Re: Autour de Kelly Joe Phelps

par kjp 17.03.12 10:41

Et la suite, et toujours en SLIDE traditionnelle avec une Nationale :

Le 10 Mars 2012 au FRESHWATER STUDIO à BOYNE CITY.

par kjp 19.03.12 0:52

Et deux autres vidéos :

Le 10 Mars 2012 au FreshWater Studio, à Boyne City.

PLUS CELLE-CI

par kjp 31.03.12 19:35

Nouvelle vidéo, nouvelle chanson "Good To Know You".

Le 9 Mars 2012 au "InsideOut Gallery" à Traverse City.

par kjp 21.04.12 13:22

Interview autour de sa carrière et de son nouvel opus : "Brother Sinner and the Whale".

par kjp 23.04.12 20:02

Nouvelle vidéo, nouveau morceau :

Nouveau morceau mais déjà entendu et vu sur youtube il y a peu. A découvrir différemment :

kjp a écrit:Interview autour de sa carrière et de son nouvel opus : "Brother Sinner and the Whale".

SORTI : LE 21 AOUT 2012

par vincent 23.04.12 20:05

Très bon tout ça!!!

par kjp 01.05.12 23:39

kjp a écrit:
Oui. Le 15 ou 16 Septembre il sera chez nous. Et son agent en en effet à la recherche de salles. Je lui ai déjà communiquer une dizaine d'infos. Et j'ai encore quelques autres possibilités. Si tu as des tuyaux, je suis preneur.

Kelly Joe sera le 15 Septembre à Collegiale St. Mexme Chinon (au sud ouest de Tours).

par vincent 01.05.12 23:45

Un petit tour sur la capitale??!!!Please!!

par jipes 02.05.12 11:47

vincent a écrit:Un petit tour sur la capitale??!!!Please!!

Ouais j'aimerais bien parce que de chez moi Chinon ca fait quand même 650Km Embarassed

par kjp 03.05.12 21:27

kjp a écrit:Interview autour de sa carrière et de son nouvel opus : "Brother Sinner and the Whale".

Voilà la liste des titres du futur album de Kelly Joe :

"Brother Sinner and the Whale"

Brother Pilgrim (instrumental)
Down To The Praying Ground
Goodbye To Sorrow
Guide Me, O Thou Great Jehova
Hard Time They Never Go Away
The Holy Spirit Flood
Hope In The Lord To Provide
Pilgrim's Reach
Sometimes A Drifter
Spit Me Outta The Whale (instrumental)
Talkin' To Jehova
I've Been Converted

par Wu wei 04.05.12 0:40

kjp a écrit:
kjp a écrit:Interview autour de sa carrière et de son nouvel opus : "Brother Sinner and the Whale".

Voilà la liste des titres du futur album de Kelly Joe :

"Brother Sinner and the Whale"

Brother Pilgrim (instrumental)
Down To The Praying Ground
Goodbye To Sorrow
Guide Me, O Thou Great Jehova
Hard Time They Never Go Away
The Holy Spirit Flood
Hope In The Lord To Provide
Pilgrim's Reach
Sometimes A Drifter
Spit Me Outta The Whale (instrumental)
Talkin' To Jehova
I've Been Converted

c'est moi ou c'est assez marqué religieusement ? Smile

par Chino 04.05.12 8:33

http://restlessandreal.blogspot.fr/2012/04/promo-biography-kelly-joe-phelps.html

par kjp 09.05.12 0:13

"Hope In The Lord To Provide" : performance and interview

par Wu wei 09.05.12 0:37

oups j'avais pas vu le lien, merci Chino, effectivement ça éclaire Smile

et, du coup, merci pour la vidéo, ça fait du bien...à l'heure où on nous bassine tout de même pas mal avec des chanteurs, plus ou moins engagés, qui viennent pousser la chansonnette à la moindre occasion en claquant trois accords et une rythmique... bof (pis dylan faisait déjà mieux)... de retrouver KJP en grande forme, avec son touché inimitable, sa voix et son sens de la compo...
ça s'annonce bien Smile

par kjp 17.05.12 21:13

par Wu wei 17.05.12 21:26

par kjp 18.05.12 21:38

par kjp 17.06.12 14:06

Un show complet de Kelly Joe, le 13 Avril 2012. Live on Ustream.

par kjp 27.06.12 1:16

a écrit:

Une grosse pointure du blues en visite à l’Auberge le 29 juin

Publié le 25 Juin 2012
François Robert

Kelly Joe Phelps sera à Saint-André sur la scène de l’Auberge de Jeunesse de la Petite-Nation pour célébrer le blues et plus encore !

Sujets :
Auberge de Jeunesse , Wakefield , Montréal

S’il peut aujourd’hui être considéré comme l’une des grandes figures de la scène blues, Phelps vient au départ du jazz et aime aussi s’inspirer de plusieurs types de folk. «Après plusieurs années de carrière en tant que joueur de basse dans des formations jazz, j’ai commencé à écouter de vieux chanteurs de blues acoustique. Ce que j’aimais c’est notamment le fait qu’il y avait beaucoup d’improvisation dans cette musique et ça m’a permis de faire le lien avec mes racines jazz», explique Phelps au bout du fil.

Lorsqu’on lui demande de nommer quelqu’un qu’il estime beaucoup dans l’univers du blues contemporain, il répond sans hésiter qu’Alvin Youngblood Hart est son préféré. Puis au niveau des classiques du blues acoustique qui l’ont inspiré, il nomme Robert Pete Williams, Fred Mc Dowell et Blind Willie Johnson.

C’est la deuxième fois que le musicien américain jouera dans l’Outaouais québécois. Il y a quelque temps, il avait offert un concert au Black Sheep à Wakefield. Mais il a joué à Montréal à quelques reprises.

Est-ce qu’il y a des musiciens contemporains dont l’approche musicale et l’esprit général se rapprochent du vôtre ? «Bill Frissell, un peu comme lui, je ne me considère pas tellement comme un musicien blues ou jazz, j’aime toucher à plusieurs genres musicaux», analyse le musicien.

Personnellement, j’avais souvent entendu votre nom, mais peu votre musique, puis en préparant cette entrevue, j’ai tout de suite pensé en vous écoutant à Harry Manx. «Je connais Harry Manx depuis au moins 20 ans, même avant qu’il ne commence à faire de la tournée. Oui effectivement, il y a une certaine parenté», reconnaît-il.

Lors du concert du 29 juin à l’Auberge de Jeunesse de la Petite-Nation, une partie importante de la soirée sera consacrée au matériel du nouvel album qui sortira le 25 août sous le titre «Brother Sinner and the Whale». C’est donc une bonne façon de découvrir l’album avant sa sortie

Source : http://www.lapetitenation.com/Culture/Arts-et-spectacles/2012-06-25/article-3016661/Une-grosse-pointure-du-blues-en-visite-a-l%26rsquoAuberge-le-29-juin/1

par kjp 04.07.12 18:48

Le 01 Juillet 2012 au MONTREAL INTERNATIONAL JAZZ FESTIVAL PLACE DES ARTS MONTREAL, QUEBEC, CANADA

a écrit:

MONTRÉAL : Un des favoris du Festival de Jazz de Montréal, le chanteur et guitariste américain folk-blues Kelly Joe Phelps, était à la Cinquième salle de la Place des arts, dimanche soir, dans une formule solo fort intimiste. Rendez-vous incontournable pour son public montréalais qui ne l’avait pas vu depuis cinq ans.

Créateur d’une grande musicalité et improvisateur brillant, il a livré une solide performance, mettant à profit des morceaux de ses 8 albums, en plus d’offrir le fruit de son plus récent matériel disponible sur l’album «Brother Sinner and the Whale», qui sortira au mois d’août.

On peut aisément considérer Phelps comme l’une des grandes figures de la scène blues contemporaine, même si au départ le musicien provient du jazz. Son inspiration de folk bigarré ajoute à la particularité du son hybride qu’il propose. Une musique qui vient du cœur et des trippes comparable au travail de Bill Frisell.

À chaque concert on se fait d’ailleurs la même réflexion : cet authentique artiste est d’une profondeur remarquable, qualité bonifiée par sa voix grave et réconfortante, au timbre légèrement granuleux.

L’essentiel

Il est arrivé sur scène dans une allure ultra décontractée. Au centre, trois micros, deux guitares (Dobro et acoustique) puis une chaise. Pour décor, un rideau noir à l’arrière de lui. Comme éclairage, quatre faisceaux de lumière blanche qui découpent son corps et ses instruments. L’homme est déterminé, comme toujours, à se rendre à l’essentiel, le blues.

Il a commencé la soirée avec le vieux classique « River Rat Jimmy », avec une signature légèrement différente de la version originale. Le texte est plus récité et la musique mise en avant-plan.

Ensuite est arrivée la nouvelle « Hard Time They Never Go Away », chanson plus rythmée avec ses riffs de guitare qui hypnotisent carrément. Une autre récente mouture évoque par la suite les bayous de la Lousiane. La slide guitar est superbement maîtrisée. Belle finale en douceur.

Il enchaine avec « Spit Me Outta the Whale » qui viendra prouver toute l’ingéniosité de ce guitariste aux doigts de magicien. « Well, that was an instrumental song ! », a ironisé Phelps juste après l’interprétation. « I’ve tried and tried to write down some words, in vain… »

Une touche gospel et des sédiments de bluegrass apparaîtront plus tard sur « Pilgram’s Reach », pièce coécrite avec Corinne West. Jolie mélodie réconfortante, tout comme le morceau suivant « Lead Me On » (1994), dans laquelle un homme demande à Dieu de le guider dans des moments difficiles. Magnifique berceuse qui mélange à merveille le jazz et le blues.

Après une douzaine de chansons et de généreux applaudissements, Kelly Joe Phelps, très reconnaissant de l’accueil, jouera en rappel la vibrante « Goodnight Irene ».

Touchante virtuosité.

Source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2012/07/02/kelly-joe-phelps-festival-de-jazz_n_1642101.html?utm_hp_ref=divertissement#slide=1171005

par kjp 09.07.12 0:00

Le 01 Juillet 2012 au MONTREAL INTERNATIONAL JAZZ FESTIVAL PLACE DES ARTS MONTREAL, QUEBEC, CANADA

a écrit:

Le joli Blues de Kelly Joe étincèle à Montréal

Depuis que le styliste Kelly Joe Phelps s'adonne davantage à la composition (son huitième CD : Western Bell, 2009), je brûlais d'entendre si les flamboyantes envolées de slide guitare, réputées en concert, n'avaient pas perdu de leur éclat. Déjà invité il y a 5 ans au Festival International de Jazz de Montréal, le Bluesman attire les foules. Pas facile de s'intercaler dans la Cinquième Salle, en ce dimanche premier juillet : tous les fauteuils occupés. J'ai pu m'asseoir aux rappels. Ebloui par la prestation. Quel feu de joie! Une pluie d'étincelles! L'Américain de la vallée de Tacoma (Washington State) s'est donné cordes et âme. Il a carbonisé la scène. Rompant, au bout de l'épuisement, le lien magique qui l'a attaché plus d'une heure avec une salle en fusion. La veille, l'artiste de folk-blues, improvisateur lumineux, casquette marron de travailleur agricole à la Woody Guthrie, me confiait avoir bénéficié considérablement des influences du Free Jazz, d'Albert Ayler, d'Ornette Coleman, de Miles Davis, de John Coltrane ("J'ai tiré des univers de leur musique"). Côté sources , Kelly Joe liste trois influences majeures du Delta Blues: Mississipi John Hurt, Robert Pete Williams, Fred Mc Dowell. Singulièrement, l'As de la slide ne doit rien au Bluesman Elmore James, pourtant une référence en la matière. Il me reprend avec bienveillance : "pourquoi voulez-vous que j'aille puiser chez Elmore ? Ma principale influence à la Slide, Fred Mc Dowell, contient un héritage entier! J'ai pu créer en dehors de la sphère d'Elmore". L'authenticité, la sincérité de l'artiste, sa douceur, sa recherche de vérité dans les réponses, ont détourné le genre de l'interview. J'ai passé une heure d'enrichissement et d'apaisement.

INTERVIEW

Kelly_Joe_Phelps_612_01D'où tirez-vous l'originalité du style?

Mon père jouait de la guitare. J'étais déjà fan de Buck Owens, Hank Snow et Ernest Tubb. Les styles picking de Merle Travis et de Chet Atkins m'ont marqué, cela dès l'adolescence. Il s'agit d'approches profondes de la musique folk, très ouvertes : elles préparent l'esprit au jazz. Puis un copain m'a sensibilisé au jazz moderne. J'ai découvert que Charlie Haden, le contrebassiste d'Ornette Coleman, adorait jouer du Bluegrass. Le lien m'a encouragé. Les possibilités du jazz m'ont séduit. Je me suis tourné naturellement vers l'improvisation à cette époque. Le choix du jazz est fondamental dans mon parcours : il a permis de m'affirmer.

Les musiciens qui vous intéressent en ce moment ?

Principalement John Coltrane, pour la pureté et la détermination. Pour le fait de se dresser et d'exprimer la parole jusqu'au bout de soi-même. Un aspect qui me plait également : il portait un message chrétien. Je l'écoute régulièrement.

Kjp_whaleOn ressent une forte influence gospel dans votre musique...

Mes parents allaient à la messe. A la maison, une Bible traînait toujours à portée de main. Le plus j'avance dans la vie, le plus je pense qu'il existe quelque chose d'important autour de l'âme. Quelque de plus profond que le simple cours des journées règle l'existence. Sur ce point, je ressens une communauté avec le public. Je raconte une histoire, et je ne la raconte qu'aux personnes présentes dans la salle ce soir-là. Nous atteignons des moments très intenses. Il arrive que la nature de l'échange modifie le cours du spectacle. J'en discute après les concerts. Certains confient l'émotion qu'ils ont éprouvé pendant le show. La beauté de la musique réside au coeur de ce partage. Dans l'intensité du contact. J'insiste pour me produire dans des petites salles afin d'entretenir la proximité. Malheureusement, un enregistrement ne traduira jamais cet esprit. Impossible de mettre la vie en boîte.

Bruno Pfeiffer

Source : http://jazz.blogs.liberation.fr/pfeiffer/2012/07/le-joli-blues-de-kelly-joe-%C3%A9tinc%C3%A8le-%C3%A0-montr%C3%A9al.html

par jipes 09.07.12 11:53

Hélas on était déjà à l'aéroport de Montréal lorsqu'il est monté sur scène du Festival, on l'a raté de quelque heures

par leptilou 09.07.12 14:12

Ah oui, il est quand même très religieux au sens américain du terme...

"Un aspect qui me plait également : il portait un message chrétien. Je l'écoute régulièrement."

par leptilou 09.07.12 14:16

Certaines vidéos (celles qui sont restés accessibles...) me font penser penser à Bruce Cockburn, autre oublié de la musique...

par leptilou 09.07.12 14:18

jipes a écrit:Hélas on était déjà à l'aéroport de Montréal

Tu as raté sans doute Jus de Bocse aussi ! grand dommage !!!!

par jipes 09.07.12 14:56

leptilou a écrit:
jipes a écrit:Hélas on était déjà à l'aéroport de Montréal
Tu as raté sans doute Jus de Bocse aussi ! grand dommage !!!!

On peut pas tout voir surtout vu l'ampleur des scènes proposées et le peu de temps que l'on avait sur place Wink

Néanmoins j'ai découvert Steve Hill en Solo et il m'a collé une grande baffe le canadien pirat

J'ai raté par contre Grégoire Maret excellent harmoniciste jazz qui a travaillé notamment avec Cassandra Wilson et Youssoun'Dour

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