Led Zeppelin : Houses Of The Holy (1973)
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Purple Jim
Ayler
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Led Zeppelin : Houses Of The Holy (1973)
Led Zeppelin : Houses Of The Holy (1973)
Face 1
1. The Song Remains The Same
2. The Rain Song
3. Over The Hills And Far Away
4. The Crunge
Face 2
1. Dancing Days
2. D'yer Mak'er
3. No Quarter
4. The Ocean
Étrangement, les critiques évoquent rarement les problèmes de voix recontrés alors par Robert Plant, même si leurs conséquences sur la musique du dirigeable sont évidentes. Ces problèmes étaient prévisibles : il semble difficile, voire impossible de bien vieillir vocalement dans ce type de registre. La voix de Ian Gillian a connu le même type de problème avec les années.
C'est sans nul doute l'explication de l'étrangeté de certaines parties vocales de l'album, comme sur "The Song Remains The Same" où le chant semble accéléré, afin d'accéder à des sommets désormais devenus inaccessibles. Le procédé ne date certes pas d'hier, mais trop forcé, la voix de Plant en devient presque inhumaine.
S'il est vrai que les huit albums studio du dirigeable sont remarquables de diversité, il n'en demeure pas moins que "Houses Of The Holy" est un disque un peu à part dans leur discographie. Ce cinquième album studio (presque intégralement repris officiellement en Live), a en effet un aspect un peu surprenant, qui vient surtout du mixage, pour le coup en rupture totale avec celui les 4 premiers. On lorgne plus vers le rock progressif que vers le blues du début.
Les compositions sont souvent très fortes... mais, il est vrai, pas toujours présentées dans les meilleures versions possibles. "The Song Remains The Same" est autrement plus sauvage dans la version Live de l'album du même nom.
Ayant découvert "No Quarter" sur ledit Live, je reste toujours sur ma faim avec la version studio : les deux versions connues du Madison Square Garden présente un Jimmy Page tellement inspiré dans ses solos de guitare qu'on voudrait ressentir le même frisson avec la version studio...
Mes rapports avec cet album ont évolué avec les années. Je l'apprécie plus aujourd'hui qu'il y a quelques années. Certains titres sont nettement moins faciles que les brûlots des deux premiers albums. La recherche musicale est plus importante, et la musique plus personnelle.
Grand disque.
Face 1
1. The Song Remains The Same
2. The Rain Song
3. Over The Hills And Far Away
4. The Crunge
Face 2
1. Dancing Days
2. D'yer Mak'er
3. No Quarter
4. The Ocean
Étrangement, les critiques évoquent rarement les problèmes de voix recontrés alors par Robert Plant, même si leurs conséquences sur la musique du dirigeable sont évidentes. Ces problèmes étaient prévisibles : il semble difficile, voire impossible de bien vieillir vocalement dans ce type de registre. La voix de Ian Gillian a connu le même type de problème avec les années.
C'est sans nul doute l'explication de l'étrangeté de certaines parties vocales de l'album, comme sur "The Song Remains The Same" où le chant semble accéléré, afin d'accéder à des sommets désormais devenus inaccessibles. Le procédé ne date certes pas d'hier, mais trop forcé, la voix de Plant en devient presque inhumaine.
S'il est vrai que les huit albums studio du dirigeable sont remarquables de diversité, il n'en demeure pas moins que "Houses Of The Holy" est un disque un peu à part dans leur discographie. Ce cinquième album studio (presque intégralement repris officiellement en Live), a en effet un aspect un peu surprenant, qui vient surtout du mixage, pour le coup en rupture totale avec celui les 4 premiers. On lorgne plus vers le rock progressif que vers le blues du début.
Les compositions sont souvent très fortes... mais, il est vrai, pas toujours présentées dans les meilleures versions possibles. "The Song Remains The Same" est autrement plus sauvage dans la version Live de l'album du même nom.
Ayant découvert "No Quarter" sur ledit Live, je reste toujours sur ma faim avec la version studio : les deux versions connues du Madison Square Garden présente un Jimmy Page tellement inspiré dans ses solos de guitare qu'on voudrait ressentir le même frisson avec la version studio...
Mes rapports avec cet album ont évolué avec les années. Je l'apprécie plus aujourd'hui qu'il y a quelques années. Certains titres sont nettement moins faciles que les brûlots des deux premiers albums. La recherche musicale est plus importante, et la musique plus personnelle.
Grand disque.
Re: Led Zeppelin : Houses Of The Holy (1973)
Quel variété de textures sur ce disque. Un album difficile à définir, à cerner. Après quatre albums lumineux et historiques, c'est incroyable qu'ils ont encore trouvé tant d'inspiration au niveau de l'écriture.
Re: Led Zeppelin : Houses Of The Holy (1973)
Moi c'est un album que j'ai toujours beaucoup aimé (peut-être même plus que le IV) !
Electric Thing- Messages : 2628
Date d'inscription : 15/04/2008
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Localisation : Légèrement à gauche de Saturne !
Re: Led Zeppelin : Houses Of The Holy (1973)
Rien de plus à ajouter à ce qui a été dit plus haut !
Un disque riche et varié comme seul Led Zep était capable d'en pondre. Le traitement de la voix de Plant est cependant le seul bémol de l'album.
Un disque riche et varié comme seul Led Zep était capable d'en pondre. Le traitement de la voix de Plant est cependant le seul bémol de l'album.
Re: Led Zeppelin : Houses Of The Holy (1973)
L'album débute sur The Song Remains the Same, où la voix de Plant a été accélérée pour que sa voix soit plus aigue... le phénomène "hélium" comme certains l'appellent. Autant la version Studio n'est pas incroyable, autant les versions de 77 sont réussies. C'est un des points forts des Setlist de 77 : des TSRTS puissant et rageur. Sur scène, Page utilise son EDS-1275...
George Harrisson à un jour dit à John Bonham qu'il manquait des ballades à leur groupe qu'il manquait une ballade... The Rain Song en est une. Sur scène, Page utilisait aussi sa Gibson EDS-1275. Accordée un ton plus haut pour que ladite guitare soit plus facile à être accordée pour "Stairway to Heaven"... pauvre Plant
Over the Hills and Far Away sera inclu dans la tournée Américaine de 75, à l'Earls Court et dans quelques concerts de 77 et disparaît en 80.
The Crunge se voulait un nouveau pas de danse... jamais joué sur scène mais plusieurs fois cités.
Dancing Days souvent joués en 72-73 avant de disparaître... c'est un bon morceau
D'yer Mak'er pouvent se prononcer de deux façons... on a soit "Jamaica" soit "Did You Maker Her?" (tu l'as obligée ?)... censé être du reggae, démentit par Plant...
No Quarter est d'un tout autre niveau. En concert, le titre permettait à Jones de montrait ses talents de claviériste et nous infligeaient de longs solos... c'est souvent le clou des spectacles en 77 (vu que Whole Lotta Love est réduit à son Introduction, que Dazed and Confused a disparu et que Moby Dick n'est jamais Le titre phare des spectacles). Les versions les plus réussies sont celles du 21 Mars 1975, du 21 juin 1977 et du 23 Juin 1977 et j'en passe...
The Ocean servait de rappel. Le nom de ce titre provient de la façon dont le groupe nomme les marées humaines venues les voir.
George Harrisson à un jour dit à John Bonham qu'il manquait des ballades à leur groupe qu'il manquait une ballade... The Rain Song en est une. Sur scène, Page utilisait aussi sa Gibson EDS-1275. Accordée un ton plus haut pour que ladite guitare soit plus facile à être accordée pour "Stairway to Heaven"... pauvre Plant
Over the Hills and Far Away sera inclu dans la tournée Américaine de 75, à l'Earls Court et dans quelques concerts de 77 et disparaît en 80.
The Crunge se voulait un nouveau pas de danse... jamais joué sur scène mais plusieurs fois cités.
Dancing Days souvent joués en 72-73 avant de disparaître... c'est un bon morceau
D'yer Mak'er pouvent se prononcer de deux façons... on a soit "Jamaica" soit "Did You Maker Her?" (tu l'as obligée ?)... censé être du reggae, démentit par Plant...
No Quarter est d'un tout autre niveau. En concert, le titre permettait à Jones de montrait ses talents de claviériste et nous infligeaient de longs solos... c'est souvent le clou des spectacles en 77 (vu que Whole Lotta Love est réduit à son Introduction, que Dazed and Confused a disparu et que Moby Dick n'est jamais Le titre phare des spectacles). Les versions les plus réussies sont celles du 21 Mars 1975, du 21 juin 1977 et du 23 Juin 1977 et j'en passe...
The Ocean servait de rappel. Le nom de ce titre provient de la façon dont le groupe nomme les marées humaines venues les voir.
Tiger- Messages : 2058
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