Gene Clark : White Light (1971)
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Gene Clark : White Light (1971)
Gene Clark : White Light (1971)
1. The Virgin
2. With Tomorrow
3. White Light
4. Because Of You
5. One In A Hundred
6. For A Spanish Guitar
7. Where My Love Lies Asleep
8. Tears Of Rage
9. 1975
(Bonus Track only on cd)
10. Because Of You
11. Stand By Me
12. Ship Of The
13. Opening Day
14. Winter In
Gene Clark : Vocals
Jesse Ed Davis : Guitar
Ben Sidran : piano
Mike Utley : organ
Chris Ethridge : Bass
Gary Mallaber : Drums
Songwriter de génie et un des principaux pionniers du country-rock, Gene Clark n'a aucunement à rougir devant des icones telles que Bob Dylan ou Neil Young, au contraire... Son talent dépasse par ailleurs largement celui déjà conséquent de ses compères des Byrds Roger McGuinn, Chris Hillman et David Crosby ainsi que celui de son successeur au sein de cette formation : Gram Parsons.
Sa carrière solo démarre en 1967 avec l'excellent Echoes, mais elle atteint son sommet en 1971 avec ce fabuleux White Light, indétrônable parmi les plus grands albums de "songer/songwriter" de tous les temps. Sa silhouette illuminée par le soleil sur fond noir en dit déjà beaucoup sur la tonalité de l'album : intimiste, plaintif voire mélancolique, Gene Clark reste doué pour ne jamais trop en faire. L'orchestration ainsi que les arrangements demeurent des plus simplistes et laissent alors émerger au mieux les talents de compositeur hors pair de l'artiste. L'ombre country plane au dessus de la totalité de cet album dont les parfums folk sont aussi évidents sans tomber pourtant une seule minute dans un piège fréquent : la platitude. La section rythmique y est pour beaucoup avec un batteur discret mais insaisissable (Gary Mallaber) et un bassiste au son puissant et déterminant (Chris Ethridge des Flying Burrito Brothers'). A ceux-ci s'ajoutent le pianiste Ben Sidran (Steve Miller Band), et l'organiste Michael Utley. Gene Clark se charge quant à lui des guitares, des superbes et trop rares parties d'harmonica et bien sur du chant.
L'album original comporte les neuf premières pistes, témoignant chacune d'une manière différente de l'immense talent de Gene Clark. Certaines sont plus immédiates, comme "White Light", d'une délicieuse simplicité et aux harmonicas irrésistibles, ou encore "The Virgin", plus molle, plus nonchalante, plus obsédante également. Isoler la plus belle chanson reste une tache difficile mais le magnifique "For a Spanish Guitar" semble tout de même se détacher du reste de l'album, malgré encore une fois, sa simplicité déconcertante... N'oublions pas que Gene Clark se paye le luxe de transcender le "Tears of Rage" de Bob Dylan avec une facilité fort sympathique...
Les cinq titre rajoutés ne sont pas de trop, notamment l'excellente reprise de "Stand By Me". Leur présence ne nuit pas à la qualité globale de l'album, ce qui reste rare pour des titres bonus...
Par la suite Gene Clark déclinera lentement, malgré le très bon No Other en 1974. Ravagé d'un coté par les diverses batailles juridiques entre les Byrds, de l'autre par l'alcool qui lui ronge progressivement le tube digestif. Il décède en 1991, des complications d'un ulcère hémorragique...
source :
http://perso.orange.fr/religionnaire/artistes/70s/albums/white_light.htm
Biographie (Fr)
http://www.jamrek.com/SPIP-v1-7-2/article.php3?id_article=9
1. The Virgin
2. With Tomorrow
3. White Light
4. Because Of You
5. One In A Hundred
6. For A Spanish Guitar
7. Where My Love Lies Asleep
8. Tears Of Rage
9. 1975
(Bonus Track only on cd)
10. Because Of You
11. Stand By Me
12. Ship Of The
13. Opening Day
14. Winter In
Gene Clark : Vocals
Jesse Ed Davis : Guitar
Ben Sidran : piano
Mike Utley : organ
Chris Ethridge : Bass
Gary Mallaber : Drums
Songwriter de génie et un des principaux pionniers du country-rock, Gene Clark n'a aucunement à rougir devant des icones telles que Bob Dylan ou Neil Young, au contraire... Son talent dépasse par ailleurs largement celui déjà conséquent de ses compères des Byrds Roger McGuinn, Chris Hillman et David Crosby ainsi que celui de son successeur au sein de cette formation : Gram Parsons.
Sa carrière solo démarre en 1967 avec l'excellent Echoes, mais elle atteint son sommet en 1971 avec ce fabuleux White Light, indétrônable parmi les plus grands albums de "songer/songwriter" de tous les temps. Sa silhouette illuminée par le soleil sur fond noir en dit déjà beaucoup sur la tonalité de l'album : intimiste, plaintif voire mélancolique, Gene Clark reste doué pour ne jamais trop en faire. L'orchestration ainsi que les arrangements demeurent des plus simplistes et laissent alors émerger au mieux les talents de compositeur hors pair de l'artiste. L'ombre country plane au dessus de la totalité de cet album dont les parfums folk sont aussi évidents sans tomber pourtant une seule minute dans un piège fréquent : la platitude. La section rythmique y est pour beaucoup avec un batteur discret mais insaisissable (Gary Mallaber) et un bassiste au son puissant et déterminant (Chris Ethridge des Flying Burrito Brothers'). A ceux-ci s'ajoutent le pianiste Ben Sidran (Steve Miller Band), et l'organiste Michael Utley. Gene Clark se charge quant à lui des guitares, des superbes et trop rares parties d'harmonica et bien sur du chant.
L'album original comporte les neuf premières pistes, témoignant chacune d'une manière différente de l'immense talent de Gene Clark. Certaines sont plus immédiates, comme "White Light", d'une délicieuse simplicité et aux harmonicas irrésistibles, ou encore "The Virgin", plus molle, plus nonchalante, plus obsédante également. Isoler la plus belle chanson reste une tache difficile mais le magnifique "For a Spanish Guitar" semble tout de même se détacher du reste de l'album, malgré encore une fois, sa simplicité déconcertante... N'oublions pas que Gene Clark se paye le luxe de transcender le "Tears of Rage" de Bob Dylan avec une facilité fort sympathique...
Les cinq titre rajoutés ne sont pas de trop, notamment l'excellente reprise de "Stand By Me". Leur présence ne nuit pas à la qualité globale de l'album, ce qui reste rare pour des titres bonus...
Par la suite Gene Clark déclinera lentement, malgré le très bon No Other en 1974. Ravagé d'un coté par les diverses batailles juridiques entre les Byrds, de l'autre par l'alcool qui lui ronge progressivement le tube digestif. Il décède en 1991, des complications d'un ulcère hémorragique...
source :
http://perso.orange.fr/religionnaire/artistes/70s/albums/white_light.htm
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Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Gene Clark : White Light (1971)
[quote=]As for the songs themselves, Clark rarely bettered himself. "Spanish Guitar" is easily one of Clark's most intense and arresting compositions, with lines like "from deep in my soul to my brain to a Spanish guitar..."; it's no wonder Bob Dylan claims that he wished he'd written the song. The whole album, frankly, is that good, and is a must for anyone interested in the most criminally underrated singer/songwriter of his era.[/quote]
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
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