendant la semaine comme livreur d’épicerie.
Big Bill se produit régulièrement le week-end dans le South Side ou il devient très populaire.
De 1930 a 1932. il grave de nombreux disques pour Champion et Banner notamment sous le nom de Big Bill Johnson.
En 1933, il engage le pianiste Black Bob Hudson et fait la connaissance de Lester Melrose, imprésario et producteur de disques auquel Bill reste lié jusqu’en 1949.
De 1935 à 1943, il se produit le plus souvent au Ruby Gatewood’s Tavern, seul ou accompagné au piano par Black Bob jusqu’en 1937, par Joshua Altheimer de 1937 a 1940 et enfin par Memphis Slim de 1941 à 1943.
En 1938 il obtient aussi des engagements avec le guitariste blanc George Barnes à Calumet City et participe aux Blue Monday parties que Memphis Minnie organise à Chicago à la fin des années trente.
Il figure a l’affiche du concert From Spirituals To Swing donné au Carnegie Hall de New York en décembre 1938.
Entre 1940 et 1942, il effectue des tournées dans le Sud avec Lil Green et enregistre de façon prolifique entre 1934 et 1942 pour Bluebird, ARC, Vocalion et Okeh tout en exerçant les fonctions d’agent-recruteur et de conseiller auprès du producteur de blues Lester Melrose.
En 1943, il se produit au 1410 Club puis après la guerre poursuit son activité dans les clubs de Chicago, au Purple Cat de 1945 à 1946, au 708 Club de 1947 à 1948, au Beehive en 1949 et au Sylvio’s de I948 à 1950 avec le bassiste Big Crawford.
Il enregistre pour Columbia et Mercury de 1945 à 1949, en 1950, sa popularité décroit et il prend un emploi de concierge a la Iowa State University, l’année suivante, après un engagement au Du Drop Lounge à Chicago, il effectue une tournée européenne de juillet a octobre.
Il revient sur le Vieux Continent de 1952 à 1957 avec entre autres Blind John Davis et Brother John Sellers, au cours de ses séjours en Europe, Big Bill enregistre pour Vogue, Melodisc, Nixa, Columbia, Philips et Storyville.
Pendant la même période, il grave de nouveaux disques à Chicago pour Mercury, Chess, Folkways et Verve.
Fin juillet 1957 Big Bill subit une opération à la gorge et de nouveau opéré en avril 1958 il meurt quatre mois plus tard.
Ses mémoires, rédigés en collaboration avec Yannick Bruynoghe sont publiés en 1955 sous le titre Big Bill Blues, il apparait dans deux courts métrages, en 1940 dans Big Bill et Big Bill Blues de Jean Delire et Yannick Bruynoghe en 1956.
Big Bill Broonzy conjugue les influences du blues rural et du ragtime, met au point un style de guitare au phrasé aéré et à la pulsation rigoureuse, enjolivé d’une sonorité ronde et pure.
Big Bill possédait une voix sombre et prenante qui donnait à ses textes une grande résonance émotionnelle.
Parolier prolifique, il composa plus de trois cents chansons, empreintes d’une poésie savoureuse par ses images évocatrices.
Au début des années cinquante, il se cantonna hélas dans un répertoire folklorique et stéréotypé, destiné au public blanc.
(C) Jean Claude Arnaudon & Mandrake
Dernière édition par mandrake le 11.03.15 23:24, édité 2 fois
Re: Mandrake a le cafard
Big Bill Broonzy - Big Bill's Blues Epic LN 24274 Made in France (P)1969 mono
Dernière édition par mandrake le 16.02.18 13:33, édité 1 fois
Re: Mandrake a le cafard
Big Bill Broonzy - Lonesome Road Blues Blues Legacy BL 12501 Made in France (P)1979 mono
Re: Mandrake a le cafard
T'es un fou de la vie, Mandrake! Avec ce que tu fais déja sur le forum Hendrix, tu te mets à faire pareil pour le Blues... Respect!
Re: Mandrake a le cafard
Le blues deuxième passion, le Jazz, le rock et tout ses dérivés aussi, les BD, la SF et les vieux ordinateurs autant dire que ma vie ne sera jamais assez longue pour assouvir ma soif de partageupfromtheskies a écrit:T'es un fou de la vie, Mandrake! Avec ce que tu fais déja sur le forum Hendrix, tu te mets à faire pareil pour le Blues... Respect!
Re: Mandrake a le cafard
DommageTontonjimi a écrit:Dire que mon paternel s'est débarrassé du vieux Thomson TO8
Re: Mandrake a le cafard
Clarence Gatemouth Brown - The Bogalusa Boogie Man Barclay XBLY 90.035 Made in France (P)1975 stereo
CLARENCE GATEMOUTH BROWN chanteur, guitariste, violoniste et harmoniciste, né à Vinton en Louisiane le 18 avril 1924 et décédé le 10 septembre 2005 d’un cancer du poumon.
A l'åge de six mois, Clarence s'établit avec sa famille à Orange dans le Texas.
En 1929, il apprend la guitare auprès de son père et cinq ans plus tard, s'initie au violon.
Peu après, il participe avec son père à des house parties en compagnie de son frère cadet James qui deviendra plus tard Widemouth Brown.
Surnommé Gatemouth par des camarades d'école, il apprend l’harmonica, la mandoline et la batterie.
En 1939, il se joint au spectacle itinérant Brown Skin Models qui sillonne le pays de la Louisiane à la Caroline du Sud, Quelques mois après, Clarence obtient un engagement comme batteur et chanteur à l'Eldorado Club de Norfolk en Virginie.
En décembre 1941, il part à l’armée ou il stationne à San Antonio au Texas, libéré au bout de cinq mois, il demeure dans cette ville et se produit notamment au Keyhole Club au sein d'un orchestre local.
En 1946, il se fixe à Houston au Texas et l'année suivante, grâce à la recommandation de T-Bone Walker, il est engagé au Bronze Peacock, club dirigé par Don Robey.
ll y remporte un triomphe et peu après, grave ses premiers disques, pour Aladdin en 1947, puis pour Peacock des 1949, outre ses engagements à Houston, Gatemouth entreprend des tournées à travers le pays, il se produit notamment au Ritz Cocktail Lounge de Chicago en 1949 et au Royal Peacock d'Atlanta en 1950 et 1951.
Au cours des années cinquante, il jouit d'une grande popularité et obtient de grands succès avec Boogie Uproar, Okie Dokie Stomp et Ain’t That Dandy.
ll travaille le plus souvent au Texas, vers 1954 1955, parfois avec Big Mama Thornton et Albert Collins.
Après une dernière séance pour Peacock en 1960, il devient musicien itinérant et effectue peu après une tournée à travers tout le pays.
En 1963, à la tête d°une petite formation, il se rend à Bogota en Colombie et se produit dans cette ville pendant huit mois.
A son retour, il enregistre pour Cue et Hermitage, puis en 1967, il s’établit à Denver dans le Colorado et obtient un engagement régulier au Gold Slipper Club à Durango, en 1970 il se fixe à Farmington dans le Nouveau-Mexique, où il se produit le plus souvent au Westerner Motel .
En plus de ses activités musicales il exerce les fonctions de shérif adjoint.
En novembre 1971, il effectue une tournée européenne avec la troupe Chicago Blues Festival et enregistre pour Black & Blue.
En juin 1973, il participe aux festivals de Newport à New York et de Montreux en Suisse et se produit en Europe avec Al Grey et grave de nouveaux albums pour Black & Blue et Barclay, il quitte Farmington pour résider à Aztec au Nouveau-Mexique.
En avril 1974, il participe au New Orleans Jazz & Heritage Festival puis réalise de nouvelles sessions pour Barclay.
Dans les années 1980, une série d'album relance sa carrière aux États-Unis et en 1982, il remporte un Grammy Award pour l'album Alright Again !
Inspiré à ses débuts par T-Bone Walker, Gatemouth Brown s'est créé un style virulent et volubile qui servit de modèle à Guitar Slim, Johnny Guitar Watson et Cal Green.
Chanteur fougueux, il se double d’un instrumentiste au langage impulsif.
A la guitare, il enchaîne des phrases percutantes et aérées, du violon, il tire des sonorités âpres en des traits audacieux dont l’amplification électrique accroît le découpage rythmique, à l’harmonica, il brode des lignes mélodiques d'une imagination débordante.
Eminemment spectaculaire, il aime pimenter ses improvisations de gags visuels et sonores.
(C) Jean Claude Arnaudon & Mandrake
Les multiples facettes de Clarence Gatemouth Brown :
CLARENCE GATEMOUTH BROWN chanteur, guitariste, violoniste et harmoniciste, né à Vinton en Louisiane le 18 avril 1924 et décédé le 10 septembre 2005 d’un cancer du poumon.
A l'åge de six mois, Clarence s'établit avec sa famille à Orange dans le Texas.
En 1929, il apprend la guitare auprès de son père et cinq ans plus tard, s'initie au violon.
Peu après, il participe avec son père à des house parties en compagnie de son frère cadet James qui deviendra plus tard Widemouth Brown.
Surnommé Gatemouth par des camarades d'école, il apprend l’harmonica, la mandoline et la batterie.
En 1939, il se joint au spectacle itinérant Brown Skin Models qui sillonne le pays de la Louisiane à la Caroline du Sud, Quelques mois après, Clarence obtient un engagement comme batteur et chanteur à l'Eldorado Club de Norfolk en Virginie.
En décembre 1941, il part à l’armée ou il stationne à San Antonio au Texas, libéré au bout de cinq mois, il demeure dans cette ville et se produit notamment au Keyhole Club au sein d'un orchestre local.
En 1946, il se fixe à Houston au Texas et l'année suivante, grâce à la recommandation de T-Bone Walker, il est engagé au Bronze Peacock, club dirigé par Don Robey.
ll y remporte un triomphe et peu après, grave ses premiers disques, pour Aladdin en 1947, puis pour Peacock des 1949, outre ses engagements à Houston, Gatemouth entreprend des tournées à travers le pays, il se produit notamment au Ritz Cocktail Lounge de Chicago en 1949 et au Royal Peacock d'Atlanta en 1950 et 1951.
Au cours des années cinquante, il jouit d'une grande popularité et obtient de grands succès avec Boogie Uproar, Okie Dokie Stomp et Ain’t That Dandy.
ll travaille le plus souvent au Texas, vers 1954 1955, parfois avec Big Mama Thornton et Albert Collins.
Après une dernière séance pour Peacock en 1960, il devient musicien itinérant et effectue peu après une tournée à travers tout le pays.
En 1963, à la tête d°une petite formation, il se rend à Bogota en Colombie et se produit dans cette ville pendant huit mois.
A son retour, il enregistre pour Cue et Hermitage, puis en 1967, il s’établit à Denver dans le Colorado et obtient un engagement régulier au Gold Slipper Club à Durango, en 1970 il se fixe à Farmington dans le Nouveau-Mexique, où il se produit le plus souvent au Westerner Motel .
En plus de ses activités musicales il exerce les fonctions de shérif adjoint.
En novembre 1971, il effectue une tournée européenne avec la troupe Chicago Blues Festival et enregistre pour Black & Blue.
En juin 1973, il participe aux festivals de Newport à New York et de Montreux en Suisse et se produit en Europe avec Al Grey et grave de nouveaux albums pour Black & Blue et Barclay, il quitte Farmington pour résider à Aztec au Nouveau-Mexique.
En avril 1974, il participe au New Orleans Jazz & Heritage Festival puis réalise de nouvelles sessions pour Barclay.
Dans les années 1980, une série d'album relance sa carrière aux États-Unis et en 1982, il remporte un Grammy Award pour l'album Alright Again !
Inspiré à ses débuts par T-Bone Walker, Gatemouth Brown s'est créé un style virulent et volubile qui servit de modèle à Guitar Slim, Johnny Guitar Watson et Cal Green.
Chanteur fougueux, il se double d’un instrumentiste au langage impulsif.
A la guitare, il enchaîne des phrases percutantes et aérées, du violon, il tire des sonorités âpres en des traits audacieux dont l’amplification électrique accroît le découpage rythmique, à l’harmonica, il brode des lignes mélodiques d'une imagination débordante.
Eminemment spectaculaire, il aime pimenter ses improvisations de gags visuels et sonores.
(C) Jean Claude Arnaudon & Mandrake
Les multiples facettes de Clarence Gatemouth Brown :
Re: Mandrake a le cafard
Stompin' the Blues...
...Rickenbaker Style!
...Rickenbaker Style!
Rubem- Messages : 1535
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Re: Mandrake a le cafard
Various - Negro Spirituals No2 Vogue LDM 10.008 Made in France (P)195? mono
Une compilation au format 25 cm des années 50 comportant des perles rares du gospel et du spiritual à vous donnez le frisson, comme ce genre d'album et certains titres sont introuvables je vous propose une version numérisé sur une platine à bras tangentiel Technics SL-5 couplé à un préamplificateur au format RIAA, le logiciel de numérisation est Adobe audition.
Vous trouverez la version numérisé au format FLAC ICI
Une compilation au format 25 cm des années 50 comportant des perles rares du gospel et du spiritual à vous donnez le frisson, comme ce genre d'album et certains titres sont introuvables je vous propose une version numérisé sur une platine à bras tangentiel Technics SL-5 couplé à un préamplificateur au format RIAA, le logiciel de numérisation est Adobe audition.
Vous trouverez la version numérisé au format FLAC ICI
Re: Mandrake a le cafard
j'avais complètement zappé ce post, merci Mandrake
Bloomers- Messages : 2749
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Re: Mandrake a le cafard
celui-ci a été enregistré avec les groundhogs en 1964mandrake a écrit:John Lee Hooker - On The Waterfront Vogue LDM 30300 made in France (P)1975 stereo
http://www.allmusic.com/album/hooker-the-hogs-mw0000088458
Bloomers- Messages : 2749
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