#48 Down By The River - Roy Buchanan (26 octobre 2008)

[Ornette]

Roy Buchanan : Down By The River (Live)

C'est toujours bon d'y revenir de temps en temps !

[Garbage Man]

Je ne dirais jamais assez tout le bien que je penses de ce grand guitariste. Il ne tombait jamais dans la caricature et savait s'approprier un morceau avec intelligence. Comme son excellente reprise de "If 6 was 9" sur l'album "A Street Called Straight"

[Jungleland]

je ne connaissais pas cette version qui est très bonne à mon avis. J'adore ce touché tout en finesse
et je dirais même que sa voix, que je trouve relativement quelconque en général, passe ici assez bien

[Electric Thing]

Ce n'est pas Roy qui chante mais Billy Price.

[Jungleland]

oups

boulet of the day

[Electric Thing]

Quelque fois c'est lui qui chante... comme sur cette superbe version de "Hey Joe":



Une Tele tout simplement sublime autant dans la retenue que dans l'explosion. Et un chant sans esbroufe, juste l'émotion nécessaire.
Sur le cul !

[Purple Jim]

Très belle sonorité sur la guitare de Roy sur ce morceau et une belle reprise.
Par contre je ne suis pas un grand fan de son jeux qui manque quelque chose je trouve. Parfois, il balance beaucoup de notes et ces effets qui "pleurent" dans la démonstration de sa technique et ça ne m'impressionne pas du tout.

[Ornette]

Pour ceux qui préfèrent la vidéo :

[Jungleland]

Quelque fois c'est lui qui chante...

oui je sais bien qu'il chante aussi. J'avais juste pas reconnu la voix de Billy Price ici

[Bloomers]

raah c'est du tout bon...2 superbes classiques auquel il faut rajoute "the Messiah..." et surtout "Pete's Blues" un tour de force où il se réincarne en Bloomfield...un son et une maitrise enorme, le pied total !!! seul petit bémol : son chant et la production qui gâche parfois certaines perles.

[Ayler]

Sa version et la version live de Buddy Miles (la meilleure ?) n'ont vraiment rien en à envier à la version originale - surtout au niveau des solos.
Comme on peut l'entendre ici, son jeu est tout de même plus expressif que celui de Bloomfield, mais peut-être plus bavard aussi. Il a beaucoup influencé Jeff Beck, c'est ici évident.
Son jeu a peut-être un côté excessif, comme le souligne Purple Jim, mais il ne sombre pas nécessairement dans la démonstration. Les excès de son jeu traduisent aussi son aspect très sentimental.

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