Tim Buckley : Lorca (1970)
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Tim Buckley : Lorca (1970)
Tim Buckley : Lorca (1970)
Face 1
1. Lorca - 9:53
2. Anonymous Proposition - 7:43
Face 2
1. I Had A Talk With My Woman - 5:55
2. Driftin' - 8:10
3. Nobody Walkin' - 7:30
Musiciens :
Tim Buckley - 12-string guitar
John Balkin - upright bass, Fender bass, pipe organ
Lee Underwood - electric guitar, electric piano
Carter C.C. Collins - congas
Ce n'est pas le meilleur album studio de Tim Buckley. Mais c'est un album-clef : Buckley décide de produire une musique sans la moindre compromission, sans une quelconque considération commerciale. Et, surtout, c'est un album qui laisse présager que le MEILLEUR est à venir. Au plus grand désarroi des amateurs de Tim Buckley, "Starsailor" n'a pas été réédité depuis... une éternité ! Seul "Lorca" laisse entrevoir ce que Tim Buckley allait faire.
"Lorca" est peut-être un peu inégal, certains titres traînant un peu en longueur car il se cherche - mais quand il trouve, c'est l'extase ! Ecoutez donc "Drifting". Les nuances de sa voix sont sans limites. De toute manière, les limites, ça n'a jamais été son truc à Tim Buckley. "Lorca"... une répétition avant d'atteindre les étoiles.
Face 1
1. Lorca - 9:53
2. Anonymous Proposition - 7:43
Face 2
1. I Had A Talk With My Woman - 5:55
2. Driftin' - 8:10
3. Nobody Walkin' - 7:30
Musiciens :
Tim Buckley - 12-string guitar
John Balkin - upright bass, Fender bass, pipe organ
Lee Underwood - electric guitar, electric piano
Carter C.C. Collins - congas
Ce n'est pas le meilleur album studio de Tim Buckley. Mais c'est un album-clef : Buckley décide de produire une musique sans la moindre compromission, sans une quelconque considération commerciale. Et, surtout, c'est un album qui laisse présager que le MEILLEUR est à venir. Au plus grand désarroi des amateurs de Tim Buckley, "Starsailor" n'a pas été réédité depuis... une éternité ! Seul "Lorca" laisse entrevoir ce que Tim Buckley allait faire.
"Lorca" est peut-être un peu inégal, certains titres traînant un peu en longueur car il se cherche - mais quand il trouve, c'est l'extase ! Ecoutez donc "Drifting". Les nuances de sa voix sont sans limites. De toute manière, les limites, ça n'a jamais été son truc à Tim Buckley. "Lorca"... une répétition avant d'atteindre les étoiles.
Re: Tim Buckley : Lorca (1970)
D'aucuns diront que c'est le début de la fin avec la période Straight... Ce sont pourtant les mêmes musiciens que sur Blue Afternoon et Happy Sad, il me semble (à part le bassiste).
Album-charnière en effet, mais je préfère personnellement ce qu'il a fait avant, avec comme exception le monstrueux Greetings From LA avec "Sweet Surrender" et "Make it Right". Dommage que les albums live ne soient pas aussi bons, à part Dream Letter bien sûr.
Si quelqu'un peut scanner l'article publié par Philippe Garnier dans R&F à l'occasion de sa mort en juin 75, ça me rajeunira!
Album-charnière en effet, mais je préfère personnellement ce qu'il a fait avant, avec comme exception le monstrueux Greetings From LA avec "Sweet Surrender" et "Make it Right". Dommage que les albums live ne soient pas aussi bons, à part Dream Letter bien sûr.
Si quelqu'un peut scanner l'article publié par Philippe Garnier dans R&F à l'occasion de sa mort en juin 75, ça me rajeunira!
Tim Buckley: Lorca
Euh comment dire, certains diront que c'est un truc, un machin. Pour moi c'est la grande classe.
Tim montre par cet album qu'il n'est pas seulement un chanteur de folk avec un bel organe. Il montre que c'est un artiste exceptionnel.
Les melodies peuvent paraitre destructurees. En fait, il y a une symetrie plusque facile d'approche, la rythmique est ultra ultra simple, ce qui destabilise c'est la maniere de coller son chant et quelques instruments sans respecter exactement le tempo. Ca donne un petit cote decale. Un fois qu'on a consomme cela, c'est du grandiose. Un blues ultra avant gardiste, avec des criteres de beautes hors normes.
Tim montre par cet album qu'il n'est pas seulement un chanteur de folk avec un bel organe. Il montre que c'est un artiste exceptionnel.
Les melodies peuvent paraitre destructurees. En fait, il y a une symetrie plusque facile d'approche, la rythmique est ultra ultra simple, ce qui destabilise c'est la maniere de coller son chant et quelques instruments sans respecter exactement le tempo. Ca donne un petit cote decale. Un fois qu'on a consomme cela, c'est du grandiose. Un blues ultra avant gardiste, avec des criteres de beautes hors normes.
LeGarsReg- Messages : 39
Date d'inscription : 25/10/2011
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