Patrick Eudeline et Miles Davis
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Ayler
Bluesboy
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Re: Patrick Eudeline et Miles Davis
Dans Rock & Folk (Oct 2008), Patrick Eudeline donne son avis sur Miles Davis dans son obituaire d'Isaac Hayes.
Re: Patrick Eudeline et Miles Davis
Tu aurais du mettre ça dans le bétisier !
Bluesboy- Messages : 237
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Patrick Eudeline et Miles Davis
Oui. J'étais tenté de répondre point par point, mais le papier d'Eudeline est tellement grotesque qu'il ne mérite pas qu'on s'y attarde plus que ça.
Re: Patrick Eudeline et Miles Davis
Ben, il a toujours eu des théories de chiottes Eudeline.
Tout dépend à quoi il est chargé quand il écrit.
Si je me souviens bien Mc Laughlin avait piqué une grosse colère quand il avait lu des propos similaires dans Libé à la mort de Miles Davis, genre Miles a été le fossoyeur du swing avec le jazz rock, plus de pureté musicale mais des virtuoses froids etc....
Et Eudeline qui parle de Miles c'est un peu comme si moi je commentais l'oeuvre de Chantal Goya
Tout dépend à quoi il est chargé quand il écrit.
Si je me souviens bien Mc Laughlin avait piqué une grosse colère quand il avait lu des propos similaires dans Libé à la mort de Miles Davis, genre Miles a été le fossoyeur du swing avec le jazz rock, plus de pureté musicale mais des virtuoses froids etc....
Et Eudeline qui parle de Miles c'est un peu comme si moi je commentais l'oeuvre de Chantal Goya
Re: Patrick Eudeline et Miles Davis
Michel a écrit:Et Eudeline qui parle de Miles c'est un peu comme si moi je commentais l'oeuvre de Chantal Goya
Electric Thing- Messages : 2628
Date d'inscription : 15/04/2008
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Re: Patrick Eudeline et Miles Davis
Personnellement je trouve qu'il a raison en quelque sort. Miles a remplit combien de disques avec des jams pour le plus part ennuyeux et interminable. On les trouve sur Bitches Brew, Agartha, Pangea, Big Fun, Black Beauty, Live Evil, In Concert, At The Fillmore,…
Comme Eudeline dit, il y a quelques moments intéressants mais je trouve le tout assez lassant. Chaque album n'ajoute pas grande chose par rapport à l'autre. Ceux qui aime la musique "transe" peuvent trouver ça intéressant par contre et j'apprécie ces albums pour ce coté là parfois.
Je retiens surtout In A Silent Way, Jack Johnson et On The Corner de cette période d'impasse.
Comme Eudeline dit, il y a quelques moments intéressants mais je trouve le tout assez lassant. Chaque album n'ajoute pas grande chose par rapport à l'autre. Ceux qui aime la musique "transe" peuvent trouver ça intéressant par contre et j'apprécie ces albums pour ce coté là parfois.
Je retiens surtout In A Silent Way, Jack Johnson et On The Corner de cette période d'impasse.
Re: Patrick Eudeline et Miles Davis
LEs critiques envers la période 68-75 de mils ne sont pas l'apanage du consternant Patrick Eudeline.
The most sustained and bitter attack on Miles’ post-’68 work came from US jazz critic Stanley Crouch.
In an article headed "Miles Davis, the most brilliant sellout in the history of jazz", published in the New Republic in 1990, Crouch accused Miles of "an abject surrender to popular trends" at the end of the 1960s which had launched him on a downward spiral into "youth culture vulgarity". Crouch denounced In A Silent Way as "long, maudlin ... little more than droning wallpaper music", and found in Bitches Brew only "static beats and clutter".
After this, in Crouch’s estimation, Miles’ music became "progressively trendy and dismal, as did his attire; at one point in the early 1970s, with his wraparound dark glasses and his puffed shoulders, the erstwhile master of cool looked like an extra from a science fiction B-movie". The musical degeneration had continued to the point, Crouch declared, where Miles ended up with "a sound so decadent that it can no longer disguise the shrivelling of its maker’s soul".
SOURCE: http://www.whatnextjournal.co.uk/Pages/back/Wnext22/Miles.html
The most sustained and bitter attack on Miles’ post-’68 work came from US jazz critic Stanley Crouch.
In an article headed "Miles Davis, the most brilliant sellout in the history of jazz", published in the New Republic in 1990, Crouch accused Miles of "an abject surrender to popular trends" at the end of the 1960s which had launched him on a downward spiral into "youth culture vulgarity". Crouch denounced In A Silent Way as "long, maudlin ... little more than droning wallpaper music", and found in Bitches Brew only "static beats and clutter".
After this, in Crouch’s estimation, Miles’ music became "progressively trendy and dismal, as did his attire; at one point in the early 1970s, with his wraparound dark glasses and his puffed shoulders, the erstwhile master of cool looked like an extra from a science fiction B-movie". The musical degeneration had continued to the point, Crouch declared, where Miles ended up with "a sound so decadent that it can no longer disguise the shrivelling of its maker’s soul".
SOURCE: http://www.whatnextjournal.co.uk/Pages/back/Wnext22/Miles.html
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