Save Our Children (1998)
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Save Our Children (1998)
Save Our Children (1998)
1. Save Our Children
2. Midnight In Berkeley Square
3. Jewels Of Love
4. Kazuko
5. The Ancient Sounds
6. Far-Off Sand
Personnel :
Après le très moderne, mais dans le genre relativement réussi "Message From Home", Pharoah Sanders et Bill Laswell reprennent la formule et la pousse plus loin encore sur "Save Our Children". L'album navigue ainsi entre World music et jazz New Age - à un monde du "Trance Of Seven Colors" enregistré avec Maleem Mahmoud Ghania (pourtant produit par Laswell), où la fusion était épurée.
Autant le dire tout de suite : "Save Our Children" est l'un des plus mauvais disques de la discographie de Pharoah Sanders. Le premier titre sombre dans le plus parfait grotesque - à un tel point qu'il est difficile de ne pas rire à son écoute.
Le reste de l'album est assez terne - il n'y a guère que dans "The Ancient Sounds" où quelque chose dépasse encore un peu du jeu de Pharoah, qui confond ici sérénité et mollesse.
La production contribue largement à cet échec : même sur les plages plus minimalistes, on a toujours le sentiment que le son est très chargé, tout en étant désespérément lisse. Deux titres sont éventuellement à sauver pour ceux qui souffrent de pharoïte aiguë : "The Ancient Sounds", et dans une moindre mesure "Kazuko", dont il existe une meilleure version sur l'album de la résurrection ("Journey To The One").
A éviter. Ou à écouter au second degré !
1. Save Our Children
2. Midnight In Berkeley Square
3. Jewels Of Love
4. Kazuko
5. The Ancient Sounds
6. Far-Off Sand
Personnel :
Après le très moderne, mais dans le genre relativement réussi "Message From Home", Pharoah Sanders et Bill Laswell reprennent la formule et la pousse plus loin encore sur "Save Our Children". L'album navigue ainsi entre World music et jazz New Age - à un monde du "Trance Of Seven Colors" enregistré avec Maleem Mahmoud Ghania (pourtant produit par Laswell), où la fusion était épurée.
Autant le dire tout de suite : "Save Our Children" est l'un des plus mauvais disques de la discographie de Pharoah Sanders. Le premier titre sombre dans le plus parfait grotesque - à un tel point qu'il est difficile de ne pas rire à son écoute.
Le reste de l'album est assez terne - il n'y a guère que dans "The Ancient Sounds" où quelque chose dépasse encore un peu du jeu de Pharoah, qui confond ici sérénité et mollesse.
La production contribue largement à cet échec : même sur les plages plus minimalistes, on a toujours le sentiment que le son est très chargé, tout en étant désespérément lisse. Deux titres sont éventuellement à sauver pour ceux qui souffrent de pharoïte aiguë : "The Ancient Sounds", et dans une moindre mesure "Kazuko", dont il existe une meilleure version sur l'album de la résurrection ("Journey To The One").
A éviter. Ou à écouter au second degré !
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