The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
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The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
Outre sa légendaire association avec Bob Dylan, Mike a également participé à quelques workshop avec le Butterfield Blues Band, il présente même le set de Lightnin' Hopkins.
MICHAEL BLOOMFIELD
Michael Bloomfield, v.
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 23, 1965
Bloomfield présente Lightnin’ Hopkins, dispo sur “Lightnin’ Hopkins at Newport,” Vanguard UV067
PAUL BUTTERFIELD BLUES BAND
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 23, 1965
Paul Butterfield : Vocals, Harmonica
Nick Gravenites : Vocals
Mike Bloomfield : Guitar
Elvin Bishop : Guitar
Jerome Arnold : Bass
Sam Lay : Drums
la set-list est inconnue, par contre Nick chante bien ce jour là...(la photo ci-dessus est une preuve irréfutable.
Cette performance réalisé pendant l'après-midi fait partie d'un Workshop qui s'appelait “Blues: Origins and Offshoots.”
(extrait du livre Epitaphe 11 de S Koechlin)
Il fallait voir Mike Bloomfield ce jour là...c'était un beau spectacle de le regarder, penché sur sa guitare, comme une liane, bougeant doucement son corps d'avant en arrière, tel un toréador, toujours collé à l'instrument qui se perdait dans ses longues mains...
Le son était fort, saturé, les micros mal réglés..., personne n'entendait rien...Pete Seeger en personne se précipita sur les consoles pour couper le son...il se heurta à un Paul Rothchild, excité, et qui protégeait la console
"Baisse ! Baisse !" lui ordonna Seeger.
Rothchild refusa. S'il avait pu, il en aurait rajouté...
L'ambiance Backstage était aussi pesante que sur scène...
Après la présentations ironique du Butterfield Blues Band par alan lomax (musicologue) :
"Mesdames et Messieurs, il fut un temps où un pauvre fermier noir, ramassait une boite de cigare, nouait dessus des cordes de fil métalliques, s'asseyait sous un arbre et jouait une musique splendide. Bref, nous avons là une bande de types, avec de gros amplificateurs et plein de puissance : Le Butterfield Blues Band. Nous allons pouvoir vérifier si ces blancs de Chicago savent ce qu'est le blues"
Pendant que le groupe prennait place (sous les huées du public), Albert Grossman (manager de Dylan et du PBBB) s'était approché de Lomax.
"Espèce de fils de pute, c'est quoi ton introduction à la con..."
"Mon introduction ? éructa-t-il. Elle s'adresse à tous les trous du cul"
Albert lui balança une gifle puis un coup de poing au visage qui déséquilibra le musicologue, et il se précipita sur lui en le frappant au ventre et à la tête. Mais, Lomax, costaud, parvint à repousser les assauts et à étouffer Albert quand les spectateur les séparèrent Lomax quitta le site du Festival , des larmes aux bords des yeux, la gorge noué...le gardien de la pureté Folk se sentait seul devant cette révolution dont il était devenu le témoin impuissant..."Times they are a changin'"
PAUL BUTTERFIELD BLUES BAND
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 24, 1965
Paul Butterfield : Vocals, Harmonica
Nick Gravenites : Vocals
Mike Bloomfield : Guitar
Elvin Bishop : Guitar
Jerome Arnold : Bass
Sam Lay : Drums
"Juke" + d'autre titres non spécifiés
Cette performance réalisé un samedi après midi faisait partie d'un Workshop appelé "Bleusville".
A cause de tout le bruit et l'excitation que générait le blues électrique, Albert Grossman (manager de Dylan & du BBB) avait réussi contre toute attente à bloquer une place le samedi après-midi.
Une soudaine pluie torrentiel obligea le groupe à déplacé le set dans la soirée...un extrait de ce workshop est disponible sur le DVD "Festival" de Murray Lerner's
grace à U-Tube le voici avec en prime une définition de Blues avec Son House et Bloomfield ("juke" commence à partir de 7:20)
PAUL BUTTERFIELD BLUES BAND
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 25, 1965
Paul Butterfield : Vocals, Harmonica
Nick Gravenites : Vocals
Mike Bloomfield : Guitar
Elvin Bishop : Guitar
Jerome Arnold : Bass
Sam Lay : Drums
01 Mellow Down Easy
02 Look Over Yonders Wall
03 Blues With A Feeling
04 Born In Chicago
05 Blues For Ruth
06 Why Don't You All Quit It
07 Elvin's Blues
08 That’s All Right (NG, v)
09 It's About Time (NG, v)
10 It's True (NG, v)
11 Work Song
c'était le premier set de la dernière soirée du festival.
Vanguard aurait enregistré tout les concerts... mais seulement 4 extraits ont vu le jour sur disque :
(02,03)CD "Droppin' In With The Butterfield Blues Band" (Bootleg)
(01,04)CD "Newport Folk Festival - Best Of The Blues" (Vanguard)
un extrait de "Born In Chicago" est aussi disponible sur le DVD "Festival" (video ci dessus-au tout début)
Notez déjà la présence de l'instrumental "Work Song" et de "It's About Time" une compo de Nick qu'on retrouvera sur My Labors.
MICHAEL BLOOMFIELD
Michael Bloomfield, v.
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 23, 1965
Bloomfield présente Lightnin’ Hopkins, dispo sur “Lightnin’ Hopkins at Newport,” Vanguard UV067
PAUL BUTTERFIELD BLUES BAND
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 23, 1965
Paul Butterfield : Vocals, Harmonica
Nick Gravenites : Vocals
Mike Bloomfield : Guitar
Elvin Bishop : Guitar
Jerome Arnold : Bass
Sam Lay : Drums
la set-list est inconnue, par contre Nick chante bien ce jour là...(la photo ci-dessus est une preuve irréfutable.
Cette performance réalisé pendant l'après-midi fait partie d'un Workshop qui s'appelait “Blues: Origins and Offshoots.”
(extrait du livre Epitaphe 11 de S Koechlin)
Il fallait voir Mike Bloomfield ce jour là...c'était un beau spectacle de le regarder, penché sur sa guitare, comme une liane, bougeant doucement son corps d'avant en arrière, tel un toréador, toujours collé à l'instrument qui se perdait dans ses longues mains...
Le son était fort, saturé, les micros mal réglés..., personne n'entendait rien...Pete Seeger en personne se précipita sur les consoles pour couper le son...il se heurta à un Paul Rothchild, excité, et qui protégeait la console
"Baisse ! Baisse !" lui ordonna Seeger.
Rothchild refusa. S'il avait pu, il en aurait rajouté...
L'ambiance Backstage était aussi pesante que sur scène...
Après la présentations ironique du Butterfield Blues Band par alan lomax (musicologue) :
"Mesdames et Messieurs, il fut un temps où un pauvre fermier noir, ramassait une boite de cigare, nouait dessus des cordes de fil métalliques, s'asseyait sous un arbre et jouait une musique splendide. Bref, nous avons là une bande de types, avec de gros amplificateurs et plein de puissance : Le Butterfield Blues Band. Nous allons pouvoir vérifier si ces blancs de Chicago savent ce qu'est le blues"
Pendant que le groupe prennait place (sous les huées du public), Albert Grossman (manager de Dylan et du PBBB) s'était approché de Lomax.
"Espèce de fils de pute, c'est quoi ton introduction à la con..."
"Mon introduction ? éructa-t-il. Elle s'adresse à tous les trous du cul"
Albert lui balança une gifle puis un coup de poing au visage qui déséquilibra le musicologue, et il se précipita sur lui en le frappant au ventre et à la tête. Mais, Lomax, costaud, parvint à repousser les assauts et à étouffer Albert quand les spectateur les séparèrent Lomax quitta le site du Festival , des larmes aux bords des yeux, la gorge noué...le gardien de la pureté Folk se sentait seul devant cette révolution dont il était devenu le témoin impuissant..."Times they are a changin'"
PAUL BUTTERFIELD BLUES BAND
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 24, 1965
Paul Butterfield : Vocals, Harmonica
Nick Gravenites : Vocals
Mike Bloomfield : Guitar
Elvin Bishop : Guitar
Jerome Arnold : Bass
Sam Lay : Drums
"Juke" + d'autre titres non spécifiés
Cette performance réalisé un samedi après midi faisait partie d'un Workshop appelé "Bleusville".
A cause de tout le bruit et l'excitation que générait le blues électrique, Albert Grossman (manager de Dylan & du BBB) avait réussi contre toute attente à bloquer une place le samedi après-midi.
Une soudaine pluie torrentiel obligea le groupe à déplacé le set dans la soirée...un extrait de ce workshop est disponible sur le DVD "Festival" de Murray Lerner's
grace à U-Tube le voici avec en prime une définition de Blues avec Son House et Bloomfield ("juke" commence à partir de 7:20)
PAUL BUTTERFIELD BLUES BAND
Newport Folk Festival, Newport, RI; July 25, 1965
Paul Butterfield : Vocals, Harmonica
Nick Gravenites : Vocals
Mike Bloomfield : Guitar
Elvin Bishop : Guitar
Jerome Arnold : Bass
Sam Lay : Drums
01 Mellow Down Easy
02 Look Over Yonders Wall
03 Blues With A Feeling
04 Born In Chicago
05 Blues For Ruth
06 Why Don't You All Quit It
07 Elvin's Blues
08 That’s All Right (NG, v)
09 It's About Time (NG, v)
10 It's True (NG, v)
11 Work Song
c'était le premier set de la dernière soirée du festival.
Vanguard aurait enregistré tout les concerts... mais seulement 4 extraits ont vu le jour sur disque :
(02,03)CD "Droppin' In With The Butterfield Blues Band" (Bootleg)
(01,04)CD "Newport Folk Festival - Best Of The Blues" (Vanguard)
un extrait de "Born In Chicago" est aussi disponible sur le DVD "Festival" (video ci dessus-au tout début)
Notez déjà la présence de l'instrumental "Work Song" et de "It's About Time" une compo de Nick qu'on retrouvera sur My Labors.
Dernière édition par Bloomers le 15.04.15 13:58, édité 3 fois
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
Bloomers a écrit:
(extrait du livre Epitaphe 11 de S Koechlin)
Il fallait voir Mike Bloomfield ce jour là...c'était un beau spectacle de le regarder, penché sur sa guitare, comme une liane, bougeant doucement son corps d'avant en arrière, tel un toréador, toujours collé à l'instrument qui se perdait dans ses longues mains...
Le son était fort, saturé, les micros mal réglés..., personne n'entendait rien...Pete Seeger en personne se précipita sur les consoles pour couper le son...il se heurta à un Paul Rothchild, excité, et qui protégeait la console
"Baisse ! Baisse !" lui ordonna Seeger.
Rothchild refusa. S'il avait pu, il en aurait rajouté...
L'ambiance Backstage était aussi pesante que sur scène...
Après la présentations ironique du Butterfield Blues Band par alan lomax (musicologue) :
"Mesdames et Messieurs, il fut un temps où un pauvre fermier noir, ramassait une boite de cigare, nouait dessus des cordes de fil métalliques, s'asseyait sous un arbre et jouait une musique splendide. Bref, nous avons là une bande de types, avec de gros amplificateurs et plein de puissance : Le Butterfield Blues Band. Nous allons pouvoir vérifier si ces blancs de Chicago savent ce qu'est le blues"
Pendant que le groupe prennait place (sous les huées du public), Albert Grossman (manager de Dylan et du PBBB) s'était approché de Lomax.
"Espèce de fils de pute, c'est quoi ton introduction à la con..."
"Mon introduction ? éructa-t-il. Elle s'adresse à tous les trous du cul"
Albert lui balança une gifle puis un coup de poing au visage qui désiquilibra le musicologue, et il se précipita sur lui en le frappant au ventre et à la tête. Mais, Lomax, costaud, parvint à repousser les assauts et à étouffer Albert quand les spectateur les séparèrent Lomax quitta le site du Festival , des larmes aux bords des yeux, la gorge noué...le gardien de la pureté Folk se sentait seul devant cette révolution dont il était devenu le témoin impuissant..."Times they are a changin'"
Koechlin cite-t-il quelqu'un ou bien ce récit est-il de sa plume?
Si c'est la deuxième réponse, le procédé (raconter une scène réelle comme s’il en avait été le témoin, ou comme dans un roman du point de vue d’un narrateur omniscient) est très contestable car à ma connaissance, ni Stéphane Koechlin ni même son papa n'étaient présent ce jour-là à Newport.
L'image que la prose de Koechlin nous donne d'Alan Lomax me paraît très injuste: on le voit comme un intello (comme toute présentation: "musicologue") raciste (il méprise les "blancs") puriste ("gardien de la pureté folk") éloigné de la réalité ("seul devant cette révolution...") et qui finalement mérite bien, avec Seeger, la fessée que leur administrent Grossman et Rothchild (SK raconte que Lomax part en pleurnichant...). C’est bien caricatural tout ça…
Par exemple, d'après Robert Shelton ("No direction home - The life and music of Bob Dylan", 1986) l'introduction de Lomax était celle-ci: "lets see if these Chicago boys know what the blues are all about" (http://campus.queens.edu/depts/english/dylan_goes_electric_the_newport_.htm) (ce qui devient avec Koechlin "nous allons pouvoir vérifier si ces blancs de Chicago savent ce qu'est le blues"). Donc, qu’en est-il réellement (je n’ai jamais entendu la bande) ? Certains récits de la scène disent aussi que c'est Sam Lay (et non "des spectateurs" qui sépara les deux. Bref... Comment Koechlin peut-il savoir qui a commencé le combat, à quel endroit les coups ont porté, ce que pensait Lomax en quittant les lieux, etc.? C'est ridicule...
Lomax n'avait, certes, guère d’attirance pour la musique électrique ou urbaine, car il était comme son père attaché à la musique des marges de la société, celle de ceux (blancs ou noirs, habitants des zones rurales pauvres et reculées) qui étaient exclus de la culture dominante (ou de la culture de masse) - alors que Grossman et Rothchild, par exemple, étaient des businessmen qui essayaient au contraire de toucher cette culture de masse. Pas de "gentils" ni de "méchants", ni de "sens de l’histoire", juste des intérêts divergents. Lomax n’avait rien d’un triste loser et les enregistrements effectués grâce à lui, aujourd’hui disponibles dans une extraordinaire collection de CD abordant tous les styles de musique populaire (The Alan Lomax collection, avec entre autres la superbe série Southern Journey), sont absolument fabuleux.
eddie- Messages : 744
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
c'est peut être un peu romancé...
“I was screaming, ‘Kick his ass Albert! Stomp ‘im! There was bad blood rising,’” Bloomfield told biographer Ed Ward. “It was like [Bloomfield] to zero in on the element of hypocrisy, on the way folkies recast American music in their image.”
Plus d'infos : http://blogs.myspace.com/index.cfm?fuseaction=blog.view&friendId=56037483&blogId=523549114#ixzz0y5fCNrHI
Dernière édition par Bloomers le 15.04.15 13:59, édité 1 fois
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
Bloomers a écrit:c'est peut être un peu romancé...
Comme toujours dans l'histoire du rock... Hélas!
Y a qu'à voir les conneries qui ont été écrites, et qui malheureusement continuent de l'être, sur Hendrix.
A part ça et puisque je mentionne Hendrix, je n'ai rien contre S. Koechlin puisque j'aime beaucoup son "Blues pour Jimi Hendrix"... A acheter en même temps que le chef-d'oeuvre du sieur Canselier!
eddie- Messages : 744
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
J'ai rencontré Stéphane dans les studios de France Inter la semaine dernière : je ne vais pas m'exprimer en son nom mais je peux vous dire comment il m'a dit voir les choses (son livre sur Yazid est très romancé - John Lee Hooker ne s'est pas produit au festival organisé par Yazid par exemple). Les biographies classiques l'ennuient - d'où cet aspect romancé qu'on retrouve dans ses livres. Ses ambitions sont plus littéraires que musicales - il écrit en outre des romans. Bref, la scène relatée plus haut ne s'est certainement pas déroulee ainsi.
Re: The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
Oui Ayler, et c'est pourquoi j'ai beaucoup aimé son "Blues pour Jimi Hendrix"...
La différence, c'est sans doute qu'avec Yazid Manou il avait un sujet qu'il connaissait.
Mais dans le cas présent (comme avec sa biographie de Hooker) y compris sur le plan littéraire c'est assez mal torché (bon, en même temps ce n'est qu'un extrait, il faudrait voir le livre entier)...
Et en l'occurrence quel est l'intérêt de "romancer" si c'est pour se contenter de colporter de vieux clichés à deux balles, et non pour apporter quelque chose de nouveau, ou un regard un peu plus complexe?
Désolé de cette parenthèse qui n'a rien à voir avec le topic; mais elle me semblait nécessaire dans la mesure où Bloomers avait reproduit le texte et où des lecteurs auraient pu repartir avec une image erronée de Lomax.
La différence, c'est sans doute qu'avec Yazid Manou il avait un sujet qu'il connaissait.
Mais dans le cas présent (comme avec sa biographie de Hooker) y compris sur le plan littéraire c'est assez mal torché (bon, en même temps ce n'est qu'un extrait, il faudrait voir le livre entier)...
Et en l'occurrence quel est l'intérêt de "romancer" si c'est pour se contenter de colporter de vieux clichés à deux balles, et non pour apporter quelque chose de nouveau, ou un regard un peu plus complexe?
Désolé de cette parenthèse qui n'a rien à voir avec le topic; mais elle me semblait nécessaire dans la mesure où Bloomers avait reproduit le texte et où des lecteurs auraient pu repartir avec une image erronée de Lomax.
eddie- Messages : 744
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
les faits sont réels...C'est juste la transcription de SK qui est romancé...important de le re-préciser
Dernière édition par Bloomers le 15.04.15 14:00, édité 1 fois
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Re: The Paul Butterfield Blues Band : Live At Newport Festival 65'
En tous cas cette photo est juste fabuleuse Bloomers
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
Blueleader- Messages : 7793
Date d'inscription : 24/02/2010
Age : 61
Localisation : entre mulhouse et belfort
Bloomers- Messages : 2749
Date d'inscription : 15/04/2008
Age : 49
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