AL Green a l'Olympia
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AL Green a l'Olympia
La star de la soul sudiste, toujours aussi pétillante, se produira à Paris sur la scène de l’Olympia le 9 juillet.
Dernier géant de la soul music, Al Green inondera l’Olympia de son amour et de sa voix miraculeuse le 9 juillet. Dépositaire d’une soul sudiste ultra-sensuelle, le révérend au falsetto limite sexuel, emballé dans un groove épuré à souhait livré sous l’étendard du label Hi Records, reste à 64 ans un des derniers géants du genre. Son art, gorgé de blues et de gospel, a été mille fois copié mais rarement égalé…
Marvin Gaye, Sam Cooke ou Otis Redding ne sont physiquement plus de ce monde, Al Green (et peut-être Smokey Robinson également…), porte ce monde, seul, à la force de son organe habité. Car avec le Révérend Vert du deep south, c’est l’éternelle équation ambiguë entre saintes paroles et intonations érotiques quasi-blasphématoires…
« Il y a pas mal d’églises qui cachent leur linge sale dans un placard, et je le sais bien pour être dans l’église depuis une trentaine d’années ». Celui qui prononce ces mots est le même qui sera ébouillanté, en 1974, par une maitresse qui se suicidera quelques minutes plus tard ; un signe divin, selon lui… Mais bon, « j’ai plus appris à l’église que dans le reste du monde », prêche Al Green qui symbolise à la perfection l’éternel combat entre le Bien et le Mal, Dieu et Satan…
Dernier géant de la soul music, Al Green inondera l’Olympia de son amour et de sa voix miraculeuse le 9 juillet. Dépositaire d’une soul sudiste ultra-sensuelle, le révérend au falsetto limite sexuel, emballé dans un groove épuré à souhait livré sous l’étendard du label Hi Records, reste à 64 ans un des derniers géants du genre. Son art, gorgé de blues et de gospel, a été mille fois copié mais rarement égalé…
Marvin Gaye, Sam Cooke ou Otis Redding ne sont physiquement plus de ce monde, Al Green (et peut-être Smokey Robinson également…), porte ce monde, seul, à la force de son organe habité. Car avec le Révérend Vert du deep south, c’est l’éternelle équation ambiguë entre saintes paroles et intonations érotiques quasi-blasphématoires…
« Il y a pas mal d’églises qui cachent leur linge sale dans un placard, et je le sais bien pour être dans l’église depuis une trentaine d’années ». Celui qui prononce ces mots est le même qui sera ébouillanté, en 1974, par une maitresse qui se suicidera quelques minutes plus tard ; un signe divin, selon lui… Mais bon, « j’ai plus appris à l’église que dans le reste du monde », prêche Al Green qui symbolise à la perfection l’éternel combat entre le Bien et le Mal, Dieu et Satan…
Norbert- Messages : 6026
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