Peter Green's Fleetwood Mac
+8
kjp
jipes
Ayler
eddie
Jungleland
Purple Jim
Bloomers
Brian Taylor
12 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Peter Green's Fleetwood Mac
RADIO PODCAST
Part 1 : https://www.mixcloud.com/Bloomerslovers/peter-greens-fleetwood-mac-story/
Intro
01 Steppin Out - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967)
02 Soul Dressing - The Peter B's (1966)
03 A Hard Road - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967)
04 The Supernatural - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967)
05 Out Of Reach - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967 Bonus Track)
06 Alabama Blues - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967 Bonus Track)
07 Fleetwood Mac - Fleetwood Mac (The Original Fleetwood Mac 1967)
08 Last Train To Home - Fleetwood Mac (The Original Fleetwood Mac 1967)
09 Long Grey Mare - Fleetwood Mac (Peter's Green Fleetwood Mac 1968)
10 I Believe My Time Ain't Long - Fleetwood Mac (single 1967)
11 Looking For Somebody - Fleetwood Mac (Peter's Green Fleetwood Mac 1968)
12 I Loved Another Woman - Fleetwood Mac (Peter's Green Fleetwood Mac 1968)
13 Black Magic Woman - Fleetwood Mac (single 1968 > The Pious Bird Of Good Omen)
14 Just The Blues - Eddie Boyd feat Peter's Green Fleetwood Mac (7936 South Rhodes 1968)
15 It's So Miserable To Be Alone - Eddie Boyd feat Peter's Green Fleetwood Mac (single 1968)
16 Worried Dream - Fleetwood Mac (Live at Carousel Ballroom, San Francisco 1968)
17 Need Your Love So Bad - Fleetwood Mac (single 1968 > The Pious Bird Of Good Omen)
Part 2 : https://www.mixcloud.com/Bloomerslovers/blues-legends-1-peter-greens-fleetwood-mac-story-part-2/
01 Rollin' Man - Fleetwood Mac (Mr Wonderful 1968)
02 Trying So Hard To Forget - Fleetwood Mac (Mr Wonderful 1968)
03 Love That Burns - Fleetwood Mac (Mr Wonderful 1968)
04 Horton's Boogie Woogie - Walter Horton feat Fleetwood Mac (Fleetwood Mac In Chicago 1969)
05 Homework - Fleetwood Mac (Fleetwood Mac In Chicago 1969)
06 My Love Depends On You - Otis Spann feat. Fleetwood Mac (The Biggest Thing Since Colossus 1969)
07 Albatross - Fleetwood Mac (single 1969 > The Pious Bird Of Good Omen)
08 Man Of The World - Fleetwood Mac (single 1969)
09 Rattlesnake Shake - Fleetwood Mac (Then Play On 1969)
10 Show Biz Blues - Fleetwood Mac (Then Play On 1969)
11 Oh Well - Fleetwood Mac (Single 1969 - The Best Of Fleetwood Mac)
12 If You Let Me Love You - Brunning Sunflower Blues Band (Trackside Blues 1969)
13 The Green Manalishi - Fleetwood Mac (Single 1969 - The Best Of Fleetwood Mac)
14 Timeless Time - Peter Green (The End Of The Game 1970)
15 Otis Spann And Earl Hooker - Memphis Slim (The Blue Memphis Suite 1970)
16 Peter Green - In The Skies (In The Skies 1979)
Part 1 : https://www.mixcloud.com/Bloomerslovers/peter-greens-fleetwood-mac-story/
Intro
01 Steppin Out - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967)
02 Soul Dressing - The Peter B's (1966)
03 A Hard Road - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967)
04 The Supernatural - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967)
05 Out Of Reach - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967 Bonus Track)
06 Alabama Blues - John Mayall & The Bluesbreakers (A Hard Road 1967 Bonus Track)
07 Fleetwood Mac - Fleetwood Mac (The Original Fleetwood Mac 1967)
08 Last Train To Home - Fleetwood Mac (The Original Fleetwood Mac 1967)
09 Long Grey Mare - Fleetwood Mac (Peter's Green Fleetwood Mac 1968)
10 I Believe My Time Ain't Long - Fleetwood Mac (single 1967)
11 Looking For Somebody - Fleetwood Mac (Peter's Green Fleetwood Mac 1968)
12 I Loved Another Woman - Fleetwood Mac (Peter's Green Fleetwood Mac 1968)
13 Black Magic Woman - Fleetwood Mac (single 1968 > The Pious Bird Of Good Omen)
14 Just The Blues - Eddie Boyd feat Peter's Green Fleetwood Mac (7936 South Rhodes 1968)
15 It's So Miserable To Be Alone - Eddie Boyd feat Peter's Green Fleetwood Mac (single 1968)
16 Worried Dream - Fleetwood Mac (Live at Carousel Ballroom, San Francisco 1968)
17 Need Your Love So Bad - Fleetwood Mac (single 1968 > The Pious Bird Of Good Omen)
Part 2 : https://www.mixcloud.com/Bloomerslovers/blues-legends-1-peter-greens-fleetwood-mac-story-part-2/
01 Rollin' Man - Fleetwood Mac (Mr Wonderful 1968)
02 Trying So Hard To Forget - Fleetwood Mac (Mr Wonderful 1968)
03 Love That Burns - Fleetwood Mac (Mr Wonderful 1968)
04 Horton's Boogie Woogie - Walter Horton feat Fleetwood Mac (Fleetwood Mac In Chicago 1969)
05 Homework - Fleetwood Mac (Fleetwood Mac In Chicago 1969)
06 My Love Depends On You - Otis Spann feat. Fleetwood Mac (The Biggest Thing Since Colossus 1969)
07 Albatross - Fleetwood Mac (single 1969 > The Pious Bird Of Good Omen)
08 Man Of The World - Fleetwood Mac (single 1969)
09 Rattlesnake Shake - Fleetwood Mac (Then Play On 1969)
10 Show Biz Blues - Fleetwood Mac (Then Play On 1969)
11 Oh Well - Fleetwood Mac (Single 1969 - The Best Of Fleetwood Mac)
12 If You Let Me Love You - Brunning Sunflower Blues Band (Trackside Blues 1969)
13 The Green Manalishi - Fleetwood Mac (Single 1969 - The Best Of Fleetwood Mac)
14 Timeless Time - Peter Green (The End Of The Game 1970)
15 Otis Spann And Earl Hooker - Memphis Slim (The Blue Memphis Suite 1970)
16 Peter Green - In The Skies (In The Skies 1979)
Peter Green joue d’abord de la basse dans plusieurs groupes amateurs avant d’être engagé à 19 ans comme guitariste principal dans le groupe de Peter Bardens les Peter B’s. C’est lors de ces sessions en 1966 qu’il rencontre pour la première fois le batteur Mike Fleetwood son futur partenaire… (Quelques enregistrements des Peter B’s sont disponibles sur le double cd « Show Biz Blues Vol 2 »)
Peter Green reste avec les Peter B’s pendant 3 mois avant d’intégrer les fameux Bluesbreakers de John Mayall où se trouve déjà un autre de ses futurs collègues, le bassiste John Mc Vie .
Il remplace au pied levé le célèbre guitariste Eric Clapton parti subitement pour des vacances indéfinies en Grèce…
Malgré un accueil hostile, Peter Green assure parfaitement l’intérim et selon Mayall, n’est pas très heureux de disparaître quand Clapton réintègre 6 mois plus tard le groupe pour quelques concerts…
Fin 1966, quand Clapton part pour de bon former Cream son premier groupe, John Mayall se décide enfin à engager Peter Green à temps plein.
« Hard Road » (Decca) enregistré entre octobre et novembre 66 avec le bassiste John McVie prouve indéniablement les qualités de ce guitaristes au touché subtil… A écouter en priorité son brillant instrumental « The Supernatural »
Fin 1966, Eddie Boyd émet le souhait d'enregistrer un album complet avec John Mayall et ses Bluesbreakers...
Mike Vernon rassemble alors le line-up de l'époque : John Mayall à l'harmonica, Peter Green à la guitare, John McVie à la basse et Aysley Dunbar à la batterie...
"Eddie Boyd & His Blues Band" sort chez Decca Records en 1967...
En avril 67 Mike Fleetwood intègre les Bluesbreakers… il ne restera que le temps d’un single « Double Trouble » (disponible sur la compilation ."Looking Back")… C’est également durant cette même session que Peter Green, John McVie & Mike Fleetwood grave pour la première fois deux titres en trio sans la participation de John Mayall… l’instrumental prophétique baptisé « Fleetwood Mac » et le magnifique Blues « Last Train To Home ».(Deux morceaux disponibles sur l’excellente compilation « The Original Fleetwood Mac »).
Eté 67 : Mike Fleetwood est viré par Mayall… le résultat est immédiat. Peter Green quitte le groupe, John McVie hésite encore …
Peter Green décide alors d’engager en attendant Bob Brunning comme bassiste et un jeune Slide guitariste-harmoniciste Jeremy Spencer… le titre « Long Grey Mare » est un de ces rares morceaux enregistrés par cette seconde formation.
Il faut attendre septembre 67 pour que John McVie remplace enfin Bob Brunning …pour l’anecdote c’est aussi à ce moment que le célèbre bassiste se met à fréquenter une certaine Christine Perfect…
En février 68 le premier 33 tours de Fleetwood Mac est produit et sort sur le nouveau label Blue Horizons (Columbia/Sony) de Mike Vernon…
Intitulé comme le nom du groupe, « Fleetwood Mac » fait un tabac et arrive quatrième des classements anglais, du jamais vu pour un disque de blues…
Entre-temps, en janvier 68, Fleetwood Mac se retrouve en studio sans Jeremy Spencer pour enregistrer un 33 tours complet avec le pianiste Eddie Boyd, l’indispensable « 7936 South Rhodes »…
Nonobstant le fait qu’il soit dans le top 10 en Grande Bretagne « Mr Wonderful » le second album de Fleetwood Mac est une déception comparé au premier… En effet les reprises de Jeremy Spencer deviennent pesantes et répétitives, seuls les deux blues lents « Love That Burns » et « Trying So Hard To Forget » sauve le disque…
En Septembre 68 Peter Green décide d’ajouter un nouveau souffle dans le groupe… il engage un 3ème guitaristes Danny Kirwan.
Janvier 1969 : Fleetwood Mac enregistre un double album dans les mythiques Studio Chess à Chicago.
« Fleetwood Mac in Chicaco » est un document passionnant qui retranscrit assez fidèlement l’ambiance de cette rencontre au sommet entre le groupe et leurs idoles de toujours.
Willie Dixon, Buddy Guy, Shakey Horton et Otis Spann, tous participèrent activement au projet…
Impressionné par les talents de Peter Green, le Bluesman Otis Spann scelle un contrat avec Blue Horizons le temps d’un album, le magnifique «The Biggest Thing Since Collossus »
Millieu 69, le contrat qui lie Fleetwood Mac à Blue Horizons touche à sa fin. Blue Horizons sort cette année là 2 excellentes compilations "English Rose" en janvier et "The Pious Bird Of A Good Omen" en août. On trouve sur ces deux compilations des morceaux déjà sortis, des raretés et enfin leurs 3 plus célèbres singles sortis pourtant l’année précédente :
le premier, "Black Magic Women", repris avec le succès que l’on sait par Santana en 1970, le brillant instrumental "Albatross" et la fabuleuse reprise du bluesman Little Willie John "Need your Love So Bad".
Au fur et à mesure des albums et des singles, Fleetwood Mac, sous l’impulsion de Peter Green s’éloigne de son idiome de base, le blues, pour créer son style personnel, plus rock.
En septembre 69, le groupe signe chez Reprise Records, filiale de Warner, et sort "Then Play On"... Le disque de la transition définitive du groupe vers le Rock… aucune composition de Jeremy Spencer… Peter Green & Danny Kirwan se partage l’écriture… Ce 33 tours lance enfin Fleetwood Mac aux USA…
Lors de la tournée américaine de Fleetwood Mac, Peter Green s’initie au LSD lors d’un concert des Grateful Dead à San Francisco… les longues improvisations psychédéliques du groupe influenceront profondément le guitariste anglais qui désormais étire lui aussi ces morceaux jusqu’a 15 minutes … > "Shrine 69" (Ryko)
En mai 70, alors que le groupe tourne a plein régime avec 3 guitaristes, Peter Green épuisé et déprimé décide de se retirer du groupe qu’il a fondé… en réalité son absorption massive de LSD le rend de plus en plus parano et mystique… Sa santé mentale se détériore, il devient incontrôlable… l’une de ses dernière composition « The Green Manalishi » (plus de 15 min complètement ahurissantes) est sensé retranscrire un de ses cauchemars sous acides…
Fin 70, Peter Green pète complètement les plombs et sort son premier album solo « End Of the Game », une succession d’improvisations aventureuses composée sous LSD…
Zoot Money est au clavier & Alex Dmochowski à la basse.
Après cet album, sa santé mentale décline pour de bon… le LSD qu’il prend maintenant quotidiennement commence à faire de sérieux ravages.
Un jour il débarque, armé d’un fusil chez ses avocats pour leur intimer l’ordre de ne jamais plus lui verser un franc de royalties et tire dans le plafond. Il s’habille comme Jésus et conseille ses collègues musiciens de reverser entièrement leurs cachets aux organisations caritatives.
Suite à ces événements, il est interné dans un asile ou il est gardé sous surveillance et bourré de médicaments…
Après presque 10 ans de silence pendant lesquels il passera 2 mois dans un kibboutz et travaillera entre autre comme fossoyeur, il reprend sa guitare et enregistre de nouveau en 77.
A cette époque, à la demande de Mick Fleetwood, Warner propose un contrat de 1 million de dollars à Peter Green, mais, au dernier moment, celui-ci le refusera, dénonçant l'aspect trop commercial du projet…
« In The Skies ", sort finalement en 1979… Peter Green renoue avec le blues de ses débuts et toujours ces magnifiques instrumentaux… il signe avec une modeste maison de disque Créole Records. Il constitue un groupe avec son premier complice Pete Bardens et le guitariste Snowy White, il enchaîne les tournées entre 81 et 84, Pendant ce laps de temps, il grave sous son nom quatre autres albums moins réussis et très mal distribués : "Little Dreamer", "Watcha Gonna Do?", "Blue Guitar" et " White Sky". Déçu par le show business et repris par ses vieux démons, il abandonne de nouveau le devant de la scène et s'enfonce dans une longue période dépressive dont il ressort au milieu des années 90 avec le Splinter Group
*Désormais les rééditions des albums SIXTIES de Mayall sont accompagnées d'un livret copieux avec pas mal de photos inédites et tous les bonus track (singles, BBC ou Live) sont rassemblés :
John Mayall & The Bluesbreakers "A Hard Road" (14 bonus avec Peter)
John Mayall & The Bluesbreakers "Crusade" (8 bonus avec Peter)
John Mayall & The Bluesbreakers "Bare Wires" (2 bonus avec Peter)
Dernière édition par Bloomers le 11.05.15 14:00, édité 2 fois
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Entre Jeremy Spencer et Peter Green, les psychiatres avaient du pain sur la planche avec les membres fondateurs du groupe !
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Ayler a écrit:Entre Jeremy Spencer et Peter Green, les psychiatres avaient du pain sur la planche avec les membres fondateurs du groupe !
aux dernières nouvelles, c'est Danny Kirwan qui va le plus mal...
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
A savoir ?Bloomers a écrit:
aux dernières nouvelles, c'est Danny Kirwan qui va le plus mal...
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Ayler a écrit:A savoir ?Bloomers a écrit:
aux dernières nouvelles, c'est Danny Kirwan qui va le plus mal...
Danny Kirwan :
"I've been through a bit of a rough patch but I'm not too bad. I get by and I suppose I am homeless, but then I've never really had a home since our early days on tour. I couldn't handle it mentally and I had to get out. I can't settle." At the time of the interview, Kirwan (then 42) was staying at St Mungo's Hostel in London, and looked "cheerful but dishevelled." He was living on social security and "dribs and drabs" of royalties from the band's early days. He stated, "If Mick would like to see me, then that would be nice. But he would have to come over here. America terrifies me. If he can't come, then that's OK. I don't really need anything. Unless he fancies popping a million pounds in the post..."
In his July 2000 Penguin Q&A, biographer 'Jet' Martin Celmins has this to report about Danny Kirwan: "Good news: I met Danny's ex-wife Clare recently who kindly helped me with liner notes for a Kirwan compilation called 'Ram Jam City' which Mooncrest recently released. Danny turned 50 this May and Clare showed me photos taken of him on his birthday. I was really pleased to notice him looking a lot fitter than was the case five years ago when I interviewed him. His hair is now short and he looks stronger and more together. Best news of all, perhaps, is that he keeps a guitar in his room and plays quite often for his own pleasure. He remains a very private person who keeps himself to himself and is nicely settled in the care centre where he's been for some time now. I know that some of his many well-wishers took to the idea of Danny possibly moving to Eric Clapton's Crossroads centre in Antigua for treatment: whilst this may be a poignant notion as a modern story of the blues, in reality his family feel that he is far better off staying where he is. Obviously they know what's best and isn't it great to know that music still is there in Danny's day-to-day life."
Dernière édition par Bloomers le 05.04.15 17:23, édité 1 fois
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Probablement l'un des meilleurs groupes britannique de Blues, rassembler ces trois guitaristes dont deux vraiment très différents l'un de l'autre Kirwan et Spencer et y associer Peter Green qui a un touché si particulier avec de plus une excellente section rythmique on ne peut aboutir qu'a un excellent groupe Je trouve que leurs différents styles se complètent à merveille et il ne semble pas (tout du moins au départ) avoir eu de conflits d'égo. Je viens de recopier sur DVD un extrait de concert passé dans une émission télé ou ils jouent 3 morceaux puis Peter Green joue un morceau en solo qui est fabuleux (Spencer ayant pété une corde). On peut voir sur ce film qu'ils avainet l'air quand même bien allumés
J'ai bossé le titre Jigsaw Puzzle Blues de Danny Kirwan a une époque avec mon prof de gratte de l'époque (Pat Boudot) et le mins que l'on puisse dire c'est que c'est vraiment original et bien foutu ! Quant à la destinée des Peter Green et autres je crois que cette période etait tellemnet propice aux abus de toutes sortes que c'est déjà beau qu'ils soient encore vivants
Malheureusement je n'ai d'eux que des vinyles de l'époque que je sors rarement (notamment celui enregistré avec les bluesman ) il me faudrait racheter en CD
Auriez vous des conseils
Jipes
J'ai bossé le titre Jigsaw Puzzle Blues de Danny Kirwan a une époque avec mon prof de gratte de l'époque (Pat Boudot) et le mins que l'on puisse dire c'est que c'est vraiment original et bien foutu ! Quant à la destinée des Peter Green et autres je crois que cette période etait tellemnet propice aux abus de toutes sortes que c'est déjà beau qu'ils soient encore vivants
Malheureusement je n'ai d'eux que des vinyles de l'époque que je sors rarement (notamment celui enregistré avec les bluesman ) il me faudrait racheter en CD
Auriez vous des conseils
Jipes
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Pas sûr. Spencer avait quitté le groupe pour rejoindre les Children of God (désormais Family International), un mouvement sectaire dont certaines dérives ont fait l'objet de poursuites judiciaires :Bloomers a écrit:
aux dernières nouvelles, c'est Danny Kirwan qui va le plus mal...
http://en.wikipedia.org/wiki/Jeremy_Spencer#Alleged_child_sexual_abuse
Spencer semble s'en être tiré à très bon compte...
Si tu apprécies les beaux objets, tu peux investir dans le coffret suivant : "The Complete Blue Horizon Sessions".Jipes a écrit:
Malheureusement je n'ai d'eux que des vinyles de l'époque que je sors rarement (notamment celui enregistré avec les bluesman ) il me faudrait racheter en CD
Auriez vous des conseils
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Merci Ayler ca a l'air intéressant il y a beaucoup de commentaires positifs
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Jipe tu as du bol...Ayler qui conseille du Fleetwood Mac moi ça me fait tout drôle
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Jipes a écrit:Merci Ayler ca a l'air intéressant il y a beaucoup de commentaires positifs
c'est un excellent coffret...si tu n'est pas contre le fait d'avoir parfois une multitude des faux départs sur certains titres...
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
From The Sunday Times :
Peter Green: Back from the brink
He was the greatest guitarist Britain had ever produced. Then, after three years in Fleetwood Mac he disappeared
Peter Green has been in the afterlife for 38 years — the afterlife of a period of little more than 36 months in which he became probably Britain’s greatest-ever blues-rock guitarist, before falling so far that, to this day, many people assume him to be dead. Green’s apprenticeship in the great academy of the mid-1960s blues boom, John Mayall’s Bluesbreakers, brought swift graduation: he was a founding member of Fleetwood Mac in 1967. His nimble, authoritative brilliance as a player, and as the writer of undimmed classics such as Oh Well, Man of the World and The Green Manalishi, quickly created a peerless catalogue and helped to integrate blues into the rock generation.
Then, even more quickly than he had emerged, Green was gone. He left the group at the height of their initial success, apparently renouncing worldly wealth and disappearing into the darkness of psychiatric hospitals and menial jobs. As his formerco-founders of the group, Mick Fleetwood and John McVie, mined a multiplatinum seam with the Mac’s new transatlantic line-up, Green was working in a graveyard and wrestling with his very sanity. He re-emerged, temporarily, to make new recordings at the end of the 1970s, and again in the mid-1990s at the helm of the Splinter Group, with whom he also toured, often playing rhythm rather than his original lead lines. Since that group disbanded in 2004, he has gone to ground again.
All of that work takes its place on a new four-disc box set that covers Green’s entire career and emphasises again what a sorcerer of the Stratocaster (and of the Gibson Les Paul) he was. In an oft-aired but nonetheless arresting quote, the softly spoken man from Bethnal Green was once described as “the only one who gave me the cold sweats” by, of all superstars, BB King.
Green agreed to give a rare interview to Culture to mark the set’s release. While the Pickwickian figure I found sitting in his kitchen bore almost no resemblance to the lithe young guitar hero, I found the older man, 62 on Wednesday, talkative and, to all appearances, content with his modest latter-day lot. Still given to impenetrable thought processes, Green nevertheless has a charming, down-to-earth sense of humour and speaks rivetingly about his rise, fall and survival, even if his lack of regard for his own work is heartbreaking.
For our entire conversation, he sits at his kitchen table, head down, doodling assiduously on a pad, looking up occasionally to make eye contact but usually just to choose which colour felt-tip pen he wants next. In three hours, he gets up just once, to go over to the cooker to boil water in a saucepan and make us coffee. He looks healthy and serene, with few worry lines on his face; and after some small talk, with a guitarist friend of his joining in, we’re left alone. I start by asking if he has picked up a guitar lately or has any plans to perform.
“We were talking about it last night — what do I think about some appearances? I said, ‘Not yet.’ If we’ve got something good . . . usual channels, I guess they call it.”
Almost immediately, we arrive at one of the reasons why Green was not comfortable with the Splinter Group, and perhaps why he opted out of the supposed high life at the turn of the 1970s, when Fleetwood Mac were regularly being voted best band in the world. He was, and remains, uneasy about the limelight or any perception of himself as being better than his bandmates. “I’m not really supposed to be doing vocals, I can’t concentrate on guitar,” he says. “I’m stuck out front, I don’t really know what I’m doing there. Novelty value, I think.”
Yet isn’t it inevitable that people would demand that he was front and centre of any band he was in? “I don’t want to break their hearts,” he says sweetly, “but my reply to that would be, ‘Why can’t it be equal?’ It’s not really called pressure, just an unbalanced situation where someone won’t blend in.”
We will revisit that point when he confronts the circumstances of his departure from the world stage, but first there’s time to talk about Green’s baby-boomer upbringing in the East End of London. As he recalls it, he grows more animated. “My brother Micky brought a record to the house, of Humphrey Lyttelton’s Bad Penny Blues — on the other side was Basin Street Blues — and it was really fantastic. We had a fight and he chased me round the room,” he laughs, “and I went past the record player and it snapped the record. Then my oldest brother got married, and they had 45s of early Elvis Presley and Bill Haley and Santo & Johnny’s Sleep Walk.” Before I can even seize on his reference to that dreamy 1959 guitar instrumental and its influence on one of his own, he confirms it. “Albatross, I guess it comes from there,” he says.
While the Green family wasn’t really musical, “Dad used to whistle a tune, and Mum could sing vibrato. He said he used to croon to Mum — before he proposed to her, he used to sing to her over the telephone.” It was, I joke, a more romantic age. “Possibly, possibly,” he answers, then, with a glint in his eye: “Speak for yourself.”
Green makes an educated guess that the first guitarist he would have noticed as a kid was Lonnie Donegan, and explains that his first paying role, at about 15, was on bass. He joined Pete B’s Looners, fronted by the future Camel member Pete Bardens, in 1966, and quickly progressed to Mayall’s team of all the talents, in which he replaced Eric Clapton. He refers to Clapton frequently, clearly regarding him as the yardstick by which, in his mind, his work has always fallen short. “My playing’s got more cracks in it, it’s more human. More typical of someone who can’t play guitar at all.” I tell him that he is way too modest. “No, I know my limitations,” he smiles.
The years with Mac were more work than fun, he recalls; and, sadly, he professes to like just one piece of their recorded output. Rather than any of the band’s standard texts, it’s the pleasant but somewhat rambling instrumental Underway, from the 1969 album Then Play On. He dismisses the apparently autobiographical nature of some of his lyrics from that era, especially the achingly sad Man of the World, in which he managed, in the poptastic environment of 1968, to confess that he wished he had never been born. “There’s no truth in that,” he says. “It’s just poetry, just rhyming. Naah, I don’t wish I’d never been born, it just fits in, rhymes with whatever it was — knickers, ragged and torn.”
Suddenly serious again, Green does confess that the mental anguish evident in The Green Manalishi was no device. “I was just a bit frightened that I couldn’t break into my body. I woke up and I felt dead. My head seemed to be working, my mind seemed to be working, but only just. I couldn’t move my arms and legs, I had to fight to get my spirit into my body, and it kind of frightened me, I guess. I went straight off and wrote a fear song. I had a good refusal of hashish — then, eventually, there was LSD, in a Coke can. I refused first time, then, second time, I took a sip, just a tiny little sip, and I began to see things, things started to be more prominent, more definite. Two people dancing seemed to be trying to mean something. It was quite fantastic. It shouldn’t be so fantastic, maybe.”
Was his descent inevitable? “When I think of it, it was just me that was the sucker,” he says. “They kept publishing things in the newspaper, saying I threatened them to take back money they were offering me, but it’s not true. If I hadn’t taken LSD, I would have kept up with the money, been able to play, wouldn’t have stayed with the group, because they didn’t know how to handle the situation.”
He “stayed out of the way” as Mac went through various line-ups, all highly musical but often unsuccessful, before they unlocked the door to vast fortunes in the Rumours era. He begrudged them none of that success, but things reached a markedly contrasting nadir for Green when, in 1977, he was arrested after a confrontation with the band’s former manager, Clifford Davis. “I don’t know why I threatened him. I just suddenly said, ‘I’ll shoot you.’ I thought he’d be glad to hear from me, but all he wanted to do was get me arrested. I got a bit paranoid, and it came out like that.”
Green has taken small steps down a long road since then, often two forward and one back. Looking at him, you can feel that his punishment for relatively contained narcotic misdemeanours has lasted agonisingly long. Or you can simply enjoy his winning smile and give thanks he ever made records.
Before I leave, we listen to a raw demo he has recently made with a current team of simpatico players. There’s no point in pretending that it’s Oh Well, but its shuffling, bluesy style and smoky vocal have plenty of low-key charm. So, you do still want to express yourself with music, I say. “Oh, yeah,” he replies. “I’d like to be able to.”
Peter Green’s four-CD The Anthology is released tomorrow by Salvo
Source : http://entertainment.timesonline.co.uk/tol/arts_and_entertainment/music/article5002777.ece
Peter Green: Back from the brink
He was the greatest guitarist Britain had ever produced. Then, after three years in Fleetwood Mac he disappeared
Peter Green has been in the afterlife for 38 years — the afterlife of a period of little more than 36 months in which he became probably Britain’s greatest-ever blues-rock guitarist, before falling so far that, to this day, many people assume him to be dead. Green’s apprenticeship in the great academy of the mid-1960s blues boom, John Mayall’s Bluesbreakers, brought swift graduation: he was a founding member of Fleetwood Mac in 1967. His nimble, authoritative brilliance as a player, and as the writer of undimmed classics such as Oh Well, Man of the World and The Green Manalishi, quickly created a peerless catalogue and helped to integrate blues into the rock generation.
Then, even more quickly than he had emerged, Green was gone. He left the group at the height of their initial success, apparently renouncing worldly wealth and disappearing into the darkness of psychiatric hospitals and menial jobs. As his formerco-founders of the group, Mick Fleetwood and John McVie, mined a multiplatinum seam with the Mac’s new transatlantic line-up, Green was working in a graveyard and wrestling with his very sanity. He re-emerged, temporarily, to make new recordings at the end of the 1970s, and again in the mid-1990s at the helm of the Splinter Group, with whom he also toured, often playing rhythm rather than his original lead lines. Since that group disbanded in 2004, he has gone to ground again.
All of that work takes its place on a new four-disc box set that covers Green’s entire career and emphasises again what a sorcerer of the Stratocaster (and of the Gibson Les Paul) he was. In an oft-aired but nonetheless arresting quote, the softly spoken man from Bethnal Green was once described as “the only one who gave me the cold sweats” by, of all superstars, BB King.
Green agreed to give a rare interview to Culture to mark the set’s release. While the Pickwickian figure I found sitting in his kitchen bore almost no resemblance to the lithe young guitar hero, I found the older man, 62 on Wednesday, talkative and, to all appearances, content with his modest latter-day lot. Still given to impenetrable thought processes, Green nevertheless has a charming, down-to-earth sense of humour and speaks rivetingly about his rise, fall and survival, even if his lack of regard for his own work is heartbreaking.
For our entire conversation, he sits at his kitchen table, head down, doodling assiduously on a pad, looking up occasionally to make eye contact but usually just to choose which colour felt-tip pen he wants next. In three hours, he gets up just once, to go over to the cooker to boil water in a saucepan and make us coffee. He looks healthy and serene, with few worry lines on his face; and after some small talk, with a guitarist friend of his joining in, we’re left alone. I start by asking if he has picked up a guitar lately or has any plans to perform.
“We were talking about it last night — what do I think about some appearances? I said, ‘Not yet.’ If we’ve got something good . . . usual channels, I guess they call it.”
Almost immediately, we arrive at one of the reasons why Green was not comfortable with the Splinter Group, and perhaps why he opted out of the supposed high life at the turn of the 1970s, when Fleetwood Mac were regularly being voted best band in the world. He was, and remains, uneasy about the limelight or any perception of himself as being better than his bandmates. “I’m not really supposed to be doing vocals, I can’t concentrate on guitar,” he says. “I’m stuck out front, I don’t really know what I’m doing there. Novelty value, I think.”
Yet isn’t it inevitable that people would demand that he was front and centre of any band he was in? “I don’t want to break their hearts,” he says sweetly, “but my reply to that would be, ‘Why can’t it be equal?’ It’s not really called pressure, just an unbalanced situation where someone won’t blend in.”
We will revisit that point when he confronts the circumstances of his departure from the world stage, but first there’s time to talk about Green’s baby-boomer upbringing in the East End of London. As he recalls it, he grows more animated. “My brother Micky brought a record to the house, of Humphrey Lyttelton’s Bad Penny Blues — on the other side was Basin Street Blues — and it was really fantastic. We had a fight and he chased me round the room,” he laughs, “and I went past the record player and it snapped the record. Then my oldest brother got married, and they had 45s of early Elvis Presley and Bill Haley and Santo & Johnny’s Sleep Walk.” Before I can even seize on his reference to that dreamy 1959 guitar instrumental and its influence on one of his own, he confirms it. “Albatross, I guess it comes from there,” he says.
While the Green family wasn’t really musical, “Dad used to whistle a tune, and Mum could sing vibrato. He said he used to croon to Mum — before he proposed to her, he used to sing to her over the telephone.” It was, I joke, a more romantic age. “Possibly, possibly,” he answers, then, with a glint in his eye: “Speak for yourself.”
Green makes an educated guess that the first guitarist he would have noticed as a kid was Lonnie Donegan, and explains that his first paying role, at about 15, was on bass. He joined Pete B’s Looners, fronted by the future Camel member Pete Bardens, in 1966, and quickly progressed to Mayall’s team of all the talents, in which he replaced Eric Clapton. He refers to Clapton frequently, clearly regarding him as the yardstick by which, in his mind, his work has always fallen short. “My playing’s got more cracks in it, it’s more human. More typical of someone who can’t play guitar at all.” I tell him that he is way too modest. “No, I know my limitations,” he smiles.
The years with Mac were more work than fun, he recalls; and, sadly, he professes to like just one piece of their recorded output. Rather than any of the band’s standard texts, it’s the pleasant but somewhat rambling instrumental Underway, from the 1969 album Then Play On. He dismisses the apparently autobiographical nature of some of his lyrics from that era, especially the achingly sad Man of the World, in which he managed, in the poptastic environment of 1968, to confess that he wished he had never been born. “There’s no truth in that,” he says. “It’s just poetry, just rhyming. Naah, I don’t wish I’d never been born, it just fits in, rhymes with whatever it was — knickers, ragged and torn.”
Suddenly serious again, Green does confess that the mental anguish evident in The Green Manalishi was no device. “I was just a bit frightened that I couldn’t break into my body. I woke up and I felt dead. My head seemed to be working, my mind seemed to be working, but only just. I couldn’t move my arms and legs, I had to fight to get my spirit into my body, and it kind of frightened me, I guess. I went straight off and wrote a fear song. I had a good refusal of hashish — then, eventually, there was LSD, in a Coke can. I refused first time, then, second time, I took a sip, just a tiny little sip, and I began to see things, things started to be more prominent, more definite. Two people dancing seemed to be trying to mean something. It was quite fantastic. It shouldn’t be so fantastic, maybe.”
Was his descent inevitable? “When I think of it, it was just me that was the sucker,” he says. “They kept publishing things in the newspaper, saying I threatened them to take back money they were offering me, but it’s not true. If I hadn’t taken LSD, I would have kept up with the money, been able to play, wouldn’t have stayed with the group, because they didn’t know how to handle the situation.”
He “stayed out of the way” as Mac went through various line-ups, all highly musical but often unsuccessful, before they unlocked the door to vast fortunes in the Rumours era. He begrudged them none of that success, but things reached a markedly contrasting nadir for Green when, in 1977, he was arrested after a confrontation with the band’s former manager, Clifford Davis. “I don’t know why I threatened him. I just suddenly said, ‘I’ll shoot you.’ I thought he’d be glad to hear from me, but all he wanted to do was get me arrested. I got a bit paranoid, and it came out like that.”
Green has taken small steps down a long road since then, often two forward and one back. Looking at him, you can feel that his punishment for relatively contained narcotic misdemeanours has lasted agonisingly long. Or you can simply enjoy his winning smile and give thanks he ever made records.
Before I leave, we listen to a raw demo he has recently made with a current team of simpatico players. There’s no point in pretending that it’s Oh Well, but its shuffling, bluesy style and smoky vocal have plenty of low-key charm. So, you do still want to express yourself with music, I say. “Oh, yeah,” he replies. “I’d like to be able to.”
Peter Green’s four-CD The Anthology is released tomorrow by Salvo
Source : http://entertainment.timesonline.co.uk/tol/arts_and_entertainment/music/article5002777.ece
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
L'itinéraire d'un musicien exceptionnel mais mal à l'aise avec la notoriété Bien dommage car pour moi il représente vraiment un style guitaristique et une sincérité qui me touche vraiment !
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
un coffret sur Peter vient de sortir, 4 cd qui reprennent toute sa carrière jusqu'au Splinter Group.
pas d'inedit (de la grande époque) à première vue...
pas d'inedit (de la grande époque) à première vue...
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Merci pour ce topic! J'ai essayé de me lancer dedans mais surtout je recherche une chanson superbe dont évidemment j'ignore le titre. Je sais juste que y'a une longue intro instrumentale plutot blues avec pas mal de réverbe et ensuite ca devient plus rock avec un riff en mi en contretemps avec une batterie qui rappelle Sunshine Of Your Love...si vous voyez de quel morceau je parle...
Brian Taylor- Messages : 290
Date d'inscription : 03/08/2008
Age : 32
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Brian Taylor a écrit:Merci pour ce topic! J'ai essayé de me lancer dedans mais surtout je recherche une chanson superbe dont évidemment j'ignore le titre. Je sais juste que y'a une longue intro instrumentale plutot blues avec pas mal de réverbe et ensuite ca devient plus rock avec un riff en mi en contretemps avec une batterie qui rappelle Sunshine Of Your Love...si vous voyez de quel morceau je parle...
ils deviennent plus rock à partir de l'album Then Play On...
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Pour ceux qui s'intéressent à Peter Green ou pour le découvrir et découvrir de quoi est capable un petit Britton blanc comme neige (devrais-je plutôt dire arc-en-ciel comme LSD ?), je conseille vivement l'écoute de ça :
Peter Green y reprend tout le répertoire (connu) de Robert Johnson, avec en prime, sur le troisième CD, le fameux répertoire (connu) interprété par M. Johnson en personne.
Un bonbon et un cadeaux, quoi...
Peter Green y reprend tout le répertoire (connu) de Robert Johnson, avec en prime, sur le troisième CD, le fameux répertoire (connu) interprété par M. Johnson en personne.
Un bonbon et un cadeaux, quoi...
Invité- Invité
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Il est vraiment bien ce coffret Steely Dan Je n'en ai pas entendu que du bien ? C'est du tout acoustique ou alors c'est avec un groupe electrique ? Il joue une chanson de Robert Johnson dans le DVD de la soirée hommage à R.J "Hellhound on my trail" et c'est vraiment pas terrible
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Merci Steelydan pour cet ajout - mais il faudrait peut-être faire un nouveau topic pour parler de ce coffret, car on est assez loin de Fleetwood Mac...
Les 2 premiers CD regroupent 2 albums du "Peter Green Splinter Group" avec le guitariste Nigel Watson (partenaire de Peter depuis le début de 70's). Ces albums sont des hommages à Robert Johnson et couvrent comme le dit Steely Dan l'intégralité du répertoire de Johnson (contrairement à ce qu'a fait par la suite Clapton, qui a lui aussi sorti 2 disques mais avec des morceaux absents et d'autres qui se recoupent): "Robert Johnson Songbook" (1998 je crois) et "Hot foot powder" (2000 je crois). C'est acoustique, donc on ne retrouve pas le Peter Green soliste de la grande époque (mais de toute façon il faut faire une croix dessus définitivement). Le second CD présente des bluesmen invités (Honeyboy Edwards, Otis Rush, Joe Louis Walker, Dr John, Buddy Guy, Hubert Sumlin) et, de mémoire, il est globalement meilleur.
A mon avis, bien que je sois un très grand fan de Peter Green, c'est assez inégal. Les morceaux que je préfère sont ceux où la voix d'outre-tombe de Peter sert bien la noirceur du texte de Johnson. Musicalement, je crois que rien n'est nul, mais la voix de Nigel Watson (très présent: ce n'est pas pour rien que les deux noms apparaissent sur la pochette), terriblement banale, me gêne plus. Des hauts et des bas, donc, mais à mon avis les meilleurs morceaux surclassent sans peine les versions claptoniennes de "Me & Mr. Johnson". J'ai moi aussi parfois lu de très sévères critiques sur ces albums, elles sont très exagérées. En fait ce sont des disques que j'écoute de temps à autre, jamais en entier mais avec plaisir. Et c'est aussi grâce à ces albums que Peter Green a refait surface un petit temps, ce qui n'est pas rien.
Les 2 premiers CD regroupent 2 albums du "Peter Green Splinter Group" avec le guitariste Nigel Watson (partenaire de Peter depuis le début de 70's). Ces albums sont des hommages à Robert Johnson et couvrent comme le dit Steely Dan l'intégralité du répertoire de Johnson (contrairement à ce qu'a fait par la suite Clapton, qui a lui aussi sorti 2 disques mais avec des morceaux absents et d'autres qui se recoupent): "Robert Johnson Songbook" (1998 je crois) et "Hot foot powder" (2000 je crois). C'est acoustique, donc on ne retrouve pas le Peter Green soliste de la grande époque (mais de toute façon il faut faire une croix dessus définitivement). Le second CD présente des bluesmen invités (Honeyboy Edwards, Otis Rush, Joe Louis Walker, Dr John, Buddy Guy, Hubert Sumlin) et, de mémoire, il est globalement meilleur.
A mon avis, bien que je sois un très grand fan de Peter Green, c'est assez inégal. Les morceaux que je préfère sont ceux où la voix d'outre-tombe de Peter sert bien la noirceur du texte de Johnson. Musicalement, je crois que rien n'est nul, mais la voix de Nigel Watson (très présent: ce n'est pas pour rien que les deux noms apparaissent sur la pochette), terriblement banale, me gêne plus. Des hauts et des bas, donc, mais à mon avis les meilleurs morceaux surclassent sans peine les versions claptoniennes de "Me & Mr. Johnson". J'ai moi aussi parfois lu de très sévères critiques sur ces albums, elles sont très exagérées. En fait ce sont des disques que j'écoute de temps à autre, jamais en entier mais avec plaisir. Et c'est aussi grâce à ces albums que Peter Green a refait surface un petit temps, ce qui n'est pas rien.
eddie- Messages : 744
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Jipes a écrit:Il est vraiment bien ce coffret Steely Dan Je n'en ai pas entendu que du bien ? C'est du tout acoustique ou alors c'est avec un groupe electrique ? Il joue une chanson de Robert Johnson dans le DVD de la soirée hommage à R.J "Hellhound on my trail" et c'est vraiment pas terrible
Oui, il est vraiment bien ce coffret, du moins si on accroche sur l'exercice de style pratiqué...
Après, les critiques, hein, elles disent souvent tout et son contraire. Quand un gars comme Peter Green, qui a tant fait pour le Blues en son temps refait surface, et bien il faut rendre a césar...
Comme l'a dit Edblues, l'ensemble n'est pas égal. Mais cela reste du très bon même si, moi aussi, je préfère le Peter Green du coffret Fleetwood Mac, l'intégrale Blue Horizon Sessions, enfin celui là, où on retourne chez le Mac..
.. et qui comprend six CD que plus de 35 ans sépare du coffret cité.
Clairement, il faut effectivement le dire, Peter Green n'est plus le même homme/guitariste qu'il y a 35 ans. Il n'a plus la même énergie, ni la même vitesse, mais il garde un touché bien à lui et sa lecture des morceaux n'est pas vilaine non plus.
j'aurais dû employer le mot "redécouvrir" Peter Green dans le commentaire du précédent post. Car découvrir Peter Green avec cet album serait bien sûr une sottise.
Ceux qui préfèreraient redécouvrir (pas planté cette fois hein ) le PG plus électrique peuvent se rabattre sur sa production suivante (2002), Soho Live at Ronnie Scotts que personnellement je trouve superbe.
Invité- Invité
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Steelydan a écrit: sa production suivante (2002), Soho Live at Ronnie Scotts que personnellement je trouve superbe.
Oui, moi aussi.
A noter que Peter Green est annoncé en live le 27 février 2009 au club "Spirit of 66" à Verviers en Belgique, c'est près de Liège!
Sachant que son Splinter Group s'est terminé au tribunal (je crois même que Nigel Watson n'a plus le droit d'approcher Peter!) et que sa participation au projet "British blues all-stars" a tourné court, je me demande ce qu'il peut faire en ce moment, et avec quels musiciens...
Si quelqu'un ici a des échos de ce concert...
eddie- Messages : 744
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
1. Green Manalishi (with the two pronged crown)
2. Oh well - Part 1
3. Oh well - Part 2
4. Shake your money maker
5. Need your love so bad
6. Rattle snake shake
7. Dragonfly
8. Black magic woman
9. Albatross
10. Man of the world
11. Stop messin' round
12. Love that burns
J'avais vraiment découvert la musique de Peter Green's Fleetwood Mac avec cet excellent "Greatest Hits".
Attention, c'est la version GB avec une meilleur sélection de titres par rapport à la version distribué en France.
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
Apparemment, il y a un autre concert en Belgique à Leffinge le 20 février. Et à Amsterdam le 21, et quelques autres dates dans le Nord de l'Europe.
Et les musiciens qui l'accompagnent seraient:
- Mike Dodd (g)
- Geraint Watkins (p) [il a notamment joué avec Rory Gallagher]
- Matt Radford (b)
- Andrew Flude (d)
Et les musiciens qui l'accompagnent seraient:
- Mike Dodd (g)
- Geraint Watkins (p) [il a notamment joué avec Rory Gallagher]
- Matt Radford (b)
- Andrew Flude (d)
eddie- Messages : 744
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
voici les dates que j'ai :
Le 20 février à Leffinge - Belgique
De Zwerver à 21h
Prix : 16,50 euros
Le 17 février à Verviers - Belgique
Spirit of 66 à 21h
Prix : 21,75 euros
il semble y avoir discordance pour Verviers
Le 20 février à Leffinge - Belgique
De Zwerver à 21h
Prix : 16,50 euros
Le 17 février à Verviers - Belgique
Spirit of 66 à 21h
Prix : 21,75 euros
il semble y avoir discordance pour Verviers
Re: Peter Green's Fleetwood Mac
J'ai dû me gourer - à vérifier donc.
Je n'en serai pas - j'ai vu Peter Green 3 fois, j'ai fait 500 bornes la première fois, mais c'était la première fois n'est-ce pas. Ceci dit j'aime la Belgique.
Je n'en serai pas - j'ai vu Peter Green 3 fois, j'ai fait 500 bornes la première fois, mais c'était la première fois n'est-ce pas. Ceci dit j'aime la Belgique.
eddie- Messages : 744
Date d'inscription : 15/04/2008
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» Fleetwood Mac (l'original)
» Fleetwood Mac (1968)
» #117 Black Magic Woman - Fleetwood Mac (18 avril 2011)
» Peter Kaukonen
» Peter Gabriel
» Fleetwood Mac (1968)
» #117 Black Magic Woman - Fleetwood Mac (18 avril 2011)
» Peter Kaukonen
» Peter Gabriel
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum