Centipede: septober energy
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Centipede: septober energy
Voila un album qui aura déçu plus d'un amateur de la scène de canterbury et du rock prog.
La liste des musiciens parle d'elle meme:
Violins
Wendy Treacher
John Trussler
Roddy Skeping
Wilf Gibson (lead)
Carol Slater
Louise Jopling
Garth Morton
Channa Salononson
Steve Rowlandson
Mica Gomberti
Colin Kitching
Philip Saudek
Esther Burgi
Cellos
Michael Hurwitz
Timothy Kramer
Suki Towb
John Rees-Jones
Katherine Thulborn
Catherine Finnis
Trumpets
Peter Parkes
Mick Collins
Ian Carr (doubling flugelhorn)
Mongezi Feza (pocket cornet)
Mark Charig (cornet)
Altos
Elton Dean (doubling saxello)
Jan Steel (doubling flute)
Ian McDonald
Dudu Pukwana
Tenors
Larry Stabbins
Gary Windo
Brian Smith
Alan Skidmore
Baritones
Dave White (doubling clarinet)
Karl Jenkins (doubling oboe)
John Williams (bass saxophone, doubling soprano)
Trombones
Nick Evans
Dave Amis
Dave Perrottet
Paul Rutherford
Drums
John Marshall (and all percussion)
Tony Fennell
Robert Wyatt
Vocalists
Maggie Nicols
Julie Tippetts
Mike Patto
Zoot Money
Boz Burrell
Basses
Roy Babbington (doubling bass guitar)
Jill Lyons
Harry Miller
Jeff Clyne
Dave Markee
Brian Belshaw
Guitars
Brian Godding
Piano
Keith Tippett (musical director)
Producer:
Robert Fripp
Centipede, 100 jambes, 50 musiciens. Et un Keith Tipett qui va choquer les oreilles des fans de king crimson, soft machine, henri cow, etc...
Keith Tipett va déstructurer la musique. Il va la dépouiller du bon sens bien trop traditionnel. Pour certains il s'agit d'un grand n'importe quoi. Evidemment. Toujours les mêmes. Pour moi il s'agit d'une oeuvre exceptionnelle, qui continue de vivre aujourd'hui puisque centipede se reforme de temps a autres pour des festivals bien perchés.
4 morceaux de 20 min.
Morceau 1:
Il s'agit d'une ambiance très particulière. Entre les cris des cuivres. Les nappes vocales qui semblent onduler. Les percus qui colorent la scene sans cohérence apparente. Pour aller crescendo, jusqu’à laisser passer une mélodie. Mais les cuivres, assourdissants, pèsent sur l'ambiance. Un violon se dégage, mystérieux, pour laisser place a une horde sauvage de cuivre attaquant l'espace de toute force et de toute part. Energy. Destructive. Pour créer quelque chose de nouveau.
Pour aller au delà de l'harmonie chérie. Soutenue par les cordes qui se rebelles. Cacaotique. Il s'agit d'une panique musicale avant de rentrer dans une transe sublissime. Transe vocale. Puis des cuivres. Puis tous. On m'attaque. Je cours. Je fuis. Tout va cresendo, Une fureur inouïe.
Pour redescendre. Puis remonter dans un free jazz a 50 musiciens. On est englouti dans la musique. Une expérience a part entière.
Morceau 2:
Comme le premier, on commence dans une ambiance aéré. Free. Mais pour partir dans un monde plus mathématiques. Le temps reprend le relaie, son importance.
Même si les sax sont bien saturé, rien de comparable au premier morceau. On est dans un monde connu, énergique certes, mais pas brownien.
La base musicale est Répétitive, les saxes en avant plan discute librement avec force. Belles mélodies. Pour évoluer. Vers la transe. Le cri strident des chanteuses se répétant indéfiniment rappel la force de l'ensemble. La densité de la musique est magnifique.
Morceau 3:
"When everything that we know is forever dead. All the things in the world we love have got away. May be they will come another day."
La mort de la beauté connue. Délire rythmique décousue.Pour rentrer dans une phase contemporaine minimaliste. Le calme dissonant.
Puis ça repart. Avec moins d'energie dans un premier temps, mais déchirant par la suite. Rageant sa haine. Ses cris.
Morceau 4.
Piano solo. Intime. Puis on reprend sur une base compréhensible arithmétiquement. La basse rappel david axelrold. Le tout semble se réconcilier.
A l'unisson. Une melodie magnifique. Bonne peche, mais dans un climat serein, on se prend tous par la main, c'est la fin du spectacle, il n'y avait pas de méchants.
Dans une ambiance hippie. Patdef. Sourire aux lèvres. Les choristes répètent inlassablement la même chose. Pour monter. Et dire que tout l'monde est beau. Que c'est super. Qu'on est en vacances.
Bref, un album extraordianire. Qui choque. Et c'est le moins qu'on puisse dire.
Mais quelle beauté! quelle énergie! En concert il parait que c'est époustouflant. ET musicalement c'est énorme.
Morceau 3:
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La liste des musiciens parle d'elle meme:
Violins
Wendy Treacher
John Trussler
Roddy Skeping
Wilf Gibson (lead)
Carol Slater
Louise Jopling
Garth Morton
Channa Salononson
Steve Rowlandson
Mica Gomberti
Colin Kitching
Philip Saudek
Esther Burgi
Cellos
Michael Hurwitz
Timothy Kramer
Suki Towb
John Rees-Jones
Katherine Thulborn
Catherine Finnis
Trumpets
Peter Parkes
Mick Collins
Ian Carr (doubling flugelhorn)
Mongezi Feza (pocket cornet)
Mark Charig (cornet)
Altos
Elton Dean (doubling saxello)
Jan Steel (doubling flute)
Ian McDonald
Dudu Pukwana
Tenors
Larry Stabbins
Gary Windo
Brian Smith
Alan Skidmore
Baritones
Dave White (doubling clarinet)
Karl Jenkins (doubling oboe)
John Williams (bass saxophone, doubling soprano)
Trombones
Nick Evans
Dave Amis
Dave Perrottet
Paul Rutherford
Drums
John Marshall (and all percussion)
Tony Fennell
Robert Wyatt
Vocalists
Maggie Nicols
Julie Tippetts
Mike Patto
Zoot Money
Boz Burrell
Basses
Roy Babbington (doubling bass guitar)
Jill Lyons
Harry Miller
Jeff Clyne
Dave Markee
Brian Belshaw
Guitars
Brian Godding
Piano
Keith Tippett (musical director)
Producer:
Robert Fripp
Centipede, 100 jambes, 50 musiciens. Et un Keith Tipett qui va choquer les oreilles des fans de king crimson, soft machine, henri cow, etc...
Keith Tipett va déstructurer la musique. Il va la dépouiller du bon sens bien trop traditionnel. Pour certains il s'agit d'un grand n'importe quoi. Evidemment. Toujours les mêmes. Pour moi il s'agit d'une oeuvre exceptionnelle, qui continue de vivre aujourd'hui puisque centipede se reforme de temps a autres pour des festivals bien perchés.
4 morceaux de 20 min.
Morceau 1:
Il s'agit d'une ambiance très particulière. Entre les cris des cuivres. Les nappes vocales qui semblent onduler. Les percus qui colorent la scene sans cohérence apparente. Pour aller crescendo, jusqu’à laisser passer une mélodie. Mais les cuivres, assourdissants, pèsent sur l'ambiance. Un violon se dégage, mystérieux, pour laisser place a une horde sauvage de cuivre attaquant l'espace de toute force et de toute part. Energy. Destructive. Pour créer quelque chose de nouveau.
Pour aller au delà de l'harmonie chérie. Soutenue par les cordes qui se rebelles. Cacaotique. Il s'agit d'une panique musicale avant de rentrer dans une transe sublissime. Transe vocale. Puis des cuivres. Puis tous. On m'attaque. Je cours. Je fuis. Tout va cresendo, Une fureur inouïe.
Pour redescendre. Puis remonter dans un free jazz a 50 musiciens. On est englouti dans la musique. Une expérience a part entière.
Morceau 2:
Comme le premier, on commence dans une ambiance aéré. Free. Mais pour partir dans un monde plus mathématiques. Le temps reprend le relaie, son importance.
Même si les sax sont bien saturé, rien de comparable au premier morceau. On est dans un monde connu, énergique certes, mais pas brownien.
La base musicale est Répétitive, les saxes en avant plan discute librement avec force. Belles mélodies. Pour évoluer. Vers la transe. Le cri strident des chanteuses se répétant indéfiniment rappel la force de l'ensemble. La densité de la musique est magnifique.
Morceau 3:
"When everything that we know is forever dead. All the things in the world we love have got away. May be they will come another day."
La mort de la beauté connue. Délire rythmique décousue.Pour rentrer dans une phase contemporaine minimaliste. Le calme dissonant.
Puis ça repart. Avec moins d'energie dans un premier temps, mais déchirant par la suite. Rageant sa haine. Ses cris.
Morceau 4.
Piano solo. Intime. Puis on reprend sur une base compréhensible arithmétiquement. La basse rappel david axelrold. Le tout semble se réconcilier.
A l'unisson. Une melodie magnifique. Bonne peche, mais dans un climat serein, on se prend tous par la main, c'est la fin du spectacle, il n'y avait pas de méchants.
Dans une ambiance hippie. Patdef. Sourire aux lèvres. Les choristes répètent inlassablement la même chose. Pour monter. Et dire que tout l'monde est beau. Que c'est super. Qu'on est en vacances.
Bref, un album extraordianire. Qui choque. Et c'est le moins qu'on puisse dire.
Mais quelle beauté! quelle énergie! En concert il parait que c'est époustouflant. ET musicalement c'est énorme.
Morceau 3:
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LeGarsReg- Messages : 39
Date d'inscription : 25/10/2011
Re: Centipede: septober energy
pas écouté depuis ... 30 ans... car je ne l'ai pas ce skud ; qui n'avait pas dû me séduire à l'époque malgré la présence des softs 3ème et 4ème période (Babbington, Marschall, Jenkins, Dean...)
Un peu dans le même genre et dans le même courant, j'ai toujours ce vinyle très "free" :
Re: Centipede: septober energy
je sais pas si la qualité est au RV, mais :
https://www.youtube.com/watch?v=KdZbpRaCXh4&playnext=1&list=PL6B97F4B9BB8E8280
https://www.youtube.com/watch?v=JIzu4s7I-1A&feature=BFa&list=PL6B97F4B9BB8E8280&index=5
https://www.youtube.com/watch?v=3IbY0I41ItY&feature=BFa&list=PL6B97F4B9BB8E8280&index=6
https://www.youtube.com/watch?v=KdZbpRaCXh4&playnext=1&list=PL6B97F4B9BB8E8280
https://www.youtube.com/watch?v=JIzu4s7I-1A&feature=BFa&list=PL6B97F4B9BB8E8280&index=5
https://www.youtube.com/watch?v=3IbY0I41ItY&feature=BFa&list=PL6B97F4B9BB8E8280&index=6
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