Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
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Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Lecture achevée de l'autobiographie de Keith Richards : hautement recommandée ! Beaucoup d'humour, une réflexion intéressante sur son évolution musicale en première partie de livre, un guide bien rédigé des différentes façons de se défoncer, des avis bien tranchés sur ses paires... tout ce qu'on pouvait attendre du personnage. Aussi enthousiasmante que celle de Clapton était ennuyeuse.
Lecture achevée de l'autobiographie de Keith Richards : hautement recommandée ! Beaucoup d'humour, une réflexion intéressante sur son évolution musicale en première partie de livre, un guide bien rédigé des différentes façons de se défoncer, des avis bien tranchés sur ses paires... tout ce qu'on pouvait attendre du personnage. Aussi enthousiasmante que celle de Clapton était ennuyeuse.
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Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Bonne tenue également des propos dans les diverses interviews lues à droite et à gauche (Telerama, Paris Match...). Il murit progressivement...
;-)
;-)
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Il en a plusieurs?Ayler a écrit:des avis bien tranchés sur ses paires...
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
ce bouquin est passionnant parce qu'il est retranscrit dans un style moderne non littéraire et qu'il fourmille d'anecdotes pour lesquels Keith a bonne mémoire, le tout dans l'ambiance de l'époque.
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Attention Keith se rebiffe:
http://fr.news.yahoo.com/45/20101112/ten-keith-richards-il-frappe-un-journali-a4307fe.html
http://fr.news.yahoo.com/45/20101112/ten-keith-richards-il-frappe-un-journali-a4307fe.html
Keith Richards est en pleine promo du livre dans lequel il raconte sa vie animée et qui a pour titre "Life". Un livre explosif qui fait un carton dans tous les pays où il est sorti - En France aux éditions Robert Laffont.
Et il vient de frapper un journaliste suédois qui n'avait pas aimé son livre. Agacé par les critiques de son interlocuteur, le Rolling Stones lui a assené un coup de boule !
Il est vrai que le journaliste n'a jamais aimé les Stones. Par le passé, il avait écrit que les "Rolling Stones" étaient un groupe amateur".
Après avoir frappé le journaliste Keith Richards lui a dit : "Sois heureux de t'en sortir vivant".
Toujours aussi rock and roll, Keith !
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Sauf que Richards nie en bloc !
Source : Rolling Stone (le mag)
a spokesperson for Richards says that the allegations against the singer were false. "At the conclusion of the 20 minute interview Keith Richards jokingly tapped the journalist on the head after his questions got a bit silly," Richards' spokesperson tells Rolling Stone. "From the people in the room during the interview they would suggest that the writer has allowed his imagination to get the better of him."
Source : Rolling Stone (le mag)
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Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Keith mettre un coup de boule ?
euh ... j'aurais peur qu'il se fasse plus mal à lui même qu'à l'autre
euh ... j'aurais peur qu'il se fasse plus mal à lui même qu'à l'autre
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Jungleland a écrit:euh ... j'aurais peur qu'il se fasse plus mal à lui même qu'à l'autre
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Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Une interview de Keith par Antoine De Caunes dans Libé :http://next.liberation.fr/culture/01012301929-keith-richards-gratte-et-papier
Blueleader- Messages : 7793
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Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
magnifique!merci!
Norbert- Messages : 6026
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Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
ben malgré la chute du cocotier, ça mémoire reste bonne, à ce que je vois
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Keith interviewé par Antoines De Caunes:
http://next.liberation.fr/culture/01012301929-keith-richards-gratte-et-papier
http://next.liberation.fr/culture/01012301929-keith-richards-gratte-et-papier
En lisant Life, je me demandais si le plaisir l’avait emporté sur la douleur quand il s’est agi de redérouler le fil de votre vie agitée ?
C’est une question que j’ai commencé à me poser depuis que j’ai écrit le bouquin. Plus douloureux en un sens parce que vous devez réfléchir sur ce qui s’est passé, alors que, quand ça arrive, vous êtes dedans, vous avancez. C’est toujours difficile de replonger dans sa propre vie. Au début, je pensais que ça serait facile… J’avais une année devant moi, on venait juste de terminer une très longue tournée avec les Stones. J’avais le temps, je me suis dit que ça ne devrait pas être si difficile que ça. En fait si, c’est vraiment difficile de regarder en arrière.
Vous dites que la mémoire est fiction. Quelle est la part de la mémoire et celle de la fiction dans Life ?
Y a pas mal d’humour qui rentre là-dedans. Mais c’est surtout très factuel. Par fiction, je veux dire que quand la célébrité et l’image entrent en jeu, ça devient rapidement très difficile de faire la différence entre les deux… J’ai essayé de faire la différence entre l’image et la réalité. Pour moi, c’était ça, la chose importante.
Avez-vous coupé quelques histoires embarrassantes ? Pour ne blesser personne ?
J’ai essayé autant que faire se peut. Rien n’a été écrit dans l’intention de blesser qui que ce soit. En même temps, je devais raconter les coulisses de cette histoire, de ce qui se passait. Je ne suis pas un mec blessant vous savez… Mais c’est l’honnêteté qui, à un moment, doit l’emporter. J’ai coupé pas mal de ladies. Pas de noms. Que des petites histoires périphériques. J’espère avoir gardé l’épine dorsale de l’histoire, la moelle… (Une pause, il tire une taffe, souffle et se sourit à lui-même.) Bien sûr, je m’attendais à provoquer de l’intérêt, mais soudain je me retrouve auteur mondial numéro 1 ! (Il se fait marrer tout seul.) C’est excitant vous savez…
Sans doute les gens sont-ils sensibles à votre manière franche et honnête de parler de la vie et de la musique. Et sans retape. Vous auriez pu tout aussi bien l’appeler «Sex, Drugs and Rock’n’Roll»…
(Rires.) Oui, ou inverser l’ordre : «Rock’n Roll, Drugs and Sex». La musique d’abord.
Dans le livre, vous dites que quand les Rolling Stones ont commencé à connaître un énorme succès, quelque chose vous a échappé, et que vous courez toujours après. Comment définiriez-vous cela aujourd’hui ?
Je crois que c’est une question d’échelle. Au départ, on était un petit groupe et tout ça est arrivé brutalement dans nos vies. Personne avant nous n’avait connu un truc pareil. Il faut imaginer à quelle échelle ça se jouait : cinq petits gars assis dans les vestiaires de stades de foot gigantesques et regardant tout autour d’eux… Mick, Charlie, Ronnie n’est-ce pas… l’échelle de tout ça… Bien sûr, chacun d’entre nous a dû s’adapter à cette démesure, y survivre.
C’est quelque chose que vous cherchez à retrouver, cette première sensation d’être un petit groupe de rock ?
Oui, je ressens toujours ça. Je regrette l’intimité des clubs ou des petites salles, dans lesquelles on rejoue occasionnellement. Le plus important, c’était d’arriver à dealer avec ces choses qui devenaient de plus en plus énormes… les contraintes de la scène, s’adapter aux technologies de pointe, les écrans, le matériel sonore, toute cette incroyable logistique.
Et aussi garder la musique en première place…
Oui, c’est ça, la musique avant tout. J’ai toujours espéré que la musique soit suffisamment bonne pour que le show ne prenne pas le pas dessus. Après tout, j’avais avec moi le meilleur showman du monde, vous savez, Mick Jagger… et mon rôle, c’est de le soutenir (l’image l’amuse, peut-être à s’imaginer en déambulateur de Mick).
Si vous aviez 17 ans aujourd’hui, seriez-vous inspiré par le hip-hop comme vous l’avez été par le blues dans votre jeunesse ?
Non, le hip-hop c’est une variante. Le blues c’est autre chose… Ça traverse toute la musique pop depuis les premiers enregistrements. Je veux dire que le blues, c’est la colonne vertébrale du jazz, du rock’n’roll, du rhythm & blues, du reggae… La musique moderne, pour moi, c’est comme si tout était devenu trop grand. Il y a beaucoup de talents, il y en a au moins autant qu’avant, mais la façon dont ça s’exprime, le marketing, j’ai du mal avec ça. Pourtant, c’est inévitable : Internet, les sites web, la globalisation. Ça rend les choses plus difficiles. Tout est là, mais la façon de canaliser les choses est plus difficile qu’avant. A notre époque, c’était beaucoup plus facile de démarrer. Je veux dire : il y avait les Beatles et basta. (Rires.)
Comment réagissez-vous au fait qu’aujourd’hui parents, enfants et même grands-parents écoutent la même musique ? Avant c’était un sérieux sujet de conflit.
C’est une chose étrange. A partir des sixties et des seventies, c’est comme si tout le monde avait la même référence. Même le hip-hop est considéré comme quelque chose de nouveau. Pour moi, ça ne sonne pas «nouveau»… De toute façon, est-ce que la musique doit être nouvelle pour être intéressante ? Elle doit être bonne, c’est tout, avant même de tendre vers quelque chose de moderne.
Mais il y a longtemps, les gens se battaient. Les parents et les enfants se battaient…
C’est un peu comme si le rock avait lancé un pont entre les générations. Comme vous dites, les parents et les grands-parents peuvent écouter la même musique tout en comprenant ce qui se passe. Sans doute que la Deuxième Guerre mondiale a joué un rôle dans cette histoire de générations. Vous savez, moi, j’ai grandi juste après, et la phrase que j’entendais le plus venant des parents, des adultes, c’était : «Avant la guerre…» On n’a pas réalisé d’enregistrements pendant la guerre parce que les matières premières pour fabriquer les vinyles étaient utilisées pour autre chose. Je suis convaincu que ça a fait un sacré break dans les goûts musicaux générationnels. Tout a volé en éclats.
Mais vous ne pensez pas qu’en chemin, le rock a perdu une bonne part de son caractère transgressif ?
Oui, c’est ce que je pense. Les premiers enregistrements de rock’n’roll sont vraiment intéressants. Parce qu’ils sont faits de façon si archaïque… je veux dire, sans l’intrusion de la high-tech. Un magnétophone bibande et quelques gars. Ce degré de non-sophistication, le fait de ne pas avoir toutes ces possibilités de changer… ça donnait de l’immédiateté, juste le fait de capturer un moment. Chose qu’on ne peut plus faire à présent en raison de toute la technologie. Si vous voulez enregistrer un bon groupe de rock, vous le mettez dans une pièce comme celle-ci, vous placez un micro là-haut et vous appuyez sur «record». C’est comme ça qu’on obtient un vrai bon enregistrement, pas en poussant des boutons derrière une console. Ça doit venir comme ça, direct.
A propos de transgression, vous dites dans le livre que les drogues vous ont protégé contre la pression du star-system, que vous ne vouliez pas être une rock-star. C’est plus facile pour vous aujourd’hui que vous êtes clean ?
J’ai utilisé la drogue comme un tampon contre les autres aspects de la notoriété. J’ai aussi réalisé combien c’était stupide parce que, quand on fait ce que je fais, il vaut mieux être connu (rires). La drogue, c’était mon moyen de résoudre cette contradiction. Jusqu’à ce que je décide que ça n’était vraiment pas la bonne réponse.
Comme vous le rappelez à plusieurs reprises, vous êtes un homme de performances surnaturelles… comme rester neuf jours sans dormir ! Ou s’enfiler 8 grammes de coke d’un coup… Y en a-t-il une dont vous soyez particulièrement fier ?
C’est vrai, mais je ne suis pas nécessairement fier de tout ça. Ce ne sont pas des choses que je prévois en me disant «tiens, je ne vais pas dormir pendant neuf jours», non, ce sont des choses qui arrivent. D’ailleurs, quand vous avez veillé trois ou quatre nuits d’affilée, tout peut arriver… Ces choses-là, on n’y pense pas, d’un seul coup tu te dis : «Tiens, ça fait une semaine que j’ai pas dormi.» Il semblerait que j’ai une très bonne constitution. Très résistant.
Aujourd’hui, quand vous passez les frontières, les douaniers vous demandent-ils de poser pour une petite photo de famille ?
Je prends des avions privés. (Rires.)
Et pareil, si un flic vous arrête pour un excès de vitesse, il sort son portable pour un petit souvenir ?
Aujourd’hui, les policiers sont très courtois avec moi, limite aimables… (Rires.) De toute façon, je ne fais plus d’excès de vitesse.
Comment avez-vous réagi après votre chute de cocotier et votre délicate opération du crâne, quand vous avez réalisé que Tony Blair en personne était un de vos fervents supporteurs ?
C’était incroyable, vraiment ! Oui… Tony Blair, Bill Clinton aussi. Il est poilant, Clinton. Obama aussi s’est manifesté… Vraiment dingo d’imaginer que ces gens qui dirigent des pays sont fans de vous.
Vous entretenez une relation très forte avec Paris et la France. Vous avez même élu résidence à Paris…
J’y suis toujours, enfin souvent… J’habite au coin de la rue, littéralement. J’ai toujours eu de très fortes affinités avec les Français. La première fois que j’ai vécu ici, c’était pendant Exile on Main Street, à Villefranche [Villefranche-sur-Mer, pendant l’enregistrement de l’album, en 1970, ndlr]. Tous ces gens fascinants, bizarres, sur la côte… On a beaucoup enregistré ici. J’ai presque fini par devenir un Parisien. Bon, j’ai oublié tout mon français, mais ça reviendra. J’ai beaucoup de plaisir à être dans cette ville, son rythme naturel, la façon dont on fait les choses… et j’y ai de vrais amis. Je pense qu’on a plus enregistré ici que partout ailleurs. Je me suis toujours senti très à l’aise à Paris.
Quand vous aviez cet appartement rue Saint-Honoré, vous êtes-vous déjà retrouvé dans des situations délicates avec vos voisins ?
Oh, le mari de la concierge, à l’époque, il était chauffeur de taxi. Il habitait juste au-dessus de moi et, bien sûr, dans mon appartement, je fais beaucoup de bruit, je joue de la musique. Un jour, il est devenu fou et il a défoncé ma porte à coups de hache ! J’ai rien fait de particulier, juste une nouvelle porte… en acier trempé. Et puis de nouveau j’ai mis la musique à fond. Il est redescendu, mais cette fois c’est lui qui s’est défoncé sur ma porte. (Rires.)
Vous avez eu une très forte influence sur l’acteur Johnny Depp, et il s’est inspiré de vous pour jouer Jack Sparrow. Avez-vous eu le sentiment de vous voir joué à l’image ?
Je ne pense pas que ce soit une usurpation d’identité, juste un truc de «langage du corps». Je ne me souviens pas d’avoir enseigné quoi que ce soit à Johnny, à part peut-être comment tourner au coin de la rue quand tu es vraiment bourré… sans décoller le dos du mur. Il était tout le temps en train de m’observer à mon insu. C’est un bon ami, j’adore ce mec.
Ça vous fait quoi d’être devenu un personnage de cartoon, le père de Jack Sparrow ?
J’aime beaucoup ça. Un personnage de cartoon, c’est quand même le sommet de la gloire : tu deviens une icône identifiable. J’aime les dessins animés, les gags… Oui, il va me falloir vivre avec. (Rires.) En même temps, j’ai toujours un peu joué à ça avec les Stones.
Dans votre livre, on trouve des citations très drôles sur des icônes culturelles comme Allen Ginsberg («vieux sac à pets») ou Jean-Luc Godard, à propos du film que vous avez tourné ensemble (One + One). Mais vous devriez être prudent, JLG c’est une institution en France !
Ah ah ah… (La réponse se résume à un rire catarrheux de vieux chacal.)
Qu’est-ce que ça vous fait de passer pour un vieil homme sage vers lequel on se tourne pour lui demander conseil ?
C’est toujours mieux que d’être un jeune homme mort… Je ne sais pas, je pense que j’ai encore beaucoup à apprendre. Je ne me suis jamais considéré comme un sage. Quand on a vécu ce que j’ai vécu, il en ressort forcément une certaine sagesse… Il faut juste pouvoir l’exprimer avec un peu d’esprit.
Vous avez entendu parler de ces recueils, comme Qu’en pense Keith ? qui compilent certaines de vos déclarations ?
Oui j’ai vu ça.
On dirait des aphorismes…
Qui peut bien acheter ça ?
Moi ! C’est vraiment marrant. Mais pas que. C’est souvent profond et définitif.
Peut-être suis-je plus sage qu’on ne le croit.
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Allez quand même sur le lien de Libé, le texte d'intro d'Antoine De Caunes
est une petite merveille....
est une petite merveille....
Blueleader- Messages : 7793
Date d'inscription : 24/02/2010
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Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
blueleader a écrit:Allez quand même sur le lien de Libé, le texte d'intro d'Antoine De Caunes
est une petite merveille....
Oui c'est vrai, j'ai préféré mettre l'interview intégralement mais le texte de De Caunes vaut la peine qu'on y jette un oeil. Je trouve aussi qu'il pose souvent les bonnes questions dans les interviews. L'interview qu'il avait fait de Paul McCartney en 2007 (visible sur youtube) est vraiment intéressante.
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
blueleader a écrit:Allez quand même sur le lien de Libé, le texte d'intro d'Antoine De Caunes
est une petite merveille....
"Keith est l'un des murs porteurs du rock"
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
'Roots and Reggae' playlist in Rolling Stone
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Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Je lis le livre en ce moment et c'est absolument génial.
J'étais content de lire la vérité sur Brian Jones qui ne foutait rien une fois que les Stones étaient devenus célèbre. Keith raconte qu'il était obligé de couvrir pour Jones sur scène et au studio pendant ses absences répétées et systématique. Grosse tête, aucun talent pour l'écriture, méchant, cruel, paresseux, jaloux,... Et tous ces gens qui disait "C'était Brian Jones le vrai Rolling Stone". Il faut lire ce livre.
J'étais content de lire la vérité sur Brian Jones qui ne foutait rien une fois que les Stones étaient devenus célèbre. Keith raconte qu'il était obligé de couvrir pour Jones sur scène et au studio pendant ses absences répétées et systématique. Grosse tête, aucun talent pour l'écriture, méchant, cruel, paresseux, jaloux,... Et tous ces gens qui disait "C'était Brian Jones le vrai Rolling Stone". Il faut lire ce livre.
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
C'est ce que je me dis à chaques fois que je le vois en librairie
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
+1Purple Jim a écrit:Je lis le livre en ce moment et c'est absolument génial.
Electric Thing- Messages : 2628
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 53
Localisation : Légèrement à gauche de Saturne !
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Bon en même temps faut pas oublier que c'est la version de Keith hein
Re: Life par Keith Richards avec James Fox (2010)
Oui, mais il faut reconnaître que Keith est très modeste à travers ce livre. Le livre de Bill (Stone Alone) laissait entendre la même chose en ce qui concerne l'affreux Brian Jones.
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