Pink Floyd : The Wall (1979)
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The American Music Forum :: Rock UK... parce que ses racines sont américaines :: Autres musiciens européens
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Pink Floyd : The Wall (1979)
Pink Floyd : The Wall (1979)
Face A
1. In The Flesh ?
2. The Thin Ice
3. Another Brick In The Wall (Part 1)
4. The Happiest Days Of Our Lives
5. Another Brick In The Wall (Part 2)
6. Mother
Face B
1. Goodbye Blue Sky
2. Empty Spaces
3. Young Lust
4. One Of My Turns
5. Don't Leave Me Now
6. Another Brick In The Wall (Part 3)
7. Goodbye Cruel World
Face C
1. Hey You
2. Is There Anybody Out There ?
3. Nobody Home
4. Vera
5. Bring The Boys Back Home
6. Comfortably Numb
Face D
1. The Show Must Go On
2. In The Flesh
3. Run Like Hell
4. Waiting For The Worms
5. Stop
6. The Trial
7. Outside The Wall
Coproduit par Bob Ezrin, l'album trouve sa source dans l'enfance de Waters, la disparition de son père. C'est la thématique du premier disque. Sur le second, on bascule dans la schizophrénie de Waters dans son rapport de l'artiste au public, et à l'enfermement de la personnalité induite par ces deux phases. A ce titre, "The Wall" est un des albums les plus traumatiques de l'histoire, et le plus profond de la carrière du Floyd.
En termes d'écriture musicale, c'est aussi l'album le plus dense de Pink Floyd, qui se révèle remarquable dans le difficile exercice de la chanson. A ce titre, la face 3 est imparable. Aucune baisse de tension. Si la dernière face est moins évidente, elle comporte tout de même "The Trial" où l'influence de Bob Ezrin est plus manifeste avec son orchestration plus étoffée. Une mise à nu souvent effrayante par son aspect psychanalytique. Pour ce qui est de la composition, l'écriture fut incroyablement exigeante, aucun titre ne sombre dans la facilité et l'inventivité ne se dément jamais, des tragiques "Vera" et "Bring The Boys Back Home" à l'instrumental méditatif "Is There Anybody Out There ?" (sublime...), le point d'orgue de cette troisième face étant bien sur le cathartique "Comfortably Numb" et ses chorus de guitare éventrés.
Plus généralement, c'est aussi l'album de la plénitude guitaristique de Gilmour, plus concis que par le passé mais parfait dans toutes ses interventions, remarquablement construites. A ce titre, le chorus du célèbre "Another Brick In The Wall (part 2)" est une perfection, une composition dans la composition. Et les ambiances distillées sont vraiment dans le ton de chacun des titres. Il faut aussi souligner la performance de Roger Waters en tant que chanteur, où il se montre tour à tour insidieux, introspectif, ironique, apaisé, déchirant. Les parties vocales n'avaient pas toujours été le point fort du Floyd, mais cet album le dément totalement.
"The Wall" est l'aboutissement ultime de l'œuvre de Pink Floyd et plus particulièrement de Roger Waters. Mieux, c'est le chef-d'œuvre ultime des années 70. Un album dont Pink Floyd ne se remettra jamais, en fin de compte, tant Waters y est allé au bout de lui-même.
Face A
1. In The Flesh ?
2. The Thin Ice
3. Another Brick In The Wall (Part 1)
4. The Happiest Days Of Our Lives
5. Another Brick In The Wall (Part 2)
6. Mother
Face B
1. Goodbye Blue Sky
2. Empty Spaces
3. Young Lust
4. One Of My Turns
5. Don't Leave Me Now
6. Another Brick In The Wall (Part 3)
7. Goodbye Cruel World
Face C
1. Hey You
2. Is There Anybody Out There ?
3. Nobody Home
4. Vera
5. Bring The Boys Back Home
6. Comfortably Numb
Face D
1. The Show Must Go On
2. In The Flesh
3. Run Like Hell
4. Waiting For The Worms
5. Stop
6. The Trial
7. Outside The Wall
Coproduit par Bob Ezrin, l'album trouve sa source dans l'enfance de Waters, la disparition de son père. C'est la thématique du premier disque. Sur le second, on bascule dans la schizophrénie de Waters dans son rapport de l'artiste au public, et à l'enfermement de la personnalité induite par ces deux phases. A ce titre, "The Wall" est un des albums les plus traumatiques de l'histoire, et le plus profond de la carrière du Floyd.
En termes d'écriture musicale, c'est aussi l'album le plus dense de Pink Floyd, qui se révèle remarquable dans le difficile exercice de la chanson. A ce titre, la face 3 est imparable. Aucune baisse de tension. Si la dernière face est moins évidente, elle comporte tout de même "The Trial" où l'influence de Bob Ezrin est plus manifeste avec son orchestration plus étoffée. Une mise à nu souvent effrayante par son aspect psychanalytique. Pour ce qui est de la composition, l'écriture fut incroyablement exigeante, aucun titre ne sombre dans la facilité et l'inventivité ne se dément jamais, des tragiques "Vera" et "Bring The Boys Back Home" à l'instrumental méditatif "Is There Anybody Out There ?" (sublime...), le point d'orgue de cette troisième face étant bien sur le cathartique "Comfortably Numb" et ses chorus de guitare éventrés.
Plus généralement, c'est aussi l'album de la plénitude guitaristique de Gilmour, plus concis que par le passé mais parfait dans toutes ses interventions, remarquablement construites. A ce titre, le chorus du célèbre "Another Brick In The Wall (part 2)" est une perfection, une composition dans la composition. Et les ambiances distillées sont vraiment dans le ton de chacun des titres. Il faut aussi souligner la performance de Roger Waters en tant que chanteur, où il se montre tour à tour insidieux, introspectif, ironique, apaisé, déchirant. Les parties vocales n'avaient pas toujours été le point fort du Floyd, mais cet album le dément totalement.
"The Wall" est l'aboutissement ultime de l'œuvre de Pink Floyd et plus particulièrement de Roger Waters. Mieux, c'est le chef-d'œuvre ultime des années 70. Un album dont Pink Floyd ne se remettra jamais, en fin de compte, tant Waters y est allé au bout de lui-même.
Dernière édition par Rising Sun le 10.10.08 1:42, édité 2 fois
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
belle chronique qui donne envie de le réécouter...jamais accroché sauf le single imperissable
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
Superbe chronique !
Un très grand disque. Un chef d'oeuvre même !
Des titres sont, comment dire, comme parfaits ! A en chialer tellement c'est beau !
C'est somptueux !
Un très grand disque. Un chef d'oeuvre même !
Des titres sont, comment dire, comme parfaits ! A en chialer tellement c'est beau !
C'est somptueux !
Pour moi c'est clairement le dernier disque du Floyd ! J'ai tout de The Piper At The Gates Of Dawn à The Wall... plus rien après.Un album dont Pink Floyd ne se remettra jamais, en fin de compte, tant Waters y est allé au bout de lui-même.
Electric Thing- Messages : 2628
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 53
Localisation : Légèrement à gauche de Saturne !
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
Excellente chronique en effet.
Après avoir écouté cet album un nombre incalculable de fois dans ma prime jeunesse, je suis resté longtemps sans le remettre dans le lecteur. Ayant récemment recommencé à l'écouter, j'ai été très heureux de ma "redécouverte".
D'abord, l'album n'a pas pris une ride. Pensé comme un tout, il est d'une remarquable cohérence. Aucune faiblesse n'est à déplorer, ce qui est fort rare chez Pink Floyd, où les grands morceaux voisinent fréquemment avec des titres parfaitement dénués d'intérêts. Ici, chaque morceau a sa place et ses mérites. L'émotion est de tout les instants.
Avec le recul, cet album est d'une incroyable audace. L'ambition est considérable, sur le plan narratif comme sur le plan musical, et le pari est pleinement réussi. Là où le risque de sombrer dans le grand-gignolesque et le ridicule était important, Pink Floyd - dirigé par Waters - propose une oeuvre forte, originale et parfaitement maîtrisée. Le rock avait alors encore quelque chose à dire, prenait encore des risques et osait encore viser très haut. A posteriori, cette époque semble bien révolue, et pas seulement pour Pink Floyd. Ce disque est assurément l'un des derniers à prouver que l'on peut obtenir un immense succès commercial avec un disque sans concession, dont certains morceaux sont mêmes très difficiles tant ils sont imprègnés de malaise et d'angoisse. La folie, la douleur et la faiblesse ainsi exposées n'ont pas empêché les auditeurs de se retrouver dans cet album qui, partant des obsessions de Waters, fait écho bien au-delà. C'est la réussite de ce dernier d'être parvenu à ne pas sombrer dans une musique d'autiste avec des thèmes aussi intimes et personnels. Ce disque est de la sorte la démonstration de ce que la démagogie, la facilité et le culte de la simplicité et de l'efficacité ont conduit à un considérable appauvrissement de la musique rock.
Enfin, je pense qu'il convient d'inviter au visionnage du film, très réussi, d'Alan Parker, qui adapte très fidèlement l'album. Les passages de dessins animés notamment sont remarquables.
Après avoir écouté cet album un nombre incalculable de fois dans ma prime jeunesse, je suis resté longtemps sans le remettre dans le lecteur. Ayant récemment recommencé à l'écouter, j'ai été très heureux de ma "redécouverte".
D'abord, l'album n'a pas pris une ride. Pensé comme un tout, il est d'une remarquable cohérence. Aucune faiblesse n'est à déplorer, ce qui est fort rare chez Pink Floyd, où les grands morceaux voisinent fréquemment avec des titres parfaitement dénués d'intérêts. Ici, chaque morceau a sa place et ses mérites. L'émotion est de tout les instants.
Avec le recul, cet album est d'une incroyable audace. L'ambition est considérable, sur le plan narratif comme sur le plan musical, et le pari est pleinement réussi. Là où le risque de sombrer dans le grand-gignolesque et le ridicule était important, Pink Floyd - dirigé par Waters - propose une oeuvre forte, originale et parfaitement maîtrisée. Le rock avait alors encore quelque chose à dire, prenait encore des risques et osait encore viser très haut. A posteriori, cette époque semble bien révolue, et pas seulement pour Pink Floyd. Ce disque est assurément l'un des derniers à prouver que l'on peut obtenir un immense succès commercial avec un disque sans concession, dont certains morceaux sont mêmes très difficiles tant ils sont imprègnés de malaise et d'angoisse. La folie, la douleur et la faiblesse ainsi exposées n'ont pas empêché les auditeurs de se retrouver dans cet album qui, partant des obsessions de Waters, fait écho bien au-delà. C'est la réussite de ce dernier d'être parvenu à ne pas sombrer dans une musique d'autiste avec des thèmes aussi intimes et personnels. Ce disque est de la sorte la démonstration de ce que la démagogie, la facilité et le culte de la simplicité et de l'efficacité ont conduit à un considérable appauvrissement de la musique rock.
Enfin, je pense qu'il convient d'inviter au visionnage du film, très réussi, d'Alan Parker, qui adapte très fidèlement l'album. Les passages de dessins animés notamment sont remarquables.
Dernière édition par Ornette le 08.10.08 18:57, édité 2 fois
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
Je suis plutôt fan du Floyd avant "Animals" et je n'ai jamais écouté "The Wall" !
Après vos commentaires ça me donne envie de vérifier quand même.
Après vos commentaires ça me donne envie de vérifier quand même.
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
Très belle chronique mais qui me laisse un peu perplexe.
Je reviens du japon et dans l'avion, il y avait moyen d'écouter ce disque que je n'avais pas du tout aimé il y a environ 5 ans...
Ben, je dois avouer que j'ai vraiment pas accroché. J'y ai justement trouvé un aspect grand-guignolesque assez poussé. Plus anecdotiquement, je ne suis pas loin d'avoir trouvé la voix de Waters repoussante, voire ridicule tout du long. Bon j'y ai trouvé des qualités quand même: le jeu de Gilmour est splendide (son solo sur another...est vraiment un cas d'école (supérieur à la compo que j'ai toujours trouvée assez fade)), confortably numb m'a vraiment plût (même si je me sens réac à avoir seulement aimé la compo la plus proche de leurs oeuvres postérieures) et la production d'Ezrin m'a vraiment fascinée. D'ailleurs, je ne sais plus sur quel morceau, mais il utilise à un moment un procédé d'orchestration très proche du Sad Song de Lou Reed.
Voilà, à lire ta chronique je me sens con et j'ai vraiment l'impression de passer à côté d'un grand disque. Je risque bien de persevérer en me faisant d'abord une réécoute de Wish You (dont je n'avais aimé que le titre éponyme et le dyptique Shine...) et Animals (jamais entendu). Peut-être qu'en suivant l'évolution...
Je reviens du japon et dans l'avion, il y avait moyen d'écouter ce disque que je n'avais pas du tout aimé il y a environ 5 ans...
Ben, je dois avouer que j'ai vraiment pas accroché. J'y ai justement trouvé un aspect grand-guignolesque assez poussé. Plus anecdotiquement, je ne suis pas loin d'avoir trouvé la voix de Waters repoussante, voire ridicule tout du long. Bon j'y ai trouvé des qualités quand même: le jeu de Gilmour est splendide (son solo sur another...est vraiment un cas d'école (supérieur à la compo que j'ai toujours trouvée assez fade)), confortably numb m'a vraiment plût (même si je me sens réac à avoir seulement aimé la compo la plus proche de leurs oeuvres postérieures) et la production d'Ezrin m'a vraiment fascinée. D'ailleurs, je ne sais plus sur quel morceau, mais il utilise à un moment un procédé d'orchestration très proche du Sad Song de Lou Reed.
Voilà, à lire ta chronique je me sens con et j'ai vraiment l'impression de passer à côté d'un grand disque. Je risque bien de persevérer en me faisant d'abord une réécoute de Wish You (dont je n'avais aimé que le titre éponyme et le dyptique Shine...) et Animals (jamais entendu). Peut-être qu'en suivant l'évolution...
clement- Messages : 501
Date d'inscription : 16/04/2008
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
Animals est génial, rien que pour Dogs
J'ai entendu a peu près toutes les chansons de cet album, mas pas dans l'ordre, pas d'un coup, donc du coup je ne sais pas encore l'apprécier a sa juste valeur. Le mauvais pointe sont comme qui dirait le son général qui prédit les eighties a venir, mais bon, peut-on vraiment leur en vouloir?
J'écouterai ça plus profondément.
Jolie chronique en tout cas, moi qui pensais que The Wall n'était pas très apprécié
J'ai entendu a peu près toutes les chansons de cet album, mas pas dans l'ordre, pas d'un coup, donc du coup je ne sais pas encore l'apprécier a sa juste valeur. Le mauvais pointe sont comme qui dirait le son général qui prédit les eighties a venir, mais bon, peut-on vraiment leur en vouloir?
J'écouterai ça plus profondément.
Jolie chronique en tout cas, moi qui pensais que The Wall n'était pas très apprécié
Brian Taylor- Messages : 290
Date d'inscription : 03/08/2008
Age : 32
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
Pas mal, mais pour moi, c'est déjà un album d'après Floyd... la magie est un peu tombée... le coté underground, créatif, avant gardiste est estompé ... Il reste de beaux moments gilmouriens... mais à cette époque je me mets à bosser et je suis moins réceptif à ce floyd "hit parade" ... qui conduit vers "animal"...
Le cochon à Pantin, c'était un peu tristounet... ça tournait en eau de boudin...
Pour mémoire dans le film (Wall à berlin ???) il y a Joni Mitchell
Le cochon à Pantin, c'était un peu tristounet... ça tournait en eau de boudin...
Pour mémoire dans le film (Wall à berlin ???) il y a Joni Mitchell
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
quelqu'un a écouté le disque "bonus" de la version remasterisée... ?
j'aime bien cet album, mais je l'ai trop écouté, du coup, j'hésite à le prendre uniquement pour ce disque... j'ai peur qu'il prenne la poussière (contrairement au disque bonus de wish you were here qui vaut le détour (et même un abonnement de train)
j'aime bien cet album, mais je l'ai trop écouté, du coup, j'hésite à le prendre uniquement pour ce disque... j'ai peur qu'il prenne la poussière (contrairement au disque bonus de wish you were here qui vaut le détour (et même un abonnement de train)
Wu wei- Messages : 4680
Date d'inscription : 04/07/2011
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
j'ai faillit me laisser tenter pour le remaster, c'est album est grand et parfois un peu comme le dit clément grand-guignolesque...mais c'est un momument, j'aime le Floyd a partir de MEDDLE, l'avant est trop expérimental pour moi j'accroche pas.Fando a écrit:quelqu'un a écouté le disque "bonus" de la version remasterisée... ?
j'aime bien cet album, mais je l'ai trop écouté, du coup, j'hésite à le prendre uniquement pour ce disque... j'ai peur qu'il prenne la poussière (contrairement au disque bonus de wish you were here qui vaut le détour (et même un abonnement de train)
j'ai la version 2012 de WISH YOU WERE HERE, Fando et ne quitte pas la selection dans mon ipop..
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
J'ai écouté le disque bonus de la version remastérisé,et franchement,c'est de l'arnaque,rien de neuf comparé aux coffrets immersion de Dark side of the moon,ou de Wish you were here,toujours est t'il que The Wall reste un monument,un chef d'oeuvre absolu !!!!J'ai été à Londres le 15 mai 2012 voir le concert The Wall de la tournée de Roger Waters,et honnêtement ,c'était fabuleux!!!l'album était retranscrit à la perfection,et même si Gilmour n'était pas là,son remplaçant était largement à la hauteur (je peux comparer car j'ai vu 3 fois les Floyd en concert et 2 fois David Gilmour !!!)Pour en revenir à The Wall on peut comprendre que ça ne plaise pas ,mais il faut reconnaître que dans ce style d'album (concept album),c'est ce qui se fait de mieux!!!!!
pinkjo- Messages : 11
Date d'inscription : 03/05/2012
Age : 62
Localisation : Beaulieu sur mer 06
Re: Pink Floyd : The Wall (1979)
j'ai découvert le groupe grâce au film (the wall) passé à en user la bande (haaaaaa les K7 ^^) puis l'album, puis leur disco... et à chaque fois que quelqu'un ne connaissait pas je m'empressais de lui faire écouter... de fait je connais cet album par coeur... mais, contrairement à d'autres comme Animal, je ne l'écoute plus... c'est dommage, mais je tente de "l'oublier" afin d'avoir un poil de "neuf" dans l'écoute.
reste qu'au-delà de la période de découverte quelque peu pubère ^^ cela reste un très bon album, bien foutu, bien équilibré, très fort... qui souffre un peu du succès de another brick in the wall part 2...
reste qu'au-delà de la période de découverte quelque peu pubère ^^ cela reste un très bon album, bien foutu, bien équilibré, très fort... qui souffre un peu du succès de another brick in the wall part 2...
Wu wei- Messages : 4680
Date d'inscription : 04/07/2011
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