Deluxe Editions 2014
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Re: Deluxe Editions 2014
pas pris le 2 et le 3
juste le premier en triple vinyle...
je le reçois dans 10 jour...
autant le concert me branche, je ne pense pas que le son sera génial, mais vu l'année l'envie d'en découdre et le mordant du coudre devrait transparaître.
après j'attends peu des inédits mais j'pense que le boulot de la remasterisation devrait être bon
juste le premier en triple vinyle...
je le reçois dans 10 jour...
autant le concert me branche, je ne pense pas que le son sera génial, mais vu l'année l'envie d'en découdre et le mordant du coudre devrait transparaître.
après j'attends peu des inédits mais j'pense que le boulot de la remasterisation devrait être bon
Wu wei- Messages : 4680
Date d'inscription : 04/07/2011
Le blues supersonique de Led Zeppelin
BLUES -
Le blues supersonique de Led Zeppelin retrouve son rayonnement initial avec de nouvelles rééditions. Quarante ans après, le choc demeure.
Faute de combattants - Robert Plant, réticent, plus encore que John Bonham, aux abonnés absents depuis 1980 -, Led Zeppelin n'est pas près de se reformer. Dans cet intense regret, Jimmy Page a puisé la force et l'énergie pour entretenir la pertinence de son groupe unique, quarante ans après avoir enflammé l'histoire du rock. A 70 ans, le guitar hero suprême au sens inouï du collectif - la clé de l'exception Zeppelin - veille jalousement au rayonnement éternel et sans partage de son héritage. Car au-delà de sa visée mercantile, la nouvelle réédition du catalogue de Led Zep (1) est l'oeuvre d'un homme de certitude qui ne s'embarrasse pas de fausse modestie. D'emblée, Page, en recrutant en 1968 John Paul Jones, Robert Plant et John Bonham, visait le sommet, le groupe parfait. Avec l'excellence et l'exigence comme ciment, là où la concurrence s'était construite sur l'amitié ou le hasard. La dureté en affaires et de caractère du « dirigeable de plomb » n'était que le reflet d'un dévouement total à son heavy blues supersonique et révolutionnaire. Une musique de virtuoses et d'érudits, composée à l'instinct, brassant en un tout époustouflant l'histoire de la musique passée et à venir. Vingt ans après la dernière remastérisation de son oeuvre à l'ère du CD encore triomphant, Jimmy Page a voulu redonner le lustre initial à ses précieux enregistrements : celui des pressages originaux, en vinyle, pièces de collection aujourd'hui. Dès les premières notes de Good Times bad times ou Whole Lotta Love, le choc demeure, chaque titre classique (autant dire tous) retrouvant sa fraîcheur et sa puissance inégalées. A tel point que les inédits enfin exhumés ne servent qu'à confirmer que le meilleur et l'essentiel avaient bien été retenus. Un work in progress plaisant (La la) et des mix non définitifs à destination de fans confirmés pâlissent face à l'intégrale du concert mythique de l'Olympia, en 1969, livré en bonus du premier volume. Led Zeppelin démontrait que la magie du studio ne tenait qu'à cette alchimie incroyable qu'ils reproduiront de concerts en concerts, jamais figés, toujours ou presque extraordinaires. — Hugo Cassavetti
(1) Première salve : Led Zeppelin I, II et III, en édition double CD, vinyle ou coffret super deluxe, chez Warner.
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Le blues supersonique de Led Zeppelin retrouve son rayonnement initial avec de nouvelles rééditions. Quarante ans après, le choc demeure.
Faute de combattants - Robert Plant, réticent, plus encore que John Bonham, aux abonnés absents depuis 1980 -, Led Zeppelin n'est pas près de se reformer. Dans cet intense regret, Jimmy Page a puisé la force et l'énergie pour entretenir la pertinence de son groupe unique, quarante ans après avoir enflammé l'histoire du rock. A 70 ans, le guitar hero suprême au sens inouï du collectif - la clé de l'exception Zeppelin - veille jalousement au rayonnement éternel et sans partage de son héritage. Car au-delà de sa visée mercantile, la nouvelle réédition du catalogue de Led Zep (1) est l'oeuvre d'un homme de certitude qui ne s'embarrasse pas de fausse modestie. D'emblée, Page, en recrutant en 1968 John Paul Jones, Robert Plant et John Bonham, visait le sommet, le groupe parfait. Avec l'excellence et l'exigence comme ciment, là où la concurrence s'était construite sur l'amitié ou le hasard. La dureté en affaires et de caractère du « dirigeable de plomb » n'était que le reflet d'un dévouement total à son heavy blues supersonique et révolutionnaire. Une musique de virtuoses et d'érudits, composée à l'instinct, brassant en un tout époustouflant l'histoire de la musique passée et à venir. Vingt ans après la dernière remastérisation de son oeuvre à l'ère du CD encore triomphant, Jimmy Page a voulu redonner le lustre initial à ses précieux enregistrements : celui des pressages originaux, en vinyle, pièces de collection aujourd'hui. Dès les premières notes de Good Times bad times ou Whole Lotta Love, le choc demeure, chaque titre classique (autant dire tous) retrouvant sa fraîcheur et sa puissance inégalées. A tel point que les inédits enfin exhumés ne servent qu'à confirmer que le meilleur et l'essentiel avaient bien été retenus. Un work in progress plaisant (La la) et des mix non définitifs à destination de fans confirmés pâlissent face à l'intégrale du concert mythique de l'Olympia, en 1969, livré en bonus du premier volume. Led Zeppelin démontrait que la magie du studio ne tenait qu'à cette alchimie incroyable qu'ils reproduiront de concerts en concerts, jamais figés, toujours ou presque extraordinaires. — Hugo Cassavetti
(1) Première salve : Led Zeppelin I, II et III, en édition double CD, vinyle ou coffret super deluxe, chez Warner.
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Norbert- Messages : 6026
Date d'inscription : 26/05/2010
Age : 60
Localisation : alsace
Re: Deluxe Editions 2014
Je me suis procuré les 33 tours des II et III (la pochette !), 15 € la rondelle. Super travail, rien à redire. J'ai écouté les CD inédits des versions Deluxe : intéressants comme de bons pirates, mais je n'ai pas eu le sentiment qu'ils rajoutaient quoi que ce soit à la légende - d'où l'achat des 33 tours !
Re: Deluxe Editions 2014
on m'a offert le 1 en CD double. Le remaster est impeccable... et agréable à redécouvrir... mon vinyle était cuit et le CD années 80 médiocre : je n'ai pas encore assez écouté l'Olympia pour dire si c'est enthousiasmant...
Re: Deluxe Editions 2014
alors :
comme souvent comme toujours la remasterisation fait parler d'elle :
- géniale
- inutile
- sacrilège
- pompe à fric
c'est un peu tout ça,
les versions différents (t'as un peu de sous, t'as des sous, tu es riche) prouvent bien que l'aspect pognon n'est pas négligeable
maintenant pour qui a déjà toutes les versions possibles, il est vrai que les différences sont à la fois minimes et énormes
minimes parce que ça reste le zep et que c'est bon et que c'est propre
énormes parce que c'est plus clair, rond et détaillé... donc les amateurs du gros son de l'époque seront déçus..;
oui mais !
je comprends ça, mais je ne le comprends pas.
sur mon matos (qui coûte un peu de sous mais pas deux bras) je n'entends pas trop de différences entre la dernière version remasterisée (en cd) et celle-ci (en vinyle), la vraie différence ma paraît vraiment sur le "détaillage" des instruments qui semblent un peu plus séparés. -du coup j'ai donné mes versions cd -
après si on fouille chez les spécialistes il y a des pointilleux... mais cela nécessite soit une oreille de folie, soit un matos qui coûte très cher... et là je commence à trouver ça drôle.
parce que Page, n'est plus le même, il préfère sans doute un côté plus "maîtrisé" et moins "gros son" qu'avant...
on peut lui reprocher cela et vouloir entendre ce gros son, ça se comprend quand on est jeune et que la chaîne crachote (et que les voisins râlent^^) mais quand on en a pour des milliers d'euros de matos, râler parce que l'esprit et la rage adolescente ont disparu ça me paraît incongru.
bref.
ça n'apporte rien de saisissant (si vous êtes un auditeur lambda), c'est plus clair et détaillé et un peu moins lourd... mais ça réveille toujours les voisins je vous rassure.
donc :
si vous les avez déjà vous pouvez passer votre chemin
sinon : foncez !
perso, les prix des éditions originales en vinyles me rebutent, cette version est donc idéale de ce point de vu.
question "disque compagnon"
sur le I
un concert de 69, encore une fois les amateurs, fans etc, vous diront, à raison, que tout cela existe déjà en pirate depuis des lustres, et qu'il existe mieux en qualité (sonore et de prestation pour l'époque) voire que quitte à sortir un live autant taper dans le earls court en intégrale.
tout cela est vrai.
mais si vous n'êtes pas du genre à plonger le nez dans tous les pirates disponibles, ce garçon représente bien ce qu'était le groupe en 69, le son n'est pas des plus génial, l'ensemble sonne un peu "bloc" (pour le coup on distingue moins les instruments)... mais alors : c'est énergique !
tudieu !
c'est une prestation honnête, brillante, bruyante, pêchue qui est un bon témoignage de ce que donnait le groupe sur scène à l'époque.
beaucoup d'énergie.
si vous n'avez pas plein de pirates de l'époque, vous pouvez y aller... sinon ben mieux vaut écouter vos versions
II
pas encore écouté les bonus ^^
III
idem tout pareil niveau de l'album et du remaster
pour le côté compagnon : ben là, si vous êtes amateur plus tourné vers la formation, le brouillon, l'étude... vous pouvez foncer, des prises de studio z'inédites (en tous les cas je ne connaissais pas du tout) des versions qui changent, un petit blues au coin du feu...
on retrouve l'esprit du cd bonus de wish you were here du floyd d'il y a quelques années, rien de grandiose, mais un esprit de partage, assez intime, sur le mode de la confidence, de la porte de studio qu'on entrouvre et à l'époque -si je ne m'abuse- ils jouaient encore ensemble en studio.
si vous êtes plutôt amateur du live, de la fusion entre un groupe génial et ses millions de fans survoltés... vous avez déjà tout, et vous serez déçu car ce n'est pas le genre de matériel qui répond à cette vision du groupe.
comme souvent comme toujours la remasterisation fait parler d'elle :
- géniale
- inutile
- sacrilège
- pompe à fric
c'est un peu tout ça,
les versions différents (t'as un peu de sous, t'as des sous, tu es riche) prouvent bien que l'aspect pognon n'est pas négligeable
maintenant pour qui a déjà toutes les versions possibles, il est vrai que les différences sont à la fois minimes et énormes
minimes parce que ça reste le zep et que c'est bon et que c'est propre
énormes parce que c'est plus clair, rond et détaillé... donc les amateurs du gros son de l'époque seront déçus..;
oui mais !
je comprends ça, mais je ne le comprends pas.
sur mon matos (qui coûte un peu de sous mais pas deux bras) je n'entends pas trop de différences entre la dernière version remasterisée (en cd) et celle-ci (en vinyle), la vraie différence ma paraît vraiment sur le "détaillage" des instruments qui semblent un peu plus séparés. -du coup j'ai donné mes versions cd -
après si on fouille chez les spécialistes il y a des pointilleux... mais cela nécessite soit une oreille de folie, soit un matos qui coûte très cher... et là je commence à trouver ça drôle.
parce que Page, n'est plus le même, il préfère sans doute un côté plus "maîtrisé" et moins "gros son" qu'avant...
on peut lui reprocher cela et vouloir entendre ce gros son, ça se comprend quand on est jeune et que la chaîne crachote (et que les voisins râlent^^) mais quand on en a pour des milliers d'euros de matos, râler parce que l'esprit et la rage adolescente ont disparu ça me paraît incongru.
bref.
ça n'apporte rien de saisissant (si vous êtes un auditeur lambda), c'est plus clair et détaillé et un peu moins lourd... mais ça réveille toujours les voisins je vous rassure.
donc :
si vous les avez déjà vous pouvez passer votre chemin
sinon : foncez !
perso, les prix des éditions originales en vinyles me rebutent, cette version est donc idéale de ce point de vu.
question "disque compagnon"
sur le I
un concert de 69, encore une fois les amateurs, fans etc, vous diront, à raison, que tout cela existe déjà en pirate depuis des lustres, et qu'il existe mieux en qualité (sonore et de prestation pour l'époque) voire que quitte à sortir un live autant taper dans le earls court en intégrale.
tout cela est vrai.
mais si vous n'êtes pas du genre à plonger le nez dans tous les pirates disponibles, ce garçon représente bien ce qu'était le groupe en 69, le son n'est pas des plus génial, l'ensemble sonne un peu "bloc" (pour le coup on distingue moins les instruments)... mais alors : c'est énergique !
tudieu !
c'est une prestation honnête, brillante, bruyante, pêchue qui est un bon témoignage de ce que donnait le groupe sur scène à l'époque.
beaucoup d'énergie.
si vous n'avez pas plein de pirates de l'époque, vous pouvez y aller... sinon ben mieux vaut écouter vos versions
II
pas encore écouté les bonus ^^
III
idem tout pareil niveau de l'album et du remaster
pour le côté compagnon : ben là, si vous êtes amateur plus tourné vers la formation, le brouillon, l'étude... vous pouvez foncer, des prises de studio z'inédites (en tous les cas je ne connaissais pas du tout) des versions qui changent, un petit blues au coin du feu...
on retrouve l'esprit du cd bonus de wish you were here du floyd d'il y a quelques années, rien de grandiose, mais un esprit de partage, assez intime, sur le mode de la confidence, de la porte de studio qu'on entrouvre et à l'époque -si je ne m'abuse- ils jouaient encore ensemble en studio.
si vous êtes plutôt amateur du live, de la fusion entre un groupe génial et ses millions de fans survoltés... vous avez déjà tout, et vous serez déçu car ce n'est pas le genre de matériel qui répond à cette vision du groupe.
Wu wei- Messages : 4680
Date d'inscription : 04/07/2011
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