Love : Forever Changes (1967)
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Love : Forever Changes (1967)
Love : Forever Changes (1967)
1. Alone Again Or - 3:18
2. A House Is Not A Motel - 3:32
3. Andmoreagain - 3:21
4. The Daily Planet - 3:31
5. Old Man - 3:02
6. The Red Telephone - 4:45
1. Maybe The People Would Be The Times Or Between Clark And Hilldale - 3:35
2. Live And Let Live - 5:27
3. The Good Humor Man He Sees Everything Like This - 3:08
4. Bummer In The Summer - 2:24
5. You Set The Scene - 6:49
Après trois réécoutes du chef-d’oeuvre de Love (je n'ose imaginer les autres albums...), la seule citation dans laquelle je me retrouve un peu est celle de Philippe Barbot, qui compare l'album au Pet Sounds des Beach Boys. C'est effectivement typiquement le genre de disque de pop prétentieux complètement bancal dont les rock critiques s'entichent... parce que ce sont les seuls disques qu'ils arrivent à comprendre ?
Le mot qui pour moi qualifie le mieux ce disque est "précieux". Les arrangements sont à la limite du ridicule, avec des violons qui dégoulinent de partout. Les compositions sont recherchées... mais ne vont nulle part, et sont terriblement datée. Dans un genre relativement similaire, Spirit est autrement plus inspiré. Les rares solos de guitares sont transparents. La seule explication que je trouve au succès critique de l'album ? Les critiques ont trouvé en Arthur Lee le seul Noir ayant supprimé toute la négritude qu'il avait en lui.
Avec Pet Sound, un bon candidat au titre de disque le plus surestimé des années 60.
1. Alone Again Or - 3:18
2. A House Is Not A Motel - 3:32
3. Andmoreagain - 3:21
4. The Daily Planet - 3:31
5. Old Man - 3:02
6. The Red Telephone - 4:45
1. Maybe The People Would Be The Times Or Between Clark And Hilldale - 3:35
2. Live And Let Live - 5:27
3. The Good Humor Man He Sees Everything Like This - 3:08
4. Bummer In The Summer - 2:24
5. You Set The Scene - 6:49
Electric Thing a écrit:
Leur 3eme album, leur chef d'oeuvre, FOREVER CHANGES (67) est une des pierres angulaires du rock. Il inspira autant Pink Floyd que Iron Butterfly, Traffic, Family, Bowie. Immense et éternel...
Jean-Noël Ogouz a écrit:
“Forever Changes” fut salué comme l’un des meilleurs albums de l’année, et est considéré à juste titre comme un chef-d’oeuvre. Lui non plus n’a pas une ride, trente ans ans tard. Il est d’une grande richesse, mêlant arrangements inouïs (pour l’époque) à des mélodies pas moins surprenantes.
Nicolas Ungemuth a écrit:Ces hommes-là ont réussi à enregistrer en 1967 l’un des albums majeurs qui ont le moins vieilli de l’époque. Certainement moins que le premier Doors, en tout cas.
Philippe Manoeuvre a écrit:“Forever Changes” est un chef-d’oeuvre arrêté, immobile sous la lune, à ranger non loin de “What’s Going On”.
Nick Kent a écrit:Originellement publié à la fin de l'année 1967, Forever Changes, le troisième et dernier album de Love, sonne aussi frais et inventif qu'il le fit pendant le Winter of Love.
Philippe Barbot a écrit:Attention, chef-d’oeuvre oublié. Lorsqu’on évoque les grands disques qui ont révolutionné l’histoire de la musique pop, on cite traditionnellement le Sergent Pepper’s des Beatles et le Pet Sounds des Beach Boys. Il faudrait y ajouter ce Forever Changes, obscure mais éblouissante curiosité d’un groupe mésestimé
Après trois réécoutes du chef-d’oeuvre de Love (je n'ose imaginer les autres albums...), la seule citation dans laquelle je me retrouve un peu est celle de Philippe Barbot, qui compare l'album au Pet Sounds des Beach Boys. C'est effectivement typiquement le genre de disque de pop prétentieux complètement bancal dont les rock critiques s'entichent... parce que ce sont les seuls disques qu'ils arrivent à comprendre ?
Le mot qui pour moi qualifie le mieux ce disque est "précieux". Les arrangements sont à la limite du ridicule, avec des violons qui dégoulinent de partout. Les compositions sont recherchées... mais ne vont nulle part, et sont terriblement datée. Dans un genre relativement similaire, Spirit est autrement plus inspiré. Les rares solos de guitares sont transparents. La seule explication que je trouve au succès critique de l'album ? Les critiques ont trouvé en Arthur Lee le seul Noir ayant supprimé toute la négritude qu'il avait en lui.
Avec Pet Sound, un bon candidat au titre de disque le plus surestimé des années 60.
Re: Love : Forever Changes (1967)
J'e l'ai acheté récemment, sympa sans plus. Agréable mais pas transcendant. Surestimé.
Brian Taylor- Messages : 290
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