Re: Stones News, Links, Témoinages

[Chino]

ah merde, bobby keys....

[Bloomers]

rip

[Purple Jim]

[Blueleader]

Comme nous l'a annoncé Purple Jim ici, c'est Ian McLagan, autre compagnon de route des Stones, qui vient de nous quitter.

Avec Bobby Keys, dans les New Barbarians :

[Bloomers]

[Garb]

Après Carlos Santana et Justin Bieber:



Les One Direction et Ronnie Wood...

[telegraphroad]

Du lourd !

[upfromtheskies]

Je n'ai pas bien distingué l'intervention de Ronnie. Grave?

[Mr-Clean]

http://www.rollingstone.com/music/news/rolling-stones-plan-summer-tour-sticky-fingers-reissue-20150331?utm_source=yahoomusic&utm_medium=referral?utm_source=yahoomusic&utm_medium=referral

US tour & Sticky Fingers deluxe

[Ted]

le lien ne fonctionne pas pour le Belgique?

OOPS! THIS PAGE IS CURRENTLY UNAVAILABLE IN YOUR REGION.

[Garb]

http://www.keithrichards.com/news/keith-talks-rolling-stone-magazine-about-getting-busted-zeppelin-stones-124821

[Garb]

Pas du tout impatient mais curieux. Le top ça serait qu'ils aient invité Mick Taylor sur l'album mais on peut rêver.



Edit: Apparemment Eric Clapton apparaitrait en guest sur deux titres !

[Garb]

Les Stones ont repris Come Together des Beatles hier lors du festival Desert Trip:

[upfromtheskies]

Un peu lourd, non?

[Garb]

Trop laid back et pas assez hachée par rapport à l'originale. Et le solo de Ronnie Wood était dispensable. Le massacre aurait été pire si ils avaient repris Yer Blues.

[upfromtheskies]

Quelqu'un a quelque chose à dire sur Anita Pallenberg?

[Purple Jim]

[upfromtheskies]

De nouveau je trouve que c'est lourdingue. Has been. Je trouve.

[jipes]

Leur dernier album est franchement pas terrible mais bon en même temps malgré tous mes efforts je ne suis pas fan du groupe je trouve qu'en général ça jouent pas terrible

[Purple Jim]

http://www.rollingstones.com/2017/10/06/pre-order-the-rolling-stones-on-air-album/

Enfin.

[Purple Jim]

Il paraît que l'officiel "On Air" est en faux stéreo (comme "Beat, Beat, Beat at the Beeb" d'ailleurs).
J'ai mis un lien pour une mise à jour des bandes (bootlegués) dans la rubrique habituelle.

Par contre, la version officielle doit nous livrer certains morceaux avec une qualité sonore supérieure. A surveiller.

[Ayler]

La version officielle devrait partir des enregistrements originaux - et non de copies effectuées à partir de la retransmission. L'amélioration pourrait donc être notable (certains titres dispos à ce jour ont une qualité audio médiocre).

[Ted]

Le batteur de Metallica a expliqué que les Rolling Stones ont aidé son groupe à ne plus se séparer.En effet, à une époque où Metallica se portait mal au niveau relationnel, juste après la sortie du documentaire "Some Kind of Monster" en 2004, où l’on découvre les nombreuses tensions au sein du groupe, les Rolling Stones leur ont demandé de jouer en première partie de leurs concerts. Ce qui a ravivé l’énergie de Metallica. Il explique :

"Notre philosophie, c’est d’inviter les gens à nous découvrir et d’être aussi accessibles que possible pour nos fans. Cette époque [en 2004] n’était pas des plus heureuses pour nous. Mais depuis, nous connaissons nos limites et nos points de rupture."

"C’est la dernière fois que nous avons fait une pause. Nous n’avions jamais arrêté en 14 ans, mais nous avions disparu des radars pendant environ un an à l’époque."

"Et puis, les Rolling Stones nous ont demandé de jouer quelques concerts avec eux en Californie. Et – on est d’accord – on ne refuse pas une telle invitation. Et voilà. Ça nous a remis en selle. […] J’en suis très heureux."

[Elliott]

La chaleur ambiante se prête bien à la redécouverte de cette version d'Exile:

[Elliott]

http://whitetrashsoul.blogspot.com/2010/05/rolling-stones-main-street-revisited.html

[Ted]

On apprenait le 24 mai dernier que Mick Jagger et Keith Richards, crédités comme compositeurs sur le morceau " Bittersweet Symphony ", avaient décidé de reverser leurs royalties au groupe The Verve.

Ce hit du groupe The Verve, sorti en 1997, samplait un court segment instrumental de 4 secondes joué par Andrew Loog Oldham Orchestra, sur le morceau " The last Time " des Rolling Stones. A l’époque, une autorisation avait été délivrée pour l’usage de l’enregistrement, mais pas pour l’utilisation dans la chanson. La seule solution pour Richard Ashcroft avait été de renoncer à ses droits et royalties sur le morceau.

Un vrai coup dur pour Richard Ashcroft, qui s’était senti " dépossédé de son enfant " et qui avait touché environ 1000$, alors que les royalties sont au total estimées à 5 millions de dollars pour ce morceau.

Le 23 mai dernier, Richard Ashcroft a annoncé qu’il avait été remboursé, après 22 ans de bagarres juridiques.

" J’ai été très heureux d’apprendre le mois dernier que Mick Jagger et Keith Richards ont accepté de me reverser leur part sur ce morceau " Bitter Sweet Symphony ", a déclaré Richard Ashcroft. " Cette issue heureuse a été rendue possible grâce au geste magnanime de Mick et Keith, qui se sont dit d’accord de ne plus figurer dans les crédits, pour que nous puissions dorénavant toucher les royalties sur le morceau. Je voudrais aussi remercier mon management, Steve Kutner et John Kennedy, le manager des Stones Joyce Smyth, et assurer Mick et Keith de ma reconnaissance et de mon profond respect. Music is power. "

Ce deal historique a été rendu possible grâce à l’intervention des managers John Kennedy et Steve Kutner qui ont approché Jody Klein du groupe ABKCO – il s’agit du fils d’Allen Klein, mort en 2009 – sur le délicat sujet de " Bitter Sweet Symphony ".

 

Ils ont ensuite contacté Joyce Smyth, le manager des Rolling Stones, qui a accepté de discuter personnellement avec Mick Jagger et Keith Richards.

 

John Kennedy avoue qu’il ne pensait pas que la négociation donnerait quelque chose, mais au mois d’avril, Kutner et lui ont reçu un appel de Joyce Smith relayant l’accord des Stones pour reverser leur part des royalties, et pour enlever leurs noms des crédits du morceau.

 

"Steve et moi avons presque pleuré : cela prouvait enfin que " Bitter Sweet Symphony " était l’œuvre créative de Richard uniquement. Sans Joyce Smyth, tout ceci n’aurait jamais existé. "

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