RIP Jon Lord (Deep Purple)
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RIP Jon Lord (Deep Purple)
http://www.lapresse.ca/arts/musique/201207/16/01-4544085-deces-dun-des-fondateurs-de-deep-purple.php
Blueleader- Messages : 7793
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Tiger- Messages : 2058
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Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
RIP.
Quelques vidéos : http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/deces-du-cofondateur-de-deep-purple-17-07-2012-2092856.php
Quelques vidéos : http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/deces-du-cofondateur-de-deep-purple-17-07-2012-2092856.php
the old new thing- Messages : 291
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Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
Ah le son de son B3 c'était quand même autre chose que tous ces claviers à émulation d'orgue hein
REP Mr Lord
REP Mr Lord
Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
RIP Jon Lord, seigneur des claviers, dont sa performance sur le fabuleux Made In Japan lui a fait mériter amplement ce titre.
Kadric- Messages : 3
Date d'inscription : 17/07/2012
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Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
Repose en Paix
parisino- Messages : 5704
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Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
bonjour couper du monde depuis trois semaines, c'est vraiment le cœur lourd que je viens d'apprendre cette nouvelle, vous ne pouvez imaginer ma peine tant j'avais de l'admiration pour ce Monsieur, plus que pour Blackmore, je me doutait bien que cela devait arriver, c'est con là mais les larmes me viennent aux yeux, je sais que beaucoup d'entre vous n'aiment pas ce groupe, moi il m’ait tombé dessus un jour et ne m'a plus jamais quitter, je suis toujours efforcer de suivre leurs vies d'abord comme fan,puis comme comment dire un monument une peinture que vous prenez plaisir a regarder. voilà j'avais peur de voir ce jour arriver, c'est la vie, vraiment je suis bouleversé...c'est un peu de ma vie qui s'écroule(sentimentalement)
christian
christian
Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
je viens de l'apprendre itou :
RIP
RIP
Wu wei- Messages : 4680
Date d'inscription : 04/07/2011
Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
bel hommage dans parisien.fr...
Jon Lord est décédé lundi dernier à l'âge de 71 ans, et c'est un coup dur pour tous les amateurs de classic rock et de hard rock à l'ancienne. Pour une fois, l'ensemble de la presse a rendu hommage à l'artiste. J'ai même vu un éditorial signé d'un philosophe sur le site du Nouvel Observateur, les temps changent !
Plutôt que de vous refaire la bio du Lord, que vous trouverez bien plus détaillée sur Wikipedia, quelques commentaires en vrac, et les vôtres sont bien entendu les bienvenus.
Il fut une époque où Deep Purple était mon groupe favori, et le son de claviers de Jon Lord n'y était pas pour rien ! Ce qui me plaisait, comme à beaucoup de gens, c'était l'opposition entre orgue ou synthétiseur et guitare, les premiers jouant souvent l'apaisement, la seconde crachant le feu. Souvenez-vous de l'intro de "Speed king", ce magma sonore tiré du frottement des cordes de la Stratocaster de Blackmore, avant que tout ne s'éteigne, que quelques notes de Hammond ne surgissent, puis que le morceau ne débute vraiment à 100 à l'heure. Au moment du solo, reconfrontation, et joli duel guitare/clavier.
Idem pour "Child in time", où quelques notes, bientôt rejointes par les vocalistes suraigues de Ian Gillan, suffisent à bâtir une ambiance inoubliable. Dans "Burn", si personne n'a oublié le riff pondu par Blackmore, les claviers tourbillonnants du pont central restent aussi encore dans toutes les mémoires. Et surtout celle du guitariste, qui se servivra de ces mêmes sonorités dans d'autres morceaux mythiques de son Rainbow, comme "Kill the king" ou "A light in the black".
Par contre, Lord co-auteur de "Smoke on the water", comme l'ont répété tous les médias depuis lundi soir, je suis plus circonspect. Officiellement, oui, puisque le Purple mkII signait toutes ses chansons Blackmore/Gillan/Glover/Lord/Paice, dans un grand souci démocratique. On sait aujourd'hui que Blackmore avait déjà le riff de "Smoke" dans sa besace depuis quelques temps, que le titre est venu de Glover, que Gillan a écrit les paroles. Lord s'est contenté d'arrangements, ce qui n'est pas rien, sans lui l'hymne aurait sonné différemment, mais il aurait quand même existé ! D'ailleurs, pour ruiner un peu plus la légende, signalons que le morceau n'a été inclus qu'au dernier moment dans "Machine Head", la maison de disque trouvant le LP un peu court. Pire, le groupe trouvait la chanson un peu simplette, et ne le jouait pas lors des premiers concerts de la tournée suivante, comme le prouve le "Live In Denmark '72" (Copenhague 1er mars 1972).
Lord se montrait plus discret dans Whitesnake, qu'il intégra de 1978 à 1984. Satisfait de laisser le rôle de patron à David Coverdale, il se "contentait" de jouer ses parties de claviers, parfois essentielles, comme dans "Here I go again", et s'impliquait très peu dans l'écriture des morceaux. Je me souviens que la première fois que j'ai vu Lord sur scène, c'était avec le Serpent blanc, à Paris en septembre 1983, et que Coverdale avait annoncé que c'était la dernière tournée où ils interprèteraient "Mistreated". Inutile de dire avec quelle concentration le public avait alors écouté le morceau !
S'il n'était pas le plus grand claviériste de la planète rock, ni même le premier à devenir superstar (Jerry Lee Lewis était là bien avant lui, Mark Stein de Vanilla Fudge, une influence revendiquée de Lord, maltraitait ses touches depuis longtemps), Lord a fait partie de cette génération, avec Gary Brooker de Procol Harum, Ken Hensley de Uriah Heep ou Keith Emerson (Nice, Emerson Lake & Palmer) qui a montré qu'un pianiste n'était pas une potiche, et qu'il pouvait contribuer fortement au son et à l'aura d'un groupe. Regardez les vidéos de l'époque : mes amis musiciens me disaient que ça leur faisait mal au coeur de voir le Lord secouer en tout sens, cogner, frapper, triturer des claviers valant plusieurs dizaines de milliers de francs ! Il faut dire que la concurrence était rude sur scène avec un Blackmore qui fracassait régulièrement ses guitares sur les amplis ou le plancher.
Je crédite Jon Lord d'une belle "invention" : celle de l'utilisation du clavecin (écoutez l'extraordinaire solo de "Rat bat blue", moitié clavecin moitié orgue, dans le mésestimé "Who Do We Think We Are"). Je suis quasiment sûr qu'on pourra trouver d'autres musiciens ayant introduit cet instrument médiéval dans des pièces rock avant Lord, mais je suis certain que c'est à Jon que pensait un Yngwie Malmsteen ou ces innombrables formations d'AOR, hard FM ou speed mélodique qui en ont fait usage par la suite.
Je suis plus réservé sur sa discographie solo. Fasciné par la musique classique, Lord n'a eu de cesse d'en parsemer ses oeuvres, et en a même fait ingurgiter de force au Purple, le "Concerto For Group And Orchestra", pas vraiment un disque que je me mets tous les jours... Il y quand même quelques bons passages dans la "Gemini Suite" ou dans "Sarabande", mais ces opus sont à réserver aux fans. A la fin de sa carrière, Lord avait fait un retour au blues (Jon Lord Blues Project), avec notamment un très bon disque live sorti l'an dernier, dans lequel il reprenait du Purple, du Free ou du Tom Waits. Je vous recommande aussi le "Live In The Basement" de 2003, où Jon Lord joue avec les Hoochie Coochie Men, et dans lequel chante Jimmy Barnes.
Autre curiosité pour les amateurs : l'unique album studio de Paice Ashton Lord,"Malice In Wonderland", un truc bizarre de 1977, après la fin de Deep Purple mk IV et avant l'arrivée dans Whitesnake. Indescriptible, je vous laisse le plaisir de la découverte, mais souvent sauvé par les claviers feutrés de Lord. Et si vous adorez leur son, dénichez aussi les pépites des Artwoods, son groupe du milieu des 60s, où Jon officiait en compagnie du frère de Ronnie Wood !
Nul doute que les musiciens de Purple lui rendront hommage bientôt. Peut-être pas dans leur nouvel album studio, qui a l'air déjà terminé, mais lors de la prochaine tournée, qui passera par la France en novembre. On sera là.
Jon Lord est décédé lundi dernier à l'âge de 71 ans, et c'est un coup dur pour tous les amateurs de classic rock et de hard rock à l'ancienne. Pour une fois, l'ensemble de la presse a rendu hommage à l'artiste. J'ai même vu un éditorial signé d'un philosophe sur le site du Nouvel Observateur, les temps changent !
Plutôt que de vous refaire la bio du Lord, que vous trouverez bien plus détaillée sur Wikipedia, quelques commentaires en vrac, et les vôtres sont bien entendu les bienvenus.
Il fut une époque où Deep Purple était mon groupe favori, et le son de claviers de Jon Lord n'y était pas pour rien ! Ce qui me plaisait, comme à beaucoup de gens, c'était l'opposition entre orgue ou synthétiseur et guitare, les premiers jouant souvent l'apaisement, la seconde crachant le feu. Souvenez-vous de l'intro de "Speed king", ce magma sonore tiré du frottement des cordes de la Stratocaster de Blackmore, avant que tout ne s'éteigne, que quelques notes de Hammond ne surgissent, puis que le morceau ne débute vraiment à 100 à l'heure. Au moment du solo, reconfrontation, et joli duel guitare/clavier.
Idem pour "Child in time", où quelques notes, bientôt rejointes par les vocalistes suraigues de Ian Gillan, suffisent à bâtir une ambiance inoubliable. Dans "Burn", si personne n'a oublié le riff pondu par Blackmore, les claviers tourbillonnants du pont central restent aussi encore dans toutes les mémoires. Et surtout celle du guitariste, qui se servivra de ces mêmes sonorités dans d'autres morceaux mythiques de son Rainbow, comme "Kill the king" ou "A light in the black".
Par contre, Lord co-auteur de "Smoke on the water", comme l'ont répété tous les médias depuis lundi soir, je suis plus circonspect. Officiellement, oui, puisque le Purple mkII signait toutes ses chansons Blackmore/Gillan/Glover/Lord/Paice, dans un grand souci démocratique. On sait aujourd'hui que Blackmore avait déjà le riff de "Smoke" dans sa besace depuis quelques temps, que le titre est venu de Glover, que Gillan a écrit les paroles. Lord s'est contenté d'arrangements, ce qui n'est pas rien, sans lui l'hymne aurait sonné différemment, mais il aurait quand même existé ! D'ailleurs, pour ruiner un peu plus la légende, signalons que le morceau n'a été inclus qu'au dernier moment dans "Machine Head", la maison de disque trouvant le LP un peu court. Pire, le groupe trouvait la chanson un peu simplette, et ne le jouait pas lors des premiers concerts de la tournée suivante, comme le prouve le "Live In Denmark '72" (Copenhague 1er mars 1972).
Lord se montrait plus discret dans Whitesnake, qu'il intégra de 1978 à 1984. Satisfait de laisser le rôle de patron à David Coverdale, il se "contentait" de jouer ses parties de claviers, parfois essentielles, comme dans "Here I go again", et s'impliquait très peu dans l'écriture des morceaux. Je me souviens que la première fois que j'ai vu Lord sur scène, c'était avec le Serpent blanc, à Paris en septembre 1983, et que Coverdale avait annoncé que c'était la dernière tournée où ils interprèteraient "Mistreated". Inutile de dire avec quelle concentration le public avait alors écouté le morceau !
S'il n'était pas le plus grand claviériste de la planète rock, ni même le premier à devenir superstar (Jerry Lee Lewis était là bien avant lui, Mark Stein de Vanilla Fudge, une influence revendiquée de Lord, maltraitait ses touches depuis longtemps), Lord a fait partie de cette génération, avec Gary Brooker de Procol Harum, Ken Hensley de Uriah Heep ou Keith Emerson (Nice, Emerson Lake & Palmer) qui a montré qu'un pianiste n'était pas une potiche, et qu'il pouvait contribuer fortement au son et à l'aura d'un groupe. Regardez les vidéos de l'époque : mes amis musiciens me disaient que ça leur faisait mal au coeur de voir le Lord secouer en tout sens, cogner, frapper, triturer des claviers valant plusieurs dizaines de milliers de francs ! Il faut dire que la concurrence était rude sur scène avec un Blackmore qui fracassait régulièrement ses guitares sur les amplis ou le plancher.
Je crédite Jon Lord d'une belle "invention" : celle de l'utilisation du clavecin (écoutez l'extraordinaire solo de "Rat bat blue", moitié clavecin moitié orgue, dans le mésestimé "Who Do We Think We Are"). Je suis quasiment sûr qu'on pourra trouver d'autres musiciens ayant introduit cet instrument médiéval dans des pièces rock avant Lord, mais je suis certain que c'est à Jon que pensait un Yngwie Malmsteen ou ces innombrables formations d'AOR, hard FM ou speed mélodique qui en ont fait usage par la suite.
Je suis plus réservé sur sa discographie solo. Fasciné par la musique classique, Lord n'a eu de cesse d'en parsemer ses oeuvres, et en a même fait ingurgiter de force au Purple, le "Concerto For Group And Orchestra", pas vraiment un disque que je me mets tous les jours... Il y quand même quelques bons passages dans la "Gemini Suite" ou dans "Sarabande", mais ces opus sont à réserver aux fans. A la fin de sa carrière, Lord avait fait un retour au blues (Jon Lord Blues Project), avec notamment un très bon disque live sorti l'an dernier, dans lequel il reprenait du Purple, du Free ou du Tom Waits. Je vous recommande aussi le "Live In The Basement" de 2003, où Jon Lord joue avec les Hoochie Coochie Men, et dans lequel chante Jimmy Barnes.
Autre curiosité pour les amateurs : l'unique album studio de Paice Ashton Lord,"Malice In Wonderland", un truc bizarre de 1977, après la fin de Deep Purple mk IV et avant l'arrivée dans Whitesnake. Indescriptible, je vous laisse le plaisir de la découverte, mais souvent sauvé par les claviers feutrés de Lord. Et si vous adorez leur son, dénichez aussi les pépites des Artwoods, son groupe du milieu des 60s, où Jon officiait en compagnie du frère de Ronnie Wood !
Nul doute que les musiciens de Purple lui rendront hommage bientôt. Peut-être pas dans leur nouvel album studio, qui a l'air déjà terminé, mais lors de la prochaine tournée, qui passera par la France en novembre. On sera là.
Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
Ah, pas mal du tout cette chronique ! Ca fait plaisir à lire
Tiger- Messages : 2058
Date d'inscription : 03/08/2011
Age : 27
Localisation : 77
Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
La famille et les amis du regretté Jon Lord viennent de lancer un site web offrant 11 vidéos tournées lors d’un concert d’Orchestre de chambre en 2010.
The Trondheim Experiment inclut une interprétation du classique de Deep Purple Child In Time, avec un choeur d’enfants au complet, et un final dédié à Ronnie James Dio, décédé la semaine précédente.
Les clips ont été tournés à la Cathédrale de Nidaros en Norvège le 24 mai de cette année et ont été reconstitués à l'aide des enregistrements d’origine.
Ce site web contient aussi des extraits de l’ambiance en coulisses et une interview avec le claviériste de légende, décédé l’année dernière d’une embolie pulmonaire à Londres.
Présenté comme “une fête de la musique entre bons amis”, le concert s’était déroulé dans un lieu que Jon Lord appréciait tout particulièrement et qu’il estimait avoir changé sa vie en mai 2003.
Présentant Child In Time, Jon Lord expliquait: “ Ce titre est un grand moment de ma vie. J’aime l’interpréter d’une toute autre manière que l’original avec Deep Purple, même si cela reste le même morceau. C’est devenu une chanson vraiment puissante, elle reflétait le discours d’un génération, mais le temps passant, elle reste toujours d’actualité. Les mêmes conneries se répètent encore et encore. Pourtant, nous continuons à essayer, n’est-ce pas ? Toujours en avant, et vers le haut disait ma mère!”
Jon Lord a dédié The Sun Will Shine Again à Ronnie James Dio, ajoutant: “Repose en paix, Ronnie. Un homme fantastique avec un cœur aussi grand que lui-même. Nous nous souviendrons toujours de lui – mais c’est aussi pour tous ceux qui traversent des moments difficiles. " Le soleil brillera à nouveau " comme le dit la chanson ".
Le site web indique aussi ceci : “ C’est un tribute à Jon Lord, un héros, et un ami. C’est aussi l’occasion de retrouver ce concert très particulier. A de nombreux niveaux, c’était une véritable expérimentation- de nouveaux arrangements, de nouveaux musiciens, d’autres chansons, plus rarement jouées. "
Voici le lien vers le site : http://trondheimexperiment.com/intro.html
The Trondheim Experiment inclut une interprétation du classique de Deep Purple Child In Time, avec un choeur d’enfants au complet, et un final dédié à Ronnie James Dio, décédé la semaine précédente.
Les clips ont été tournés à la Cathédrale de Nidaros en Norvège le 24 mai de cette année et ont été reconstitués à l'aide des enregistrements d’origine.
Ce site web contient aussi des extraits de l’ambiance en coulisses et une interview avec le claviériste de légende, décédé l’année dernière d’une embolie pulmonaire à Londres.
Présenté comme “une fête de la musique entre bons amis”, le concert s’était déroulé dans un lieu que Jon Lord appréciait tout particulièrement et qu’il estimait avoir changé sa vie en mai 2003.
Présentant Child In Time, Jon Lord expliquait: “ Ce titre est un grand moment de ma vie. J’aime l’interpréter d’une toute autre manière que l’original avec Deep Purple, même si cela reste le même morceau. C’est devenu une chanson vraiment puissante, elle reflétait le discours d’un génération, mais le temps passant, elle reste toujours d’actualité. Les mêmes conneries se répètent encore et encore. Pourtant, nous continuons à essayer, n’est-ce pas ? Toujours en avant, et vers le haut disait ma mère!”
Jon Lord a dédié The Sun Will Shine Again à Ronnie James Dio, ajoutant: “Repose en paix, Ronnie. Un homme fantastique avec un cœur aussi grand que lui-même. Nous nous souviendrons toujours de lui – mais c’est aussi pour tous ceux qui traversent des moments difficiles. " Le soleil brillera à nouveau " comme le dit la chanson ".
Le site web indique aussi ceci : “ C’est un tribute à Jon Lord, un héros, et un ami. C’est aussi l’occasion de retrouver ce concert très particulier. A de nombreux niveaux, c’était une véritable expérimentation- de nouveaux arrangements, de nouveaux musiciens, d’autres chansons, plus rarement jouées. "
Voici le lien vers le site : http://trondheimexperiment.com/intro.html
Re: RIP Jon Lord (Deep Purple)
Le groupe de rock The Kinks évoque "un pianiste et compositeur fantastique" et rappelle, sur Twitter, que Lord était aux claviers sur l'enregistrement de "You Really Got Me", le 1er hit mondial du groupe anglais en 1964.
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