Herbie Hancock
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Herbie Hancock
A l'occasion de la sortie de son nouvel album,pourquoi ne pas commencer un sujet sur cet immense musicien qu'est Herbie Hancock?JazzMagazine lui consacre son numéro de juillet et je reproduis ici la critique de son dernier opus ,repris "Des Derniéres Nouvelles Du Jazz".
Je n'ai pas encore écouter cet album mais je vous ferais part de mon ressenti très bientôt..
C'est typiquement le cas où " tout ce que vous dites pourra être retenu contre vous". S'agissant d'un album ultra-hyper-marketé la moindre critique pourrait en effet être interprétée comme un excès d'intellectualisme ou comme un anti-populisme que certain accusent d’être à l’origine de l’éloignement du jazz du grand public. Car il s'agit bien de cela en l'occurrence. D'un album plutôt joli, très très bien fait , super bien arrangé et dont l'easy listening est tellement bien cultivé qu'il s'adresse à coup sûr un public fort large. Sur des ballades tirées du répertoire de la pop music, Herbie Hancock propose à ses chanteurs de beaux arrangements, aussi zen que cool sur des thèmes de Lennon, de Dylan et d'autres, révélant ce que nous savions déjà , que ces mélodies très populaires sont de vraies petites merveilles, à la dimension de standards universels. Après tout, de Broadway à Cental Park il n'y a qu'un pas et cet universalisme de la culture musicale ( il faudrait revenir, avec le livre de Frederic Martel (*) sur cette « culture qui plaît à tout le monde » pseudo notion d'universalisme) rend la musique accessible over world wide au point que les frontières musicales s'abolissent comme par magie . Le magicien étant ici incarné par ce gourou de Herbie Hancock qui s'y connaît en mélange des genres et en métissages musicaux entre jazz, pop, musique africaine, gospel, musique indienne, reggae et on en passe dans unes sorte de melting pot parce que on est tous frères Jah love et Ari Krishna. Et le moins que l'on puisse dire c'est d'admettre que l'on prend un sacré plaisir à entendre ces chansons bien connues tirées, toutes du répertoire de la pop occidentale. Elles sont, on l’a dit superbement bien réarrangées sous la patte de ce diable de Herbie Hancok qui convie pour l'occasion un véritable all-stars. Les versions par exemple de Don't give up ( de Peter Gabriel) ou de Time are changing (de Dylan) sont superbes, sans compter une version absolument merveilleuse de A change is gonna come ( de Sam Cooke). Les chanteurs se succèdent avec leurs voix si typiquement ancrées dans leur propre culture. Les tourneries donnent (un tout petit peu) d’épaisseur au groove (Tamatant Tilay couplé à Exodus). Mais on est vite exaspéré par ce côté racoleur et politiquement correct qui viserait à effacer toutes les différences pourvu qu'il s'agisse de nous unir pour l'amour de la musique, amen, jah love et ari krishna encore. On se croirait parfois dans une kermesse caritative à New York. OU plus encore dans une pub pour le nouvel Ipad. Preuve de la « dominance » de la culture américaine et de son illusion du métissage qui n’est autre ici qu’un collage plutôt racoleur. Jean-Marc Gelin
Je n'ai pas encore écouter cet album mais je vous ferais part de mon ressenti très bientôt..
C'est typiquement le cas où " tout ce que vous dites pourra être retenu contre vous". S'agissant d'un album ultra-hyper-marketé la moindre critique pourrait en effet être interprétée comme un excès d'intellectualisme ou comme un anti-populisme que certain accusent d’être à l’origine de l’éloignement du jazz du grand public. Car il s'agit bien de cela en l'occurrence. D'un album plutôt joli, très très bien fait , super bien arrangé et dont l'easy listening est tellement bien cultivé qu'il s'adresse à coup sûr un public fort large. Sur des ballades tirées du répertoire de la pop music, Herbie Hancock propose à ses chanteurs de beaux arrangements, aussi zen que cool sur des thèmes de Lennon, de Dylan et d'autres, révélant ce que nous savions déjà , que ces mélodies très populaires sont de vraies petites merveilles, à la dimension de standards universels. Après tout, de Broadway à Cental Park il n'y a qu'un pas et cet universalisme de la culture musicale ( il faudrait revenir, avec le livre de Frederic Martel (*) sur cette « culture qui plaît à tout le monde » pseudo notion d'universalisme) rend la musique accessible over world wide au point que les frontières musicales s'abolissent comme par magie . Le magicien étant ici incarné par ce gourou de Herbie Hancock qui s'y connaît en mélange des genres et en métissages musicaux entre jazz, pop, musique africaine, gospel, musique indienne, reggae et on en passe dans unes sorte de melting pot parce que on est tous frères Jah love et Ari Krishna. Et le moins que l'on puisse dire c'est d'admettre que l'on prend un sacré plaisir à entendre ces chansons bien connues tirées, toutes du répertoire de la pop occidentale. Elles sont, on l’a dit superbement bien réarrangées sous la patte de ce diable de Herbie Hancok qui convie pour l'occasion un véritable all-stars. Les versions par exemple de Don't give up ( de Peter Gabriel) ou de Time are changing (de Dylan) sont superbes, sans compter une version absolument merveilleuse de A change is gonna come ( de Sam Cooke). Les chanteurs se succèdent avec leurs voix si typiquement ancrées dans leur propre culture. Les tourneries donnent (un tout petit peu) d’épaisseur au groove (Tamatant Tilay couplé à Exodus). Mais on est vite exaspéré par ce côté racoleur et politiquement correct qui viserait à effacer toutes les différences pourvu qu'il s'agisse de nous unir pour l'amour de la musique, amen, jah love et ari krishna encore. On se croirait parfois dans une kermesse caritative à New York. OU plus encore dans une pub pour le nouvel Ipad. Preuve de la « dominance » de la culture américaine et de son illusion du métissage qui n’est autre ici qu’un collage plutôt racoleur. Jean-Marc Gelin
Norbert- Messages : 6026
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Norbert- Messages : 6026
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Re: Herbie Hancock
https://www.youtube.com/watch?v=PyipvN8GeMs
Norbert- Messages : 6026
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Re: Herbie Hancock
01. Imagine (feat. Pink, Seal, India Arie & Jeff Beck, Konono N°1, & Oumou Sangare)
02. Don't Give Up (feat. Pink And John Legend)
03. Tempo De Amor (feat. Ceu)
04. Space Captain (feat. Susan Tedeschi And Derek Trucks)
05. The Times, They Are A Changin (feat. The Chieftains And Lisa Hannigan)
06. La Tierra (feat. Juanes)
07. Tamitant Tilay / Exodus (feat. Tinariwen, K’NAAN, & Los Lobos)
08. Tomorrow Never Knows (feat. Dave Matthews)
09. A Change Is Gonna Come (feat. James Morrison)
10. The Songs Goes On (feat. K.S. Chithra, Chaka Khan, Anoushka Shankar And Wayne Shorter)
Je suis toujours assez méfiant envers ces CD qui regroupent des tas d'invités plus ou moins à la mode venus d'horizons divers et variés qui en général font un melting pot boueux au final.
C'est un peu le cas ici, mais avec néanmoins de superbes morceaux, le Imagine qui ouvre le CD est réussi avec les différentes voix féminines et la guitare de Jeff Beck.
Don't Give est excellent, Tempo de Amor dispensable et on arrive à Space Captain avec un dialogue Dereck Trucks/Herbie Hancock de haute volée.
La version de The Times, They Are a Changing du Zim tout en subtilité irlandaise est originale la voix de Lisa Hannigan se mariant parfaitement au piano et aux instruments, la fin du morceau étant prétexte à une jolie partie instrumentale.
Changement complet de style avec La Tierra, morceau agréable mais qui détruit la tentative d'unité du disque, on en revient au reproche fait au début du texte.
Tamitant Tilay / Exodus est là pour les origines africo-jamaïco-mexicaines des invités, mais assez anecdotique.
Il semble que Hancock cherche à démontrer qu'il sait s'adapter à toutes sortes de musiques, d'où l'impression un peu catalogue, même si de nouveau le résultat n'est pas désagréable à l'écoute.
On passe aux Beatles, avec une orchestration originale mais le morceau traîne en longueur.
A Change Is Gonna Come de Sam Cooke est bien servi par James Morrison et là Hancock donne toute sa mesure.
Le dernier morceau aux sonorités indiennes et avec la présence de Wayne Shorter est excellent mais à nouveau, il aborde un autre genre musical comme si Hancock avait besoin d'un press-book
Au final, un disque plutôt réussi, par contre j'imagine (sans jeu de mots) assez mal ce qu'il donnera en live, vu que pianiste fait la tournée des festivals d'été.
02. Don't Give Up (feat. Pink And John Legend)
03. Tempo De Amor (feat. Ceu)
04. Space Captain (feat. Susan Tedeschi And Derek Trucks)
05. The Times, They Are A Changin (feat. The Chieftains And Lisa Hannigan)
06. La Tierra (feat. Juanes)
07. Tamitant Tilay / Exodus (feat. Tinariwen, K’NAAN, & Los Lobos)
08. Tomorrow Never Knows (feat. Dave Matthews)
09. A Change Is Gonna Come (feat. James Morrison)
10. The Songs Goes On (feat. K.S. Chithra, Chaka Khan, Anoushka Shankar And Wayne Shorter)
Je suis toujours assez méfiant envers ces CD qui regroupent des tas d'invités plus ou moins à la mode venus d'horizons divers et variés qui en général font un melting pot boueux au final.
C'est un peu le cas ici, mais avec néanmoins de superbes morceaux, le Imagine qui ouvre le CD est réussi avec les différentes voix féminines et la guitare de Jeff Beck.
Don't Give est excellent, Tempo de Amor dispensable et on arrive à Space Captain avec un dialogue Dereck Trucks/Herbie Hancock de haute volée.
La version de The Times, They Are a Changing du Zim tout en subtilité irlandaise est originale la voix de Lisa Hannigan se mariant parfaitement au piano et aux instruments, la fin du morceau étant prétexte à une jolie partie instrumentale.
Changement complet de style avec La Tierra, morceau agréable mais qui détruit la tentative d'unité du disque, on en revient au reproche fait au début du texte.
Tamitant Tilay / Exodus est là pour les origines africo-jamaïco-mexicaines des invités, mais assez anecdotique.
Il semble que Hancock cherche à démontrer qu'il sait s'adapter à toutes sortes de musiques, d'où l'impression un peu catalogue, même si de nouveau le résultat n'est pas désagréable à l'écoute.
On passe aux Beatles, avec une orchestration originale mais le morceau traîne en longueur.
A Change Is Gonna Come de Sam Cooke est bien servi par James Morrison et là Hancock donne toute sa mesure.
Le dernier morceau aux sonorités indiennes et avec la présence de Wayne Shorter est excellent mais à nouveau, il aborde un autre genre musical comme si Hancock avait besoin d'un press-book
Au final, un disque plutôt réussi, par contre j'imagine (sans jeu de mots) assez mal ce qu'il donnera en live, vu que pianiste fait la tournée des festivals d'été.
Re: Herbie Hancock
J'ai trouvé ce disque aspiriné à souhait : rien qui dépasse, même si les excellents musiciens présents livrent quelques belles choses ça et là. Seule vrai surprise de mon point de vue : comment se fait-il que Carlos Santana ne soit pas associé à un tel projet ?
Re: Herbie Hancock
Tres deçu aussi...C'est tres lisse,asseptisé,surproduit...On a l'impression d'écouter la bande son d'une pub pour une carte de crédit ou pour une grosse berline allemande...
Du coup je retourne écouter les Headhunters
Du coup je retourne écouter les Headhunters
Norbert- Messages : 6026
Date d'inscription : 26/05/2010
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Localisation : alsace
Re: Herbie Hancock
Je ne connais pas ses albums récents, mais c'est un musicien que j'adore et que j'admire, aussi bien en solo qu'avec miles ou avec les superbes Headhunters. C'est un magnifique musicien, et j'adore son style, notamment son sens du groove et du funk.
Re: Herbie Hancock
Le lien vers le site de JazzMag spécial Herbie
http://www.jazzmagazine.com/
http://www.jazzmagazine.com/
Norbert- Messages : 6026
Date d'inscription : 26/05/2010
Age : 60
Localisation : alsace
Re: Herbie Hancock
Pour ceux qui aiment le funk, les album d'Herbie période 73-76 sont vraiment à écouter, et même à posséder.Chino a écrit:Je ne connais pas ses albums récents, mais c'est un musicien que j'adore et que j'admire, aussi bien en solo qu'avec miles ou avec les superbes Headhunters. C'est un magnifique musicien, et j'adore son style, notamment son sens du groove et du funk.
Head Hunters, Thrust, Man-Child, Flood, Secrets et Sunlight sont excellents.
Des bootlegs circulent, qui sont à écouter (Brème 74, Omaha 75 et le superbe live de 1977 avec Jaco Pastorius).
Re: Herbie Hancock
Je connaissais très mal. Merci pour la vidéo.
Blueleader- Messages : 7793
Date d'inscription : 24/02/2010
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Re: Herbie Hancock
blueleader a écrit:Je connaissais très mal. Merci pour la vidéo.
C'est génial !!
Parisino
parisino- Messages : 5704
Date d'inscription : 31/05/2010
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Re: Herbie Hancock
Quelqu'un connait "Crossings" ? Il vaut le coup ?
Titi- Messages : 185
Date d'inscription : 24/09/2008
Re: Herbie Hancock
Oui il vaut le coup...un des meilleurs d'Herbie époque Mwandishi,pas d'hésitations à avoir sur ce coup là!
Norbert- Messages : 6026
Date d'inscription : 26/05/2010
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Re: Herbie Hancock
Oui, très bon, mais assez cérébral. C'est pas aussi funky que la période Headhunters.Titi a écrit:Quelqu'un connait "Crossings" ? Il vaut le coup ?
Re: Herbie Hancock
J'ai écouté quelques courts extraits hier soir qui m'ont intrigué, je pense que je vais me laisser tenter. Merci les gars !
Titi- Messages : 185
Date d'inscription : 24/09/2008
Herbie Hancock à l'UNESCO
Herbie Hancock à l'UNESCO
Norbert- Messages : 6026
Date d'inscription : 26/05/2010
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Re: Herbie Hancock
Herbie Hancock , chez Joni Mitchell... il faut connaître également ! TRES au service de la dame !
L'album Mingus notamment !
L'album Mingus notamment !
Re: Herbie Hancock
Herbie Hancock à l'UNESCO
"Le pianiste Herbert Jeffrey dit "Herbie" Hancock est né à Chicago le 12 avril 1940. Il vient d'être nommé "ambassadeur de bonne volonté" de l'Unesco. Sa première décision en tant qu'ambassadeur : déclarer le "30 avril, Jazz Day", Journée internationale du jazz.
Proposition adoptée à l'unanimité.
Le lancement de cette journée par la Directrice générale de l'Unesco, Irina Bokova, a lieu au siège de l'institution à Paris, le vendredi 27 avril 2012, de 10 heures à 16 h 30. Conférences, concerts gratuits, rencontres, master classes, entrée libre. Le tout, en présence de sept pléiades de stars : de M. Herbie Hancock en personne, à Marcus Miller, George Benson, Biréli Lagrène, en passant par Mmes Barbara Hendricks et Dee Dee Bridgewater, que l'on retrouvera en scène à 20 heures. Cette journée "portes ouvertes" est depuis sept jours archi-complète. Le concert, n'en parlons même pas. TSF, "la radio 100 % jazz", retransmet l'un et l'autre en direct.
"La Pléiade", c'est une constellation de sept étoiles, dont le groupe de sept poètes réunis autour de Ronsard avait repris le nom. On sera plus près du nombre de base, à La Nouvelle Orléans, le lundi 30 avril pour célébrer le J-Day : lever de soleil en musique à Congo Square, avec Herbie Hancock et son aîné Ellis Marsalis (1934), entouré de ses fils, Branford - saxophoniste, le plus inventif ; Delfeayo, trombone, producteur ; et Wynton Marsalis (trompette), universellement connu.
Tout ceci a valeur de symbole efficace. Toute la troupe, sans oublier Wayne Shorter, Ron Carter, Lang Lang, George Duke, Jack DeJohnette rejoint New York City dans la journée. NYC où, accueillie par Robert de Niro, Michael Douglas, Morgan Freeman et Quincy Jones, et toujours plus augmentée, elle se produit au Lincoln Center. Onze pléiades en scène.
SURACTIVITÉ
New York New York adore ce genre de raout. Il serait du dernier plouc de les prendre de haut. Il s'y passe toujours quelque chose, ne serait-ce que le manque. On en attend toujours, comme font les enfants, l'instant miraculeux. Lequel, immanquablement, se produit. Après tout, on se souvient d'une revue générale des troupes de même ampleur, au Radio City Hall, en 1973 (pas mal de disparus depuis, une hécatombe). Ou d'un feu d'artifice équivalent à Saratoga, pour le "Newport à New York" Jazz Festival, le 1er juillet 1978. Aux deux, participait Herbie Hancock, cet air d'éternel jeune homme qu'il promène à 72 ans, sa suractivité, et cette carrière si impressionnante qu'on finit par la voir éternellement au présent.
Soliste du Chicago Symphony Orchestra à 11 ans, Herbie Hancock interprète le Concerto en ré majeur de Mozart et le Concerto brandebourgeois n°2, de Bach. Admirateur d'Oscar Peterson, il accompagne les solistes qui passent en ville, les plus grands. Car, prodige ou pas, soliste classique afro-américain, vous ne le serez pas longtemps, à l'époque. Herbie, le jour, est élève dans une école d'ingénieur. Il suit le groupe du trompettiste Donald Byrd à New York, en 1961. Et devient, il a déjà cette moustache de crooner swag, un des pianistes clefs du label Blue Note. Il sait tout, l'harmonie, la composition, les classiques européens, le canal historique du blues, et cent mille avant-gardes.
En 1962, il publie son premier album, dans lequel figure un tube planétaire, Watermelon Man.
La suite aurait pu largement le reposer sur ces lauriers. Mais la suite s'appelle Eric Dolphy, Miles Davis et son quartet historique ; Dexter Gordon, Stan Getz, Blow Up, film d'Antonioni en 1966 ; le funk, les synthétiseurs, les Headhunters (1973), d'innombrables tournées de VSOP (Very Special One Performance) ; le bouddhisme, quelques titres millionnaires (Rock It), de purs "saucissons" commerciaux doublés d'expériences scintillantes, du cinéma en veux-tu-en-voilà (Autour de minuit, de Tavernier, en 1987), un duo avec Chick Corea, on en oublie, et quelques "Tribute to Miles".
Bonne chance à ses discographes comme à ses historiens ! Tous nos respects, Monsieur l'Ambassadeur !"
Francis Marmande
Source : le Figaro
Blueleader- Messages : 7793
Date d'inscription : 24/02/2010
Age : 61
Localisation : entre mulhouse et belfort
Re: Herbie Hancock
Herbie Hancock « The Complete Columbia Album Collection » en 34 CD !
http://www.funku.fr/2013/herbie-hancock-the-complete-columbia-album-collection-en-34-cd/
parisino- Messages : 5704
Date d'inscription : 31/05/2010
Age : 49
Localisation : Chatenay Malabry
Re: Herbie Hancock
rhaa ben j'ai déjà blue note... va me falloir celui ci maintenant ^^
Wu wei- Messages : 4680
Date d'inscription : 04/07/2011
Re: Herbie Hancock
Qui connait la date de la dernière venue à Paris (ou région parisienne) d'HH avec un band electric ? Je ne parle pas de son apparition récente avec Wayne Shorter ni bien évidemment de son duo avec Chick Corea.
Merci
YM
Merci
YM
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